Tourmenté projet pour la réalisation de la Plate-forme Europe dans le port de Livourne, elle actionne pour laquelle a été convoquée une compétition le terme de laquelle d'échéance pour la présentation des questions de partecipation été il est renvoyé cinq fois en prorogeant le la dernière tourne aux heures 12,00 du 29 prochains septembre, a été entretemps réélaboré radicalement et la nouvelle configuration de l'infrastructure portuaire a été présentée hier du président de la Région Toscane, Enrico Rossi, ensemble au président de l'Autorité de Système Portuaire du Mar Thyrrénien Septentrional, de Stefano Corsini, et à autres représentants des institutions.
- Cinq renvois, quelconque motivation soit allégués pour des telles prorogations, sont évidemment un symptôme de la difficulté de trouver de nos jours des investisseurs et des opérateurs disposés à participer à l'initiative. Procrastination de la tempistica qui a ravivé la flamme des critiquex exprimées sur le projet, d'abord parmi toutes ces révoltes du maire de Livourne : « beaucoup de bandes sont allées complètement déserts », a dénoncé Filippo Nogarin en commentant la présentation de la révision du projet et en exprimant trouble parce que jusqu'à maintenant, « on a parlé beaucoup de Darse Europe, cependant objectivement - noir sur blanc - on a fait vraiment beaucoup peu ».
- Que les choses jusqu'à maintenant ne soient pas allées pour le vers juste il l'a implicitement admis le président de la commission régionale : « nous avons essayé remettre en mouvement les choses », a expliqué Enrico Rossi en ajoutant que « aujourd'hui nous pouvons dire qu'elle est une journée très positive pour la ville de Livourne et toute la Toscane »
- Rossi a motivé tel optimisme avec les nouvelles perspectives offertes de la réélaboration du projet de la Darse Europe. Une révision qui s'est traduite dans la différente disposition du conteneur terminal, tourné mais d'identique superficie opérationnelle par rapport à la position précédente, solution qui - il a spécifié - permet une épargne de 200 millions d'euro, en descendant de 667 à 467 millions (90 millions seront nécessaire pour les dragages, 94 pour les barrages, 77 pour les quais, 23 pour les installations et 183 pour les places). Telle épargne sera réinvestie en interventions sur le port et le territoire. La dépense de 467 millions, ajoutés les 195 millions pour la préparation du terminal, monte dans l'ensemble à 662 millions d'euro contre 862 millions prévus du précédent projet.
- Seconde la nouvelle révision, le quai de la Darse Europe aura une longueur de 1.200 mètres contre les 900 du précédent projet et une profondeur qui donne -16 mètres pourra arriver jusqu'à -20. Le terminal s'étendra sur une superficie de 62 hectares. La capacité annuelle de trafic containerizzato équivaudra à 1.6 millions de teu.
- La différente configuration du projet devrait permettre - en second lieu les prévisions - le départ des travaux dans le 2018 et leur conclusion dans le 2022, quatre ans d'abord tu respectes à quel il se serait produit avec le précédent projet.
- En outre Rossi a précisé qu'un ultérieur avantage est constitué de la possibilité de dédouaner la partie publique de celle privée, en réduisant donc les temps d'exécution ; je dégage qu'il est faisable merci à des nouvelles règles approuvées dans la seconde partie du 2016 qui permettent aujourd'hui de réutiliser les sédiments d'escavo pour la construction de nouvelles oeuvres, le refluimento à mer ou le ripascimento du spiagge. Que - a souligné - il se traduit en mineurs espaces et mineurs coûte nécessaires au stoccaggio, outre la possibilité d'utiliser, sans quelque prolongation, les actuelles lignes ferroviaire électrifiée entrée en fonction dans le 2016.
- En outre - il a mis en évidence encore Rossi - « dépassé le problème du dépôt des sédiments le nouveau projet permettra y de creuser le canal jusqu'à la profondeur de vingt mètres, quatre dans plus par rapport aux seize prévus », avec l'avantage d'être équipé même pour des bateaux de majeure portée.
- Une partie des boues des creusements sera utilisée, comme dans le vieux projet, pour réaliser un quai réservé au trafic des carrossables qui sera utilisable déjà du 2020, ou bien d'abord qu'avec le vieil avis.
- En outre, en n'étant pas n n'étant pas plus nécessaire de destiner une partie de la superficie du terminal au dépôt des sédiments, cela se traduira en espaces opérationnels majores par rapport au précédent projet.
- Le président de la collectivité régionale a souligné que donc il ne s'agit pas du tout d'une remaniement du projet ; « aucune « petite darse » - il a affirmé - mais une structure autant et au contraire encore plus compétitive ».
- Relativement au raccord du nouveau terminal avec les lignes ferroviaires, Rossi a précisé que des « Chemins de fer de l'État s'engage à donner à départ les travaux pour l'enjambe dans le 2018. Nous signerons - il a annoncé - un accord maintenant à Juillet. Il y a même l'engagement à vérifier la prolongation des rails de l'interporto vers Collesalvetti et Vada, qu'il signifie - a ajouté Rossi - que le port de Livourne pourrait devenir l'infrastructure plus équipée à porter les marchandises sur la ligne ferroviaire nationale ».
- Le président de la Région a mis en évidence que toutefois l'intervention plus importante pour la modalité ferroviaire est un autre : « d'août 2018 - il a expliqué - en trois ans Chemins de fer interviendra pour élargir les galeries de la vieille ligne des Apennins de sorte que ils vous puissent passer même des trains chargés d'auto et le conteneur. Ils seront dépensés 700 millions et de cette façon Livourne sera encore plus compétitive, avec accès fer vers le nord-est et le nord Europe. Avec Emilia Romagna - il s'est rappellé - il a été déjà signé un accord pour un transport suppletivo sur gomme dans les trois ans de travaux ».
- Rossi a annoncé qu'il a été constitué un noyau opérationnel, un task force, avec un profil technique mais même politique, qui veillera sur le projet et la réalisation de l'infrastructure portuaire, comme prévu de l'accord de programme signé avec le gouvernement à mai du 2015. L'équipe, qui se réunira une fois par mois ou lorsque il sera nécessaire, sera présidée du président de la Région ou d'un assesseur chez lui délégué et en feront partie l'Autorité de Système Portuaire et les Chemins de fer. Ils seront invités permanents le Ministère des Infrastructures et des Transports et la Commune de Livourne, malgré ceci n'était pas prévu de l'accord de programme. Il s'vous assiéra même un représentant de la Commission Coûte du conseil régional.

|