- À l'occasion du COP25, la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui sont en cours du 2 au 13 décembre à Madrid, l'organisation pas -pas-profit Transport & Environment (T&E), dont objectif il est de promouvoir le transport soutenable en Europe, ont présenté son analyse sur la contribution de shipping aux émissions de gaz à effet serre qui se base sur les données sur les émissions de CO2 engendrez du transport maritime ramassées de l'EU à travers le système MRV de monitorage, communication et vérifient de ces émissions, de données - il a spécifié T&E - qui sont très brutes et demandent un ultérieur approfondissement.
- Le document élaboré de T&E particulière, sur la de base de ces données, la contribution aux émissions de gaz serre des compagnies de navigation qui actionnent dans le secteur du transport maritime containerizzato et que, évidemment, ils emploient les flottes de majeure consistance dans les trafics avec les ports européens. La contribution, comme il résulte de l'analyse de T&E, est aussi évidemment proportionnelle au nombre portacontainer d'utilisées dans l'aire de ces compagnies.
- Le document de T&E pose à la première place parmi les compagnies de navigation le Mediterranean Shipping Company (MSC) que, avec 362 bateaux, la plus nombreuse flotte employée dans la région, contribue aux émissions avec 11.04 millions de tonnes de CO2. Ils suivent l'A.P. Møller-Mærsk avec 335 bateaux pour 8.22 millions de tonnes CO2, CMA CGM avec 231 bateaux et 5.67 millions de tonnes de CO2, de la hapag-Lloyd avec 135 bateaux et de 4.32 millions de tonnes de CO2, COSCO avec 113 bateaux et de 3.71 millions de tonnes CO2, l'Ocean Network Express (ONE) avec 68 bateaux et 2.32 millions de tonnes CO2, l'Evergreen Line avec 50 bateaux et 1.48 millions de tonnes de CO2, de Yang Ming Marine Transport Corporation avec 29 bateaux et de 0.80 millions de tonnes de CO2, de l'Unifeeder avec 32 bateaux et de 0.40 millions de tonnes de CO2 et de Xpress Feeders avec 28 bateaux et 0.34 millions de tonnes de CO2.
- L'analyse de Transport & d'Environment met en évidence que le premier vecteur maritime, MSC, figure à la huitième place dans la liste des premiers dix producteurs d'anhydride carbonique dans l'Union Européenne dans le 2018. La liste voit aux premières sept places des centrales électriques à charbon, avec la première - la central thermo-électrique située à Belchatow, en Pologne - qui émet 38.3 millions de tonnes de CO2, avec à la neuvième place une autre central thermo-électrique et à la dixième place la compagnie aérienne Ryanair.
- En outre l'analyse souligne qu'il y a une vaste différence de performance, en termes d'émissions moyennes (grammes de CO2 pour tonne-milles nautiques), parmi les standards de projet des bateaux et les prestations réalisées des bateaux en service. Selon T&E, à cause de cette différence de performance moitié du transport maritime de marchandises en Union Européenne a produit environ 22 millions de tonnes de CO2 en plus par rapport à quel les mêmes bateaux auraient émis s'ils avaient actionné selon combien prévu des standards de projet. Le rapport observe que, en présumant le même écart de prestations pour la partie restante de la flotte employée dans l'EU, troisième des émissions maritimes dans l'EU il pourrait être attribué à cette différence de performance. Pour T&E, « cela il met en évidence l'inadéquation des standards de projet naval comme moyen régulateur pour décarboniser le secteur ».
- Transport & Environment précise même que le rapport révèle que le quantitatif de CO2 émis dans le 2018 shipping et de l'attribué de cette analyse à Hollande, à Belgique, Norvège, Lettonia et Estonia résultait majeure ou comparable au CO2 produite de la flotte nationale de voitures passagers de ces nations ; en outre en France, Allemagne, Royaume uni, Espagne, Suède et Finlande les émissions de shipping dans le 2018 ont résulté majeurs des émissions de toutes les voitures immatriculées dans au moins dix des plus grandes villes de chaque nation.
- Le document spécifie en outre qu'environ le 20% des émissions de CO2 du transport maritime est produit de bateaux qui transportent des combustibles fossiles, comme charbon, pétrole brut ou gaz naturel liquefié, et qu'en France, Norvège et Lettonia cette en pour-cent est supérieure à troisième des émissions maritimes nationales attribuées de l'analyse à ces nations.
- L'étude conclut en recommandant l'inclusion du transport maritime dans le système de l'EU pour l'échange de parts d'émissions des gaz à effet serre (ETS) à travers l'institution d'un European Maritime Climate Fund avec le but d'assurer que le secteur de shipping paye pour la pollution de carbone qui produit. En outre le document exhorte à imposer au transport maritime, dans le domaine du système MRV, standards opérationnels de l'EU sur les émissions de CO2 au fin de couper les émissions et de favoriser la diffusion de technologies pour l'efficacité énergétique et combustibles à zéro émissions de carbone.
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