Appréhension UCINA, d'Assomarinas et d'Assonat pour le pronunciamento prochain de la Cour Constitutionnel sur les concessions turistico-ricreative
« Il sera décisif - ils ont souligné - pour la survie de 26 structures portuaires touristiques parmi les majeures du Pays »
4 Januar 2017
UCINA Confindustria Nautique, l'Association Italienne Tendus Touristiques (Assomarinas) et l'Association Nationale Tu aboutis et Tendus Touristiques (Assonat) ont manifesté de la grave préoccupation pour le pronunciamento prochain de la Cour Constitutionnelle sur l'application de la réglementation sur les concessions turistico-ricreative même aux ports touristiques. Les trois associations se sont rappellées de que la réglementation a modifié à posteriori les termes des contrats signés des investisseurs avec l'État, qui prévoyaient pour la marine une particulière législation en reconnaissant les considérables investissements joints à la réalisation de ces oeuvres et la différente nature du même titre concessorio par rapport à celui des concessions balnéaires. « En particulier - ils ont spécifié UCINA, Assomarinas et Assonat - son application retroactive a rendu indispensable le recours à la Cour Constitutionnelle puisque semble violer les règles constitutionnelles à défense de l'initiative économique ».
UCINA, Assomarinas et Assonat ont mis en évidence que « la sentence de la Suprême Cour, qui se réunira le 10 prochain janvier, sera décisive pour la survie de 26 structures portuaires touristiques parmi les majeures du Pays ».
« Après la taxe Tu montes, rayée parce qu'à front des 22 millions d'euro encaissés il a produit un trou de 800 millions dans les caisses du trésor public causé de la fuite de 40.000 des bateaux - ils ont remarqué les trois associations - celle-ci risque d'être un nouveau coup de masse pour toute la filière de la nautique, qui juste dans les derniers mois sort d'une grave crise durée six ans. Cette situation - ils ont précisé UCINA, Assomarinas et Assonat - a causé un contentieux légal décennal que jusqu'à présent a toujours vu vaincre les ports touristiques - dans les divergées sièges civils et administratifs - et que le Conseil d'État, en confirmant les raisons des récurrents, a renvoyé à la Cour Constitutionnelle ».
Les trois associations de l'industrie et la portualità nautique ont illustré le possible impact économique d'une éventuelle décision contrecarre aux ports touristiques : « d'un coté - ils ont expliqué - il y a un coût estimable dans 3.6 millions pour l'État, monnaies pour le budget, de l'autre donnent pour le trésor public de 54 fois majeur. Les entreprises de la portualità touristique qui ont empoigné l'application retroactive de la nouvelle réglementation sur les loyers domaniaux sont 26 pour 15.000 places bateau globales : dix sont les structures plus petites, de 100 jusqu'à 500 places bateau, 16 celles-là majores de 501 à 980 places bateau. Les augmentations annuelles des loyers domaniaux vont de 45.000 à 75.000 euro, pour les structures de la bande plus jeune, et de 100.000 à 250.000 euro annuels pour les structures plus grandes. La recette qui le trésor public peut obtenir équivaut 3.595.000 à euro l'an. En effet, en second lieu les données de l'Observatoire Nautique National (organisme de relevé, j'étudie et du monitorage du diporto nautique reconnu du Ministère des Transports), l'poussé économique à risque équivaut à 185 millions d'euro, somme qu'on obtient en multipliant l'poussé moyen annuel de 12.300 euro engendrés de ciascuna unité pour les places bateau qui sont intéressées de l'événement. En outre, toujours en second lieu l'Observatoire Nautique National, en moyenne une marine touristique engendre un poussé occupationnel de 92 unités, donc en discussion il y a la survie de 2.484 postes de travail, qu'en comptant le seul j'encaisse dirigé du fisc valent environ autres quatre millions d'euro ».
Les trois associations se sont rappellées que si « de la Loi Financière de 2007 (art. 1, alinéa 252, de la loi n. 296 de 2006) a disposé l'application des critères prévus pour les concessions turistico-ricreative même aux ports touristiques, en abrogeant la précédente réglementation appliquée au marinas (contenue dans l'art. 10, alinéa 4, de la loi 27 décembre 1997, n. 449), qu'il prévoyait un mécanisme de calcul informé à des critères stimulants pour les investissements avec des loyers inversement proportionnels à la valeur des investissements », « le Conseil d'État a mis en évidence que les rapports concessori relatifs aux ports touristiques doivent être réglés de la concession, parce que le loyer est fixé de l'acte concessorio « en tenant compte de l'équilibre économique-financiers de l'investissement » et que la concession : il dispose le paiement d'un loyer « à mise à jour annuelle aux sens de l'actuelle réglementation » ; il prévoit que le concessionnaire devra achever l'exécution des oeuvres qui est obligée à construire avant une période déterminée ; il prévoit des investissements globaux pour dizaines de millions d'euro ; à la cessation de la concession, même pour renoncement, les oeuvres érigées, complètes de tous les accessoires et les pertinences, resteront « en absolue propriété de l'État sans qu'au concessionnaire il revient quelque indemnité » ; en application de la nouvelle réglementation, dans durée de la concession j'importe total des loyers à chargement du concessionnaire augmenterait environ de cinq fois et, vu le marge global de l'initiative prévu en tant que les plan économique-financiers approuvé en séance de relâchement de la concession même, cela rendrait le marge négatif pour différents millions d'euro ».
En outre UCINA, Assomarinas et Assonat se sont rappellés de que, dans remarquer la substantielle diversité entre les concessions balnéaires et celles relatives à la réalisation et gestion de structures pour la nautique de diporto, le Conseil d'État même « a mis en évidence que : les concessions turistico-ricreative sont en nombre beaucoup plus elevé et comportent que règle investissements modestes à chargement du concessionnaire et sont caractérisées de loyers dérisoires, sur lesquels le législateur est intervenu en 2006 pour les réaligner avec les valeurs de marché ; les concessions pour la réalisation et la gestion de structures pour la nautique de diporto sont en nombre beaucoup de mineur, demandent des investissements considérables pour la réalisation des oeuvres structurelles, qui seront ensuite acquises gratuitement du domaine, et que, pour l'engagement gestionnaire, ils demandent un plan d'équilibre économique-financier de le long de période ; le critère de fixation de j'importe du loyer, déterminé à l'acte de la concession, est un élément détérminant des plan économique-financiers défini en tenant compte de l'importance des investissements ; la réglementation en question, appliquée aux concessions en cours, apparaît violer l'art. 3 de la Constitution pour le double profil du traitement égal de situations inégales et de la lésion du principe de la sécurité juridique constitutif de légitime confiance ; il y a même une possible violation du principe de la légitime confiance engendrée dans les concessionnaires sur la stabilité de l'équilibre économique-financiers de le long de période ; l'application aux concessions en cours pourrait léser par rapport à l'art. 41 de la Constitution relatif à la liberté d'initiative économique, puisque se rend l'effet déraisonnable de fouetter les choix d'entrepreneur en modifiant les éléments constitutifs des relatifs rapports contractuels en être ».
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