- « Pour maintenir une position d'avant-garde dans le monde manifacturier toujours plus nécessaire il est adapté développe des infrastructures et de la logistique, de façon à assurer des transports rapides, efficaces et économiques entre les aires nationales ou européennes et celle-là grande porte sur le monde qui est la mer ». Il l'a mis en évidence la Fédération de la Mer, l'organisation qui réunit une grande partie des associations du secteur maritime italien, à conclusion de la tribune « Shipping, Forwarding & Logistics Meet Industry qui est terminé vendredi à Milan.
- La Fédération de Sistema Maritime Italien s'est rappellée de qu'aujourd'hui la flotte de drapeau italien est parmi les principales au monde (troisième des grands pays réunis dans le G20) et on situe parmi les 16 et les 17 millions de tonnes de jauge brute, avec des positions d'absolu relief dans les secteurs plus sophistiqués (ro-ro, bateaux de croisière, bateaux pour produits chimiques) et que l'impact sur l'économie italienne des activités maritimes va au-delà des aspects plus étroitement liés à leur dimension trasportistica et implique directement même les secteurs productifs, manifacturiers et tertiaires, de l'économie. L'cluster maritime industriel dépense en effet annuellement presque 20 milliardes d'euro en achats de biens et services.
- La Fédération s'est rappellée en outre de que dans le 2016, derniere année de où ils soient des disponibles relevés complets, l'Italie a importé pour mer 200 millions de tonnes de marchandises et il en a exporté 70 millions. À cela on ajoute le transport interne de marchandises qui se situent aujourd'hui sur les 95 millions de tonnes. Dans l'ensemble, donc, pour les ports italiens elles sont passées au-delà de 480 millions de tonnes de marchandises : 180 millions de marchandises liquides en vrac, 70 millions de tonnes de vracs solides, 196 millions de marchandises diverses dont (, de 95 millions de tonnes sur carrossables et de 120 millions en conteneur). De cette énorme quantité de marchandises, brutes, semi-ouvrées et finies, 80 millions de tonnes sont des sources énergétiques fossiles, comme brut et gaz, et ont une logistique toute elles ; mais le reste, presque 400 millions de tonnes, demandent des déplacements et vers des ports à travers le pays, c'est-à-dire activités logistiques : ils sont, par exemple - il a spécifié la Fédération de la Mer - 44 millions de tonnes de produits pétrolifères raffinés, 24 de produits manufacturés en métal, 24 de produits agricoles et alimentaires, 17 de minéraux, de 14 de produits chimiques et articles en plastique et de gomme, sept de matériels de bâtiment, autant de tonnes de bois et papier, pour finir avec des produits à elevée valeur ajoutée, comme cinq million de tonnes d'appareillages et outillages, trois de transports, un million de tonnes de mobiliers.
- Il doit être souligné ensuite - il a mis en évidence la Fédération - comme aujourd'hui la logistique soit d'évaluer pas seulement sous le profil de la quantité mouvementez, mais sous celui de la valeur même des activités logistiques, qui souvent constituent une partie considérable de la valeur de la marchandise. En tel sens, la production italienne - main à la main qu'il augmente de valeur - doit se faire chargé même des activités de transfert à destine de la marchandise, en abandonnant l'habitude jusqu'ici souvent suivie de la cession « franc fabrique ». Le système maritime, la logistique et l'industrie manifacturière - il a remarqué la Fédération de la Mer - trouvent donc une naturelle et nécessaire interdépendance. Dans le plein respect de la concurrence, leur intégration sera condition pour un ultérieur développe. Pour maintenir une position d'avant-garde dans le monde manifacturier, toujours plus nécessaire il est adapté développe des infrastructures et de la logistique, de façon à assurer des transports rapides, efficaces et économiques entre les aires nationales ou européennes et celle-là grande porte sur le monde qui est la mer.
- En observant que le relief du cluster maritime doit rappeler même à une efficace coordination administrative en matière maritime, en donnant ainsi répondue à une question combien jamais sentie lorsque des compétences maritimes elles ont été progressivement dispersées parmi plus d'administrations, la Fédération de la Mer a conclu en souhaitant une adéquate attention au secteur en siège politique et qu'une chaîne de commandement bien fonctionnant, avec une administration spécialisée, se fait à chargement des problèmes et ports la solution déterminée à sa réalisation en temps serrés, conformes aux standards internationaux caractéristiques du monde maritime.
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