La Région Pouilles a posé au gouvernement trois conditionnes pour que la propriété l'entreprise ferroviaire Chemins de fer du Sud Est (FSE), aujourd'hui contrôlée du ministère des Infrastructures et des Transports, soit transférée à la collectivité régionale. Le décret-loi 22 juin 2012, n. 83 « Mesures urgentes pour la croissance du Pays » a prévu l'activation des procédures pour le transfert de la propriété des Chemins de fer du Sud Est de l'État à la Région Pouilles, en garantissant une recapitalisation de 20 millions d'euro de la société, à condition que avant 60 jours de la date de parution du décret (si promulgué), et donc dans le 24 août, soit souscrit parmi ministère et Région l'accord de transfert. En tel cas la régionalisation devra se produire dans le 31 prochain décembre.
- L'assesseur aux Transports de la Région, de Guglielmo Minervini, a annoncé que dans le cours de la rencontre hier au ministère l'institution régionale a posé trois conditions pour la définition de l'accord de transfert, « tous riconducibili - il a expliqué - à l'état de santé de la société ». Minervini de toute façon a mis en évidence que « les Chemins de fer du Sud Est sont un pilier portant de la mobilité publique des Pouilles : ils bougent chaque jour - il s'est rappellé - 60mil personnes et occupent 1.500 pr3posés » et a souligné que la Région est prête à remarquer la société « pour réaliser le objectif stratégique de l'intégration des cinq chemins de fer des Pouilles à l'intérieur d'un unique système, mais - il a précisé - nous avons posé au ministère, actuelle actionnaire unique de la société, trois conditions pour que ceci puisse se produire ».
- « La première - il a spécifié Minervini - est que le ministère souscrive l'accord transattivo avec la Région, qui la commission a déjà délibéré à mai, concernant un crédit vanté de FSE vis-à-vis de la Région Pouilles paires à 130 millions d'euro, sur lequel on est déjà prononcé TAR en reconnaissant nos raisons ». Beaucoup - il s'est rappellé de l'assesseur - a dérivé du fait qui en 2009 la Région détermina en faveur des entreprises de transport en commun local importe de compensation en second lieu les index prévus de la loi. Les dispositions gouvernementales prévoient que l'équivalent des contrats de service, avec lesquels elle est réglée la distribution du transport en commun, soit ajourné tous les ans aux index d'inflation. La société FSE, en déclarant insuffisante le montant de l'équivalent reconnu, proposa recouru des dinnanzi à TAR de Bari qui, à juin du 2011, repoussa intégralement les prétentions de la société. FSE a toujours inscrit dans ces ans les crédits vantés de la Région dans leur budget. Ainsi on a engendré un déséquilibre gestionnaire-financiers qui on est allé en accentuant dans le cours des ans, jusqu'à rejoindre - il a observé Minervini - des proportions préoccupantes. Contre la sentence du Tribunal Administratif Régional, FSE a proposé recouru en Conseil d'État qui a suspendu les effets de la sentence du tribunal administratif et reprendra la discussion de la cause à décembre.
- « La seconde condition - il a continué Minervini - concerne la définition des pentes relatives aux contentieux avec le personnel, qui se traînent de 2000 et conforme à des questions liées à la période de gestion ministérielle. Celles-ci alourdissent le budget de la société pour chiffre voisine aux 50 millions d'euro. Cette matière, toute interne au rapport entre ministère et société, nous avons demandé soit définie avant le passage à la Région de la société et il nous semble d'avoir rencontré une certaine disponibilité du ministère ».
- La troisième condition - il a poursuivi l'assesseur - dérive de premières deux heures : « nous avons le doute - il a éclairci - que ces problématiques ne puissent pas être les uniques, pour cette raison avons demandé et obtenu du ministère la réalisation des deux diligence, un moyen que nous retenons pour faire clarté sur la situation effective des comptes ».
- « Les conditions - il a conclu Minervini - ne sont pas une prétexte pour faire sauter accord ; la Région a soulevé les problématiques et elle s'est assumée jusqu'à présent la charge pour affronter et résoudre le problème, mais cela ne serait pas possible s'il venait hors une situation du débit sensiblement divergée de celle perçue. La relation avec le gouvernement s'est déroulée jusqu'à présent en termes de loyauté et d'exactitude institutionnelle ; nous ne pouvons pas payer des gestions dont nous n'avons aucune responsabilité, et pour cette raison repoussons jusqu'd'heure à chaque tentative ripianare de la situation en faisant recourue à autres ressources destinées à des investissements et à des infrastructures, comme les fonds Fas ».
- L'assesseur au Budget de la Région, de Michele Pelillo, a annoncé que hier la commission régionale a autorisé le service contrôle à ouvrir les deux diligence sur les comptes FSE. « Il vérifie - il a confirmé - sur l'état économique, financiers, patrimonial et gestionnaire de la société. Il faut cependant faire présent que dans le patrimoine de FSE il n'y a pas les terrains sur lesquels ils courent les rails, les stations et toutes les pertinences, qui dans ces jours passent même du point de vue bureaucratique, au domaine ferroviaire régional, donc à la Région Pouilles. Il vérifie précisera ainsi la consistance d'actifs et les passifs et du patrimoine de la société, qui possède en partie le matériel carrossable et gère le personnel ».

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