Le cargo aérien représente le 22,6% de la valeur de l'export italien extra EU
Une étude de l'Observatoire Cargo Aérien met en évidence l'gap parmi le système d'aéroport italien et celui des principaux concurrents européens
22 Mai 2019
et, donc, on confirme un secteur fondamental pour l'économie de l'Italie, Pays traditionnellement vocato à l'exportation et qu'il fait de la qualité de ses produits (Made en Italy) la clé de son passé commercial. Il le souligne « le transport aérien marchandises en Italie : efficacité et efficacité par rapport à aux principaux concurrents européens », à la première étude réalisée en collaboration avec Ernst & Young de l'Observatoire du Cargo Aérien, au projet entamé l'an passé du Cluster Cargo Aérien constitué de ANAMA (Association Nationale Agent Marchandises Aériennes), à Assaeroporti (Association Italienne Gérants D'aéroports), à Assohandlers (Association Nationale Opérateurs Services D'aéroports de Handling) et IBAR (Italian Board Airline Representatives).
L'étude, qui a été présentée hier à Milan dans le domaine de la rencontre « Observatoire Cargo Aérien : nous donnons les nombres ! », il avait l'objectif de ramasser des données sur les deux principaux aéroports cargo italiens - Milan Malpensa et Roma Fiumicino - pour en évaluer la compétitivité par rapport aux principales réalités d'aéroportes européennes : Amsterdam, Bruxelles, Paris, Madrid, Francfort, Munich, Lipsia, Liegi, Luxembourg et Zurich.
Si le document met en évidence consistant cote de valeur de l'export italien extra EU mouvementé du cargo aérien, il souligne même comme soit encore grand l'gap parmi le système d'aéroport italien et celui des principaux concurrents européens : Milan Malpensa et Roma Fiumicino, en effet, mouvementent seul le 7% des marchandises européennes, pendant que les premiers trois aéroports - des Amsterdams, Paris et Francfort en mouvementent le 55%.
L'étude de l'Observatoire Cargo Aérien cherche à expliquer cette différence en analysant et en approfondissant quelques aspects qui se révèlent détérminants pour la compétitivité d'un aéroport. Avant tout les infrastructurations, qui voient Fiumicino et Malpensa fanalini de queue relativement au nombre des magasins : seulement cinq à Fiumicino et six à Malpensa par rapport aux 50 de Frankfurt Main. Modeste même la dimension des magasins : 25.000 mètres carrés à Fiumicino et 70.000 mètres carrés à Malpensa par rapport à Paris Charles de Gaulle avec 700.000 mètres carrés. En outre les aéroports de Fiumicino et de Malpensa ont des vastes marges d'amélioration sur accessibilité et services pour camion et chauffeurs.
Un autre vu que il mérite de l'attention est le modèle de concession des espaces d'aéroports : dans huit des 12 aéroports pris en analyse (à exclusion de ceux italiens, de Bruxelles et de Zurich) la gestion des escales est public ou à forte partecipation publique.
Relativement aux flux de trafic, en termes de nombre de destinations Malpensa et Fiumicino ils se placent au fond du classement, respectivement à la dernière place (avec 51 destinations) et à la quatrième avant le dernier place (avec 90 destinations) contre Amsterdam Schiphol (431), suivi de Paris Charles de Gaulle (364) et de Frankfurt Main (300). Toutefois, pendant que Roma Fiumicino se place à la dernière place pour marchandises mouvementées, Malpensa se place à la septième place des panel soit pour marchandises totaux soit pour marchandises dans import et export, en mettant en évidence une croissance dans la dernière décennie du +6,9%, la troisième plus haute faite enregistrer des escales du panel après Leipzig A les (CAGR +9,8%) et Paris Charles de Gaulle (CAGR +8,4%).
L'étude analyse même l'opérativité et les services des aéroports, en remarquant que Fiumicino et Malpensa se placent sur des niveaux de saturation respectivement du 66% et 60% : une donnée positive qui indique comme les deux aéroports aient encore une capacité potentielle respectivement du 34% et du 40%. Toutefois les deux aéroports offrent le service de Douane H23/7 seulement pour dédouanements électroniques. Sur la moyenne, par contre, la couverture garantie en ce qui concerne les services pour marchandises spéciales.
Pour lorsque il concerne les investissements émerge la donnée positive de Milan, à la première place pour nombre d'initiatives infrastructurales parmi les aéroports du panel. Peu, par contre, les initiatives en domaine digitale prés de l'escale de Fiumicino.
« Avec le projet de l'Observatoire - il a expliqué Marina Marzani, président de ANAMA - nous voulons donner voix au cargo aérien, qui représente une niche d'un secteur, celui du transport marchandises, que malgré bonds peu aux honneurs de la chronique est fondamental pour la compétitivité d'un Pays. Une voix qui fait des données sa force et son autorité ». « Cette première étude - il a observé Marzani - rend un cadre en clair-obscur de nos principaux aéroports : quelques aspects de qualité et beaucoup d'autres sur lesquels travailler, public et privé ensemble, pour améliorer : en primis les infrastructures, indispensables pour donner à services à la marchandise et aux camions (des pistes, magasins, parkings, routes de liaison, et cetera) et un accroissement des routes servies, pour augmenter les flux de trafic. En outre, elle est nécessaire une accélération dans les digitalizzazione des procès, qui permettrait une majeure efficacité et une fiabilité dans la gestion des flux physiques et informatifs parmi les opérateurs de la filière. En particulier, il est nécessaire de promouvoir en Italie l'utilisation de la lettre de voiture aérienne électronique (et -et-AWB), qu'il voit Malpensa et Fiumicino aux dernières places dans la comparaison européenne ».
« Je retiens - il a affirmé le directeur général de l'Organisme National pour l'Aviation Civile (ENAC), Alessio Quaranta, dans son intervention - que, en termes de politiques publiques, un secteur comme celui du cargo aérien, en croissance et à haute valeur ajoutée, ait besoin d'une approche ad hoc (que dans autres Pays européens il existe), qu'en considère la spécificité : l'elevée qualité de produit transporté a besoin de temps rapides de gestion et de consigne, seconde les exigences du marché. Ce j'attends doit être compris des opérateurs publics et privés lorsque ils s'aménagent les interventions de je développe des escales (simplification des procès, services, infrastructures). Credo il y ait aussi bien travail à faire mais, comme je disais, la route est tracée : cette étude nous fournit claire indication des objectifs et de la route à parcourir. Faire équipe a été fondamental dans ces ans et il sera encore davantage à partir d'aujourd'hui. Nous attendons l'étude de l'an prochain pour connaître ce qui auront été les pas en avant faits du système du cargo aérien en Italie ».
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