le Conseil d'État retient la réforme législative sur les ports nécessaire, mais pas suffisante
l'organe administratif et juridictionnel de l'État met en évidence les principaux éléments à développer et ceux de risque
10 Mai 2016
Le Conseil d'État a émis hier l'avis rendu de la Commission spécialisée sur le schéma de décret législatif en matière d'Autorités Portuaires, dans lequel il met en évidence qu'il s'agit de la première réforme organique des Autorités Portuaires après au-delà de vingt ans et explique que le schéma de décret se compose de 20 articles et un annexe qui modifient profondément la loi sur les ports davantage de vingt ans il y à (n. 84 de 1994).
Le Conseil d'État exprime appréciation environ les objectifs de la réforme, qui on propose de réorganiser la structure et simplifier des organes et des procédures, en spécifiant que « en particulier il se propose, dans la longue et moyenne période, d'intervenir sur la dimension « monoescalade » des organes de gouvernement des ports (en dépassant le modèle obsolète du city port), en passant des actuelles « Autorités Portuaires » aux « Autorités de Système portuaire » ; dépasser l'excessif localismo actuel ; réaliser majeur interaction et intégration avec les aires logistiques du pays ; exprimer majeur capacité de coordination ; simplifier et amincir les accomplissements administratifs connexes à la déroulement des activités portuaires (dans la brève période) ».
La Commission spécialisée exprime appréciation même « pour la coupe innovatrice de la relation explicative, qui fournit à la vision stratégique et la logique (pas juridique, mais) socioéconomique de l'intervention : dans une ère de globalisation des marchandises - il s'explique - il faut rendre plus agile le gouvernement de nos ports et les joindre avec le monde économique et social, pour faire du « Système Mer » le moteur de développe économique qui relance le rôle de l'Italie de naturel protagoniste de la liaison parmi Orient et Europe ».
Pour la Commission spécialisée, la réforme on encadre dans celle « renouvelée vision de l'administration publique, qui le Conseil d'État soutient et encourage », selon lequel « l'État est appelé pas seulement à exercer des fonctions autoritative et gestionnaires, mais même à promouvoir croissance, développe et compétitivité », avec des moyens modernes et multidisciplinaires.
Il est spécifié qu'il s'agit d'une réforme nécessaire mais pas suffisante. « Vraiment pour assurer la réalisation des objectifs stratégiques - il s'éclaircit - la Commission spécialisée remarque que les seules interventions « de réorganisation » des governance et « de simplification », ancorché nécessaires, ne sont pas tous seuls suffisantes à redonner élan économique au secteur. Le Conseil d'État souligne l'importance d'une vision qui ne se limite pas à une pure réduction des sommets territoriaux de gouvernement des ports et à l'institution de « tables » de coordination à de niveau local et national, mais soit de vrai relance de la portualità sur la de base de la planification nationale et de l'ouverture au monde de la logistique et de l'intermodalità ».
« Il signale, en particulier, l'opportunité de l'accomplissement d'autres réformes actuellement dans itinere et étroitement reliées (vois, par exemple, la réforme d'interposer de toi). En outre, il met en evidence l'importance qui le gouvernement soigne même ici - comme dans les autres secteurs - l'ultérieure phase d'actuationne, à travers des initiatives soit « normative » (les décrets correctifs), mais même (et surtout) « pas normative » de formation, de communication institutionnelle, d'informatizzazione, de monitorage des pratiques, en somme d'« entretien » constant du fonctionnement de la réforme ».
« L'avis signale enfin l'exigence d'accompagner la réforme à l'étude, en temps brefs, avec des initiatives ultérieures sur des thèmes (en partie, déjà délinéés de la Conférence unifiée) quels : l'institution sur le territoire national de domaines logistiques d'aire vaste, qui impliquent des sujets publics et privés et, en particulier, les gérants des autres infrastructures, ferroviaires, routières, d'aéroportes ; la possibilité d'étendre aux aires des retroportuali les régimes fiscaux et douaniers préposés aux ports ; l'intervention sur les règles de dragage ».
Selon le Conseil d'État, parmi les principaux points de force du dessin de réforme il y a : « l'institution même des « Autorités de Système Portuaire », en nombre plus limé (15) par rapport aux « Autorités Portuaires » actuels (24), et l'attribution à eux même de fonctions de raccord vis-à-vis « de toutes » les administrations ayant compétence sur les activités en domaine portuaire ; détaillée de la discipline du Plan Régulateur de système portuaire et de la simplification de variant de valeur purement technicien-fonctionnels ; le global assouplissement de la structure d'organisation faisante chef à l'Autorité de Système Portuaire ; l'implémentation de compétences du Guichet unique administratif et du Guichet unique douanier et des contrôles ».
Pour combien il conforme aux principaux risques à éviter, la Commission spécialisée signale, « sur le front de la « réorganisation », le risque de duplications de centres décisionaux ou de survie de ceux déjà existants, là où il se prévoit l'institution des Bureaux territoriaux prés des ports déjà siège de supprimées des Autorités Portuaires, avec le danger de maintenir l'actuelle fregmentation et d'augmenter les coûts ; sur le front de la « simplification », le risque que les objectifs du gouvernement ne soient pas effectivement rejoints dans la pratique, pour laquelle il se rend opportun le monitorage et l'éventuelle adoption de mesures correctives ex post ».
« Il vous est ensuite - précise il ancre le Conseil d'État - l'ultérieur risque qui, sur poussée des instances régionales et locales, le dessin de réforme s'affaiblit avec l'introduction de délais et les ruisseau-fregmentations. Par exemple - il s'éclaircit - la Conférence unifiée, qu'aussi formule vous variez des observations raisonnables, propose d'introduire un mécanisme de renvoi jusqu'à 36 mois de l'entrée en vigueur de la réforme, ou de rendre possible l'introduction d'un port d'intérêt régional prés d'une Autorité de Système. Le Conseil d'État recommande de maintenir cohérent l'installation de réforme, sans céder à des dérogations non soutenues de fortes motivations objectives ».
En outre l'avis « signale positivement le choix d'un mécanisme plus efficace pour la nomination des sommets des Autorités de Système Portuaire (accord ministre-région), en mettant en garde de ses possibles complications ». La Commission spécialisée remarque même « l'opportunité de moduler les qualités pour le choix des sommets des Autorités de sorte que ils soient répondants aux effectives exigences de capacité et des caractères professionnel demandées de l'importance stratégique du secteur. Il avertit, aussi, le risque de renoncer - avec le nouveau système d'incompatibilité - à caractère professionnel consolidé, surtout en séance de première application ».
Le Conseil d'État recommande même « d'assurer l'effective application du principe de la séparation parmi activité de gestion du port et les activités économiques d'intérêt portuaire, en rendant plus clair la défence pour les Autorités de gouvernement de dérouler des opérations économiques en domaine portuaire, même indirectement (pour par de société participée) ».
Au sujet de prévue de l'institution de la « Table de partenariato de la ressource mer » et de la « Table nationale de coordination », la Commission spécialisée signale « l'exigence d'éclaircir le rôle et le fonctionnement de deux nouveaux organismes introduits de la réforme : une consultatif (« Table de partenariato de la ressource mer ») et un de coordination (la « Table nationale de coordination ») ».
En particulier, le Conseil d'État spécifie que « la « consultation » du stakeholders doit être construite pas seulement comme une procédure décisionale transparente et participée, mais même de façon à transformer les apports de cette partecipation en éléments factuels et les motivazionali qui rendent la décision discrétionnaire une evidence-based decision, bien motivée sur la de base d'une instruction vaste et structurée. Il faut, à tel fin - selon le Conseil d'État - structurer mieux la « Table de partenariato », même en se référant : à l'identification claire et « sélective » de son composante ; au choix et à la circulation des documents à discuter ; aux modalités de partecipation ; à je calcule des positions prédominantes ; aux effets sur la décision finale. Quant à la « Table de coordination », il faut le raccorder en mode plus clair et efficace avec le plan stratégique national de la portualità et de la logistique (art. 29, alinéa 1, d.l n. 133 du 2014), ainsi comme elle n'apparaît pas claire la raison qui le limite à être un organe expressif des seules Autorités de Système Portuaire ».
Enfin le Conseil d'état, dans l'appréciation du but de simplification des procédures par des « Guichets uniques », remarque « que tel objectif pourrait être affaibli : pour effet de l'exclusion du « Guichet unique administratif » des procédures administratives et autorisées vous « qu'ils ne concernent pas les activités commerciales et industrielles en port » ; en cas de manqué raccord du « Guichet douanier » avec l'emananda il discipline de réarrange des forces de police (art. 8, c. 1, lett. à), de la même loi Huche) ».
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