- Suite à la collision entre un bac et une portacontainer produite dimanche près de Chef Corso, à nord de la Corse, l'organisation environmentaliste WWF Italie a rapporté à nouveau l'attention sur la dangerosité de la navigation dans les Bouches de Bonifacio, le détroit qui sépare la Corse de la Sardaigne, et sur l'impact qui un incident de ce type aurait pu avoir sur l'écosystème de l'aire.
- « Malgré le mécanisme de sécurité lié à Ramogepol (le plan d'intervention adoptée de France, Italie et Principauté de Monaco en cas de pollutions marines dans la Méditerranée nord-occidentale, ndr) se soit-vous immédiatement activé - il a remarqué le président de WWF Italie, Donatella Bianchi - qu'est-ce que se serait passé si la collision s'était produite à l'intérieur du Détroit de Bonifacio, une aire extrêmement fragile qui continue à être exposée à un trafic extrêmement elevé ? Nous aurions eu un désastre ambiant en mesure de mettre à risque d'un des patrimoines naturels de notre Pays, comprise l'aire marine de La Maddalena ».
- L'organisation environmentaliste a mis en évidence que des données officielles remarquées des locales Capitaineries du port sur le trafic de bateaux et les incidents le long des Bouches de Bonifacio il peut se déduire que l'aire est constamment sujette au risque de pollution à cause de la considérable navigation qui se vous déroule et de la typologie de bateaux qui y transitent. « Il résulte des informations dans notre possession - il a précisé WWF Italie - que le 63% des bateaux en transit est classifié comme « High/very High Risk », en second lieu le méthodologie IMO. Parmi les recommandations de IMO (International Maritime Organization), qu'il a déclaré l'aire du Détroit de Bonifacio et les zones environnantes comme « Aire elle marine particulièrement sensible » (Particularly Sensitive Sea Aire - PSSA), figure en effet l'activation du pilotage contrôlé. Du départ de l'expérimentation, cependant - il a spécifié l'organisation environmentaliste - des demandes de pilotage elles ont été seulement 14. Dans les 2018 trois seuls bateaux de gros tonnage (plus grand de 86.000 tonnes). Des analyses de Bonifacio Strait Pilotage System il émerge qu'en moyennes tous les ans ils traversent le détroit de Bonifacio 3.500 bateaux dont (10% français, le 26% italienne et le 64% battants autres drapeaux). Tous les ans ils a il y les 50 les bateaux auxquels elle est contestée manquée de l'observance des « recommandations » IMO quelles mesures associées de protection ambiante, ou bien du pas respect des routes et/ou de la communication avec la station VTS comme prévu. À ceci on ajoute la totale inosservanza de la dernière recommandation, le pilotage, à l'exception d'une compagnie (NYK Line) qu'aussi snon en ayant l'obligation il a respecté les recommandations IMO in toto, en confirmant aussi qu'il continuera à le faire même dans futur ».
- « L'aire des Bouches de Bonifacio - il a observé Donatella Bianchi - est parmi les zones du paysagement plus belles et riches que biodiversité de la Méditerranée, avec des caractéristiques naturelles d'absolue importance et d'unicité, comme est témoignée de la même institution de l'aire marine protégée de La Maddalena. Il s'agit, cependant, même une zone de navigation très dangereuse, avec un volume elevé de trafic de bateaux de chaque genre, comprises des bateaux avec des chargements dangereux (pétroliers, chimichiere et gasiere). Pour ces raisons l'aire jouit de différentes mesures et niveaux de tutelle, nationaux et transnationaux. Comme il montre l'incident à large de la Corse, malheureusement, le danger n'est pas seulement lié aux bateaux qui transportent des chargements dangereux, comme les pétroliers ou le chimichiere, mais même à la énormes quantité de carburant qui sont présents dans les citernes des bateaux qui constituent, de pour lui, un risque ».
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- WWF Italie s'est rappellé de que dans l'arc des derniers 42 ans dans les eaux des Bouches de Bonifacio on a vérifié 29 incidents maritimes connus et enregistrés, parmi lesquels 14 échouent, sept naufrages, quatre heurte, trois manqués des incidents et une collision. Pour réduire le risque d'incidents l'organisation environmentaliste a formulé une série de propositions pour la sécurité de la navigation dans l'aire, à partir de l'implémentation et financement dans le moyen terme tous les systèmes à aujourd'hui disponibles pour un meilleur contrôle des trafics maritimes pour garantir avant tout la sécurité de la navigation des grands bateaux qui transportent des substances dangereuses, en vérifiant qu'ils soient en possession de la documentation d'assurance nécessaire, et en réglant l'intense trafic de bacs, de bateaux de croisière et d'autres navires de transport marchandises qui puissent provoquer des dommages à l'ambient je marine et côtier en cas de collision avec autres bateaux, infrastructures ou obstacles naturels. Dans le long terme, par contre, il est heureux le départ d'une initiative coordonnée avec le gouvernement français et de l'Union Européenne, en cohérence avec l'accord entre France et Italie du 15 juin 2010 et avec les deux résolutions IMO de 1993 et du 2012, pour un accord international en domaine IMO qui défend la navigation de marchandises dangereuses dans les Bouches de Bonifacio.
- En outre, selon WWF Italie, il est nécessaire d'appliquer pleinement la Convention de Barcelone et le Protocole sur les aires protégées et la diversité biologique de la Méditerranée, même en relançant la parcours institutionnelle, comme prévu dans l'Accord prestigiacomo-Borloo du 2010, pour la création de la parque je marine transnational des Bouches de Bonifacio. Il est nécessaire même de promouvoir en phase transitoire des moyens de coopération volontaire parmi des sujets publics et privés pour prévenir et limiter les dangers d'incident, la pollution et ils donnent ambiant marine.
- WWF Italie propose enfin de garantir une adéquate information pour les armateurs, les commandants des bateaux, les compagnies d'assurance sur l'existence du « Service de pilotage recommandé », comme réglementé de l'ordonnance n° 73/2014 de la Capitainerie du port La Maddalena, et recommande une pleine implication de l'Union Européenne dans l'action institutionnelle en matière de sécurité des trafics et de respect des standards techniques de sécurité dans les Bouches de Bonifacio et à l'appui la proposition en siège IMO.
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