- Suite à la délibération n. 233 le 4 mars passé, que nous publions de suite, avec lequel l'Autorité Nationale Anticorruzione (ANAC) a déclaré Zeno D'Agostino déchu de la charge de président de l'Autorité de Système Portuaire de Mare Adriatico Orientale puisque telle charge aurait été inconferibile pour la précédente tâche d'Agostino aux sommets de la Trieste de Terminal Passagers, dont l'AdSP, détient le 40% des parts, la ministra des Infrastructures et des Transports, Paola De Micheli, en confirmant son estime dans les actes de Zeno D'Agostino, a nommé Mario Sommariva commissaire extraordinaire de l'Autorité de Système Portuaire. La tâche à Sommariva, actuel secrétaire général de l'AdSP de Mare Adriatico Orientale, a été formalisée vendredi avec la signature du décret de la part du ministre.
- L'AdSP a mis en évidence que la nomination veut garantir la continuité de l'action administrative de l'Autorité et la conclusion de tous les procédures déjà dans être et a spécifié que de MIT elle est arrivée même assurance sur la validité et efficacité de tous les actes jusqu'aujourd'hui adoptés sous la gestion d'Agostino. À telle intention l'organisme portuaire a annoncé que Sommariva a déjà signé un décret de valide de tous les actes délibérés du 2016 à aujourd'hui.
- « Je remercie - il a déclaré Sommariva - le ministre Paola De Micheli par la confiance accordée au soussigné. La tâche a le but d'assurer stabilité et continuité pour le temps étroitement nécessaire au plein rétablissement des organes de sommet, que je souhaite se produise dans le plus bref temps possible. Le port est motrice économique de la ville et il ne peut pas s'arrêter ».
- Autorité Nationale Anticorruzione
- Président
- Délibération n. 233 du 4 Mars 2020
- relative à la vérification d'une situation d'inconferibilità dont à l'art. 4 du d.lgs n. 39/2013, en se référant à la tâche de Président de l'AdSP omissis
- Dossier UVIF n. omissis /2019
- Le Conseil de l'Autorité Nationale Anticorruzione
- dans l'assemblée du 4 Mars 2020 ;
- vu l'article 1, l'alinéa 3, de la loi 6 novembre 2012, n. 190, selon lequel l'Autorité Nationale Anticorruzione exerce des pouvoirs d'inspection au moyen de demande de nouvelles, informations, actes et documents aux administrations publiques et commande l'adoption d'actes ou des mesures demandées du plan national des anticorruptions et des plans de prévention de la corruption des individuelles administrations et des règles sur la transparence de l'activité administrative prévue de la réglementation sont en vigueur, ou bien le déplacement de comportements ou les actes contrastant avec les plans et les règles sur la transparence ;
- vu l'art. 16 du d.lgs. 8 avril 2013 n. 39, selon lequel l'Autorité Nationale Anticorruzione veille sur le respect, de la part des administrations publiques, des organismes publics et des organismes de droit privé en contrôle je publie, des dispositions dont à cité décret, dans il craint d'inconferibilità et d'incompatibilité des tâches, même avec l'exercise de pouvoirs d'inspection et de vérification d'individuelles fattispecie d'attribution des tâches ;
- vue la relation du Bureau Vigilance sur l'impartialité des fonctionnaires publics (UVIF).
- Fait
- Elle a parvenu à cette Autorité une signalisation ayante à objet présumée hypothèse d'inconferibilità de la tâche de Président de l'Autorité de Système Portuaire omissis à l'omissis, déjà Président de l'omissis.
- De l'instruction il tourne de l'Autorité est émergé que l'omissis a été : - Commissaire Straordinario de l'AdSP omissis de l'omissis à l'omissis ; - Président de l'omissis de l'omissis à ce jour en vertu du renouvellement intervenu l'omissis ; - Président de l'AdSP omissis de l'omissis à ce jour.
- Par conséquent, il s'est retenu applicable, au cas à l'étude, l'art. 4, la Co. 1 lett. b), du d.lgs n. 39/2013 aux sens dont « aux àquels, dans les deux ans précédents, ils aient déroulé des tâches et ont recouvert chargées en organismes de droit privé ou financié de l'administration ou de l'organisme public qui confère la tâche […] ils ne peuvent pas être conféré : b) les tâches d'administrateur d'organisme public, de niveau national, régional et local ».
- Cette Autorité, suite à délibéré consiliare de l'omissis il a communiqué aux sujets intéressés le départ d'une procédure de vigilance ex art. 16, Co. 1, du d.lgs n. 39/2013 relatif à une possible hypothèse d'inconferibilità, aux sens du susmentionné article, de la tâche de Président de l'AdSP omissis.
- L'omissis, après avoir reparcouru l'histoire de l'omissis et l'alternance dans les tâches, a retenu pas applicable l'art. 4 du d.lgs n. 39/2013 au fattispecie à l'étude.
- Avec suivante note prot. omissis, l'omissis a envoyé à cette Autorité un avis légal - rédigé de l'omissis - dans lequel on a exclu la répétition d'exposée fattispecie d'inconferibilità.
- Avec note prot. omissis, RPCT de l'AdSP omissis a adhéré aux considérations suesposte de la part de l'omissis et on est opposé aux considérations formulées de cette Autorité en demandant l'archivage de la procédure de quo.
- Droit
- Applicabilità de l'hypothèse d'inconferibilità dont à l'art. 4, Co. 1 lett. b), du d.lgs n. 39/2013
- De l'instruction il tourne de l'Autorité est émergé que l'omissis a été :
- Commissaire Straordinario de l'AdSP omissis de l'omissis à l'omissis ;
- Président de l'omissis de l'omissis à ce jour en vertu du renouvellement intervenu l'omissis ;
- Président de l'AdSP omissis de l'omissis à ce jour.
- L'attribution de la tâche de Président de l'AdSP omissis s'est produite en violation de la discipline dont à l'art. 4 Co. 1 lett. b) du d.lgs n. 39/2013 aux sens dont « aux àquels, dans les deux ans précédents, ils aient déroulé des tâches et ont recouvert chargées en organismes de droit privé ou financié de l'administration ou de l'organisme public qui confère la tâche […] ils ne peuvent pas être conféré : b) les tâches d'administrateur d'organisme public, de niveau national, régional et local ; ».
- Ils recourent, en effet, les éléments constitutifs de la susmentionnée fattispecie, eu en ce qui concerne :
- Nature juridique de l'organisme en provenance omissis aux fins de ses ricomprensione dans la définition d'« organisme de droit privé réglé ou financié » delequel à l'art. 1, de Co. 2 lett. d), du d.lgs n. 39/2013 ;
- Nature juridique de la charge tourne en provenance aux fins de sa riconducibilità dans la définition de « tâches et de charges en organismes de droit privé réglés ou financiés » aux sens de l'art. 1, Co. 2 lett. et) du d.lgs n. 39/2013 ;
- Nature juridique de l'organisme de destination ou bien de l'AdSP omissis aux fins de ses ricomprensione dans la définition d'« organisme public » ex art. 1, Co. 2 lett. b) du d.lgs n. 39/2013 ;
- Nature juridique de la charge de destination ou bien de Président de la susdite Autorité, aux fins de sa riconducibilità dans la définition d'« administrateur d'organisme public » dont à l'art. 1, Co. 2 lett. l) du d.lgs n. 39/2013.
- Nature juridique de l'organisme de provenance : omissis « organisme de droit privé réglé ou financié »
- Il faut, d'abord, vérifier la structure sociale ainsi que les fonctions déroulées de l'omissis au fin de sa riconducibilità dans la notion d'« organismes de droit privé dont réglés ou financiés » à l'art. 1, à co.2 lett. c), du d.lgs n. 39/2013. Aux sens de la disposition citée ils sont telles « les sociétés et les autres organismes de droit privé, même tu prives de personnalité juridique, dans les comparaisons dont l'administration qui confère la tâche : 1) qu'il déroule des fonctions de régulation de l'activité principale qui comporte, même à travers le relâchement d'autorisations ou de concessions, l'exercise continué de pouvoirs de vigilance, de contrôle ou de certification ; 2) qu'il ait une partecipation minoritaire dans le capital ; 3) tu financies les activités à travers des rapports conventionnels, quels contrats publics, contrats de service public et de concession de biens publics ».
- Pour combien il conforme aux governance sociale, on remarque ce qui suit.
- La société a été constituée aux sens et pour les effets omissis, qui prévoit la faculté pour les Autorités de système portuaire de promouvoir la constitution de société privatistiche pour la déroulement de services d'intérêt général.
- Originairement l'omissis pouvait se qualifier comme société en house de l'AdSP omissis, tenu compte qui ce dernier organisme en détenait l'entier capital social.
- La situation est changée dans l'omissis, lorsque l'alors Autorité Portuaire a banni une procédure à évidence publique pour la cession du 60% du capital social d'omissis.
- À je hésite de la susdite, les actions de l'omissis appartiennent seul dans la mesure du 40% à l'AdSP de l'omissis qui est, donc, associé de minorité. L'restant omissis des actions de l'omissis ils appartiennent à l'associé privé omissis.
- En particulier, l'omissis est une société à responsabilité limitée le capital de laquelle est détenu omissis.
- Sur les de base des pactes parasociali et du statut social, à l'organisme public (AdSP) elle revient la nomination de deux membres des cinq actuellement en charge du Conseil d'Administration de l'omissis. Par conséquent la majorité des nominations est effectuée de la part de l'associé de majorité privé.
- Pour ce qui concerne le profil fonctionnel, se met en évidence ce qui suit.
- L'omissis déroule, autant, toutes ces activités essentielles, connexes, collatérales et de support corrigé à s'étaler des opérations d'omissis.
- Il s'occupe, aussi, de projeter omissis.
- Très précédent, l'omissis. il rentre dans la notion dont à l'art. 1, à co.2 lett. d) du d.lgs n. 39/2013 ou bien cette d'« organismes de droit privé réglés ou financiés » parce que de la susmentionnée catégorie il présente au moins deux éléments constitutifs.
- D'abord, l'AdSP détient cote, si toutefois pas de majorité omissis, du capital de l'omissis. Il peut se dire, par conséquent, complété la qualité dont au nombre 2) de la susmentionnée disposition (« il ait une partecipation minoritaire dans le capital »).
- En deuxième lieu l'omissis est sujet au pouvoir de régulation de l'AdSP dont au n. 1) du même article cité : (« 1) déroule des fonctions de régulation de l'activité principale qui comporte, même à travers le relâchement d'autorisations ou de concessions, l'exercise continué de pouvoirs de vigilance, de contrôle ou de certification »).
- En effet aux sens de l'art. 16, de la Co. 3, l. n. 84/1994 « l'exercise des activités dont à l'alinéa 1, remplies pour le compte vraiment ou de tiers, est sujet à autorisation de l'autorité portuaire ou, là où pas instituées, de l'autorité maritime. Il dicte autorisation concerne la déroulement d'opérations portuaires dont à l'alinéa 1 préalable il vérifie de la possession de la part du demandeur des qualités. […] Les entreprises autorisées je suis inscrit en appropriés registres distincts tenus de l'autorité portuaire ou, là où pas instituée, de l'autorité maritime et sont sujets au paiement d'un loyer annuel et à la prestation d'une caution déterminée des mêmes autorités ».
- À cela il s'ajoute combien disposé de l'art. 18, co.1, l. n. 84/1994 aux sens dont « l'Autorité portuaire et, où pas instituée, ou bien avant son installation, l'organisation portuaire ou l'autorité maritime donnent en concession les aires domaniales et les quais compris dans le domaine portuaire aux entreprises dont à l'article 16, alinéa 3, pourl'accomplissementdesopérationsportuaires, faitesauvel'utilisationdesimmeublesde la partd'administrationspubliquespourladéroulementdefonctionsrelativesà desactivitésmaritimesetportuaires. »
- Par conséquent, en tant que le combiné disposé des articles cités, il émerge que l'omissis actionne sur la base de mesures des concessori et des autorizzatori émis de l'AdSP d'omissis et est, par conséquent, subordonné à sa vigilance au-delà d'entretenir avec l'Autorité compares dont conventionnels au n. 3 de l'art. 1, Co. 2 lett. d), du d.lgs n. 39/2013.
- On ne pose pas donc de doutes en ordre à la qualification de l'omissis comme organisme de droit privé réglé ou financié de l'AdSP d'omissis aux sens et pour les effets dont à l'art. 1, Co. 2 lett. d), du d.lgs n. 39/2013.
- Nature juridique de la tâche en provenance : Président de l'omissis « je charge en organismes de droit privé réglés ou financiés »
- En ordre à la subsistance, en cas de surtout, des qualités relatives la charge en provenance faut, encore, vérifier la riconducibilità des susdite dans la notion de « tâches et charges en organismes de droit privé dont réglés ou financiés » à l'art. 1, Co. 2 lett. et), du d.lgs n. 39/2013. Pour des tels ils doivent s'entendre « les charges de président avec des délégations gestionnaires directes, administrateur délégué, les positions de dirigeant, la déroulement stable d'activité de consultation en faveur de l'organisme ».
- Donc, ce qui est dirimente est la question relative à l'éventuelle subsistance de pouvoirs gérants en chef al Presidente de la société omissis.
- Or donc, l'omissis et RPCT de l'AdSP ont déduit qui, de l'analyse de la visura camerale, émerge que, à l'omissis, l'omissis, en qualité de Président de l'omissis., assumait exclusivement le rôle de représentant légal de la société, en étant les délégations gestionnaires attribuées à deux administrateurs délégués.
- On est, donc, nié la possession de la part de l'omissis de pouvoirs gérants directs au moins jusqu'au printemps de l'omissis - instant où un des deux précédents administrateurs omissis et a été, donc, empêché à exercer les pouvoirs gérants dont il était attributario.
- Il faut, donc, analyser les pouvoirs et les tâches du Président de l'omissis en tenant contextuellement compte de ce qu'établi dans le statut social et de ce qu'éventuellement résultant d'actes suivants.
- D'abord, en tant que le combiné disposé de l'artt. omissis du statut social, émerge que le Président du CdA de l'omissis « convoque le Conseil d'administration, en fixe l'ordre du jour, il coordonne les travaux et en pourvoit pour que vous adaptez des informations sur les matières inscrites à l'ordre du jour soient fournies à tous les conseillers » au-delà de à d'avoir aussi de la représentation de la société conjointement à des éventuels administrateurs délégués qui soient, de tourne dans tourne, nommés.
- De la lecture des susmentionnés articles il apparaît que les susdits pouvoirs rentrent dans le domaine de ceux d'ordinaire représentation de la société, normalement attribués au Président, même sur la base des dispositions codicistiche.
- Il faut, cependant, avoir en ce qui concerne combien établi d'une récente jurisprudence administrative (cfr. sentence du Conseil d'État, section V, n.126 11.01.2018 et plus de récemment n. 2325/2019) qui a affirmé que, même si le statut ne prévoie pas expressément l'attribution de délégations gestionnaires en chef al Presidente, là où au Conseil d'administration soient donnés pouvoir des gérants, même le premier, pour le seul fait d'être membre de telle assemblée, résulte des parimenti investi de tels pouvoirs.
- Le Conseil d'État soutient que « pour le seul fait (…) qu'il est membre du comité de direction, au président sont assignées des fonctions de gestion », principe qui a été récemment confirmé même du Tar Latium, Rome dans la sentence n. 4780/2019.
- Donc en cas de surtout, en application de l'orientation susdite, on doit, de toute façon, retenir l'omissis titrer de compétences gestorie, dans dérivée par rapport au CdA qui en est directement l'attributario aux sens de l'art. omissis du statut de l'organisme sur la base dont « la gestion de l'entreprise revient exclusivement à l'organe d'administration, qui accomplit les opérations nécessaires pour la réalisation de l'objet social, il arrête en restant la necessité de particulière autorisation dans les cas demandés de la loi ».
- Sur le point même les récentes délibérations Anac nn. 373 et 450 du 8 mai 2019 ont confirmé la thèse du juge administratif dont en force ils peuvent être considéré attribuées au président, outre les pouvoirs au même spécifiquement conférés, même toutes les fonctions reconnues à l'organe collégial dont il fait partie (cfr. la plus grande délibération n. 373 du 8 mai 2019 que report « Dans le domaine des organismes publics et organismes privés en contrôle je me publie, la tâche de Président est sussumibile dans la définition « de tâches d'administrateur d'organismes publics et d'organismes privés en contrôle je publie dont », à l'art. 1, Co. 2 lett. l), du d.lgs n. 39/2013 quand le même soit doué de délégations gestionnaires directes. Sur le sujet, même si le statut ne prévoie pas expressément l'attribution de délégations gestionnaires en chef al Presidente, là où au conseil d'administration soient donnés pouvoir des gérants, même le Président, pour le seul fait d'être membre de telle assemblée, il résulte des parimenti investi de tels pouvoirs »).
- Telle conclusion n'est abjurée de la présence d'ou plus administrateurs délégués, en ne résultant pas dépourvue de qualité la censure formulée dans les controdeduzioni. L'omissis a déduit qui, en qualité de Président de l'omissis n'aurait pas eu de délégations gestionnaires directes (omissis) que, vice versa, étaient vous attribuez à deux administrateurs délégués dont (un ancre en charge) ; telle circonstance, dans l'optique du sujet intéressé, serait même apte à exclure l'applicabilità, au cas à l'étude, du principe exprimé de rappelée jurisprudence administrative tenu compte du fait qui, dans le fattispecie examinée du Conseil d'État, était absent la figure de l'administrateur délégué.
- Telle reconstruction ne peut pas être accueillie pour les raisons exprimées dans la susmentionnée délibération (n. 373/2019) là où cette Autorité a éclairci qu'au fin d'exclure que le Président d'un Conseil d'Administration soit titrer de délégations gestionnaires directes n'est pas suffisant la pure présence d'un administrateur délégué ou d'un directeur général dont inférer que la gestion soit d'une exclusive compétence de ces derniers. Il est nécessaire, c'est-à-dire, que tel je repars de compétences résulte déjà du statut et cela dans les termes qui suivent « pour exclure que le Président soit titrer de délégations gestionnaires directes il n'est pas suffisant que les pouvoirs gérants soient attribués au directeur général ou aux figures assimilées au moyen de délégation ou procure, en étant tels actes, pour eux nature, temporaires, révocables et attribués intuitu personae ; seulement une appropriée prévision statutaire sur les pouvoirs du directeur général ou des figures assimilées détermine une organisation de gouvernement social stable et continué ».
- Au cas à l'étude il est vraiment le statut social à prévoir expressément un mécanisme de revocabilità des fonctions et des relatifs pouvoirs attribués à l'administrateur délégué, qui, par conséquent, est toujours subordonné à la vigilance et à la potestà de déléguant, en tel cas le CdA et son Président. En effet l'art. omissis de rappelé statut dispose que « le Conseil d'Administration peut déléguer ses attributions (…) à un ou plus de son composante là compris le Président (…). Au Conseil il revient de toute façon le pouvoir de contrôle et d'évoquer à lui les opérations rentrantes dans la délégation, au-delà de que le pouvoir de révoquer les délégations ».
- Donc, en cas de surtout, l'administrateur délégué résulte titrer des susdites fonctions gestorie en vertu d'exprimées procurations conférées du CdA et cela ne vaut pas à exclure la riconducibilità du rôle tourne de l'omissis dans la catégorie dont à l'art. 1, Co. 2 lett. et), du d.lgs n. 39/2013.
- Très précédent, le rôle de Président de l'omissis rentre dans la définition de « tâches et de charges en organismes de droit privé dont réglés ou financiés » à l'art. 1, Co. 2 lett. et), du d.lgs n. 39/2013.
- Toutefois, il se met en évidence qu'ANAC a mieux perimetrato, dans le cours du temps, les tâches riconducibili au concept de « délégations gestionnaires directes » en chef à la figure du Président d'un organisme, en respect à combien à de statuito de la jurisprudence administrative intervenue sur le sujet. En effet la sentence du Conseil d'État n. 126 du 2018 a suggéré à ANAC une interprétation plus correcte du concept de « délégations gestionnaires directes ».
- Par conséquent, il faut remarquer que l'omissis a été nommé Président de l'omissis, donc dans donnée antécédent par rapport à l'orientation ermeneutico fourni du Conseil d'État n. 126/2018 et l'interprétation faite sa de l'Autorité en ordre à l'attribution au Président de tous pouvoirs de l'organe dont il fait partie.
- Nature juridique de l'organisme de destination ou bien de l'AdSP omissis : « organisme public économique »
- Il faut, maintenant, passer à l'analyse des qualités relatives l'organisme et la charge assumée en destination de l'omissis.
- De la lecture de la discipline de référence il émerge que les Autorités de Système Portuaire sont des organismes publics pas économiques d'importance nationale.
- En tel sens il dispose, en effet, l'art. 6 de L. n. 84/94 (se rend « Réarrange de la législation en matière portuaire ») comme modifié du D.L n. 169/2016 (règles sur « Réorganisation, rationalisation et simplification de la discipline concernant les Autorités portuaires dont à la loi 28 janvier 1994, n. 84, en réalisation de l'article 8, alinéa 1, lettre f), de la loi 7 août 2015, n. 124 ») aux sens dont « l'Autorité de système portuaire est organisme public pas économique d'importance nationale à système spécial et est douée d'autonomie administrative, d'organisation, réglementaire, de budget et financier ».
- Cette Autorité, dans les délibérations nn. 179 et 180 du 01.03.2017 et 846 de 02.10.2018, a déjà éclairci que l'AdSP rentrent dans la définition d'« organismes publics » dont à l'art. 1, Co. 2, lett. b), du d.lgs n. 39/2013 aux sens dont ils doivent s'entendre pour tels « les organismes de droit je publie pas territoriaux nationaux, régionaux ou locaux, de toute façon dénommés, institués, veillés, financiés de l'administration publique qu'il confère la tâche, ou bien dont les administrateurs soient de celle-ci nommés ».
- Très précédent, elle est circonstance maintenant pacifique que les Autorités de Système Portuaire rentrent dans le périmètre subjectif d'application du d.lgs mentionné et, en particulier dans la définition d'« organisme public » dont à l'art. 1, Co. 2 lett. b), du d.lgs n. 39/2013.
- Nature juridique de la charge de destination ou bien de Président de la susdite Autorité : « administrateur d'organisme public »
- L'omissis a été nommé Président de l'AdSP avec le D.M du Ministre des infrastructures et des transports omissis de l'omissis, après avoir recouvert la tâche de Commissaire Straordinario du même organisme.
- Aux fins de l'intégration du fattispecie d'inconferibilità exposée il faut vérifier la riconducibilità de la tâche tourne de l'omissis dans la définition d'administrateur d'organisme public dont à l'art. 1, Co. 2 lett. l), du d.lgs n. 39/2013 aux sens dont elles sont telles « les tâches de Président avec des délégations gestionnaires directes, administrateur délégué et assimilables, d'autre organe d'adresse des activités de l'organisme, de toute façon dénommé, dans les organismes publics et dans les organismes de droit privé en contrôle je publie ».
- Il faut, par conséquent, que le Président de l'organisme soit titrer de tâches des gérants tels à lui attribuer les compétences d'administration directe demandées de la disposition en question. Sur le point elle est la même réglementation de secteur (art. 8, Co. 2, l. n. 84/1994) à décliner les attributions du Président, en lui attribuant des compétences gestionnaires ; en particulier, en disposant que « au Président ils sont attribués les pouvoirs d'ordinaire et extraordinaire administration. Au Président elle revient la gestion des ressources financières en réalisation du plan dont à l'article 9, alinéa 5, lettre b) ».
- En outre, le même article éclaircit expressément que le Président est subordonné aux limites et aux preclusioni en matière d'inconferibilità et incompatibilité, en disposant testualmente que « le Président est sujet à l'application de la discipline dictée en matière d'incompatibilité, de cumule d'emplois et de tâches dont à l'article 53 du décret législatif 30 Mars 2001, n. 165 et du décret législatif 8 avril 2013, n. 39, ainsi que sur les limites retributivi dont à l'article 23-ter du décret-loi n. 201 du 2011, converti, avec des modifications, de la loi n. 214 du 2011 ».
- il n'y a pas des doutes, donc, que la charge de Président de l'AdSP soit riconducibile à la définition dont à l'art. 1, de la Co. 2 lett. l), du d.lgs n. 39/2013.
- Très précédent, en cas de surtout, ils sont des sussistenti tous les qualités demandées de la réglementation à l'étude pour compléter le fattispecie d'inconferibilità exposée.
- Il ne peut pas, en effet, s'accueillir l'objection bougée de RPCT de l'AdSP et de l'omissis en ordre à la succession chronologique des susdites tâches. Les sujets mentionnés, en effet, ont retenu pas applicable le fattispecie d'inconferibilità rendue de l'art. 4, Co. 1 lett. b), du d.lgs n. 39/2013 en niant que la tâche de Président de l'AdSP ait été attribuée à l'omissis dans la période de deux ans suivante à l'attribution de la tâche de Président d'un organisme de droit privé réglé et financié, quel l'omissis.
- Dans autres mots, en valorisant l'antécédente déroulement de la part du sujet en question de la tâche de Commissaire Straordinario de l'AdSP et en considérant l'un « unicum » sans solution de continuité avec la tâche de Président de la même Autorité, ont retenu que la nomination à président d'omissis. soit produite en constance de charge et pas, par contre, dans les deux ans antécédents la nomination.
- Cette Autorité (cfr. ex plurimis du n. 684 de 17.07.2019) a retenu que le renouvellement d'un sujet dans la même charge (ou dans une assimilable à la première) ne soient pas insignifiants aux fins de l'application de la discipline en matière d'inconferibilità. En effet, la confirmation d'un sujet dans la déroulement de la tâche déjà recouverte, si toutefois sans des différences fonctionnelles parmi les rôles, détermine l'exercise renouvelé de pouvoir relatif à un acte juridique de la part de l'administration conférante
- Cette Autorité, dans la délibération n. 642 de 12.06.2017, il a appliqué le principe suesposto même dans l'hypothèse dans lequel au sujet il ait été conféré la même tâche de la direction déjà revêtue, en retenant que « les tâches conférées au Doc. (…), en instants divergés, quoique des riferibili au même bureau, ne peuvent pas se retenir « un unicum » avec les précédents ; les tâches dans j'argue sont de se qualifier comme des véritables contrats stipulés ex novo (…). Cela puisque, le renouvellement de la tâche de la direction comporte renouvelé exercise de l'autonomie relative à un acte juridique (cfr. TAR Pouilles Lecce, sez II, n. 3239/2007 et TAR Sardaigne, Sez. I, n. 755/2014) ».
- À majeure raison, la conclusion susdite oeuvre au cas, comme cela à l'étude, de attribution d'une tâche institutionnellement différente (Président) de celui déjà déroulé dans le même organisme (Commissaire Straordinario).
- Cela, d'autre part, est conformement à la ratio inspiratrice de l'art. 4 du d.lgs n. 39/2013 qui consiste dans la volonté d'éviter que le sujet auquel il est conféré la tâche puisse plier l'intérêt je persécute de l'administration ou de l'organisme public qui cette tâche lui a conféré à des intérêts de l'organisme de droit privé dont il provient.
- Or donc, la tâche de Commissaire Straordinario de l'AdSP a été déroulée à titre exclusif de la part de l'omissis contrairement à celui de Président du même organisme qui a été assumé successivement et en constance du rôle je tourne dans le domaine de l'omissis.
- Le législateur, avec la disposition à l'étude, a entendu tipizzare, ex ante, des situations de potentiel conflit d'intérêts au fin d'en paralyser l'apparition. Bien à voir, en effet, dans l'fattispecie objet d'analyse elle se réalise celle-là typique situation d'interférence parmi des intérêts privatistici et qui se rapporte au journalisme qui déterminent un risque de lésion à l'impartialité administrative. Vraiment telle circonstance ou bien la necessité d'apprêter une tutelle plus incisive là où il y ait risque qui la satisfaction de l'intérêt privé soit placé avant à celui public, a poussé le législateur à introduire un régime de preclusioni plus lourd (artt. 4.5 et 9 du d.lgs n. 39/2013).
- Sur le pouvoir de vérification de ANAC.
- ANAC a un particulière pouvoir de contrôle et de vérification sur les hypothèses d'inconferibilità et incompatibilités disciplinées du d.lgs. 39/2013 et, en général, sur la correcte application de la susdite réglementation.
- En particulier, comme déjà mis en évidence en prémisse, art. 16, alinéa 1 du d.lgs. 39/2013 détermine dans ANAC l'Autorité compétente à veiller « sur le respect, de la part des administrations publiques, des organismes publics et des organismes de droit privé en contrôle je publie, des dispositions dont au présent décret, même avec l'exercise de pouvoirs d'inspection et de vérification d'individuelles fattispecie d'attribution des tâches ».
- Récemment le susdit pouvoir a été objet d'une sentence du Conseil d'État, qui en a exclu la nature purement ricognitiva, en affirmant le caractère constitutif -constitutif-provvedimentale.
- Plus précisément, le pouvoir de vérification attribuée à ANAC de l'art. 16, la Co. 1, d.lgs. 39/2013 sostanzia dans une mesure de vérification constitutive d'effets juridiques et comme telle impugnabile devant le juge administratif, pouvoir dans lequel est compris le pouvoir de déclarer l'éventuelle nullité de la tâche. (cfr. Cons. Été n. 126/2018, sur déjà citée).
- Tout ce précisé et considéré,
- DÉLIBÉRATION
- l'inconferibilità, aux sens de l'art. 4, Co. 1 lett. b), du d.lgs n. 39/2013, de la tâche de Président de l'AdSP de l'omissis et de la conséquente nullité de l'acte d'attribution de la tâche et du relatif contrat, aux sens de l'art. 17 du d.lgs n. 39/2013 ;
- de remettre à RPCT l'évaluation, en séance de procédure sanzionatorio, de l'élément subjectif de la faute en chef à l'organe conférant prévu de l'art. 18 d.lgs. 39/2013, tenu compte d'intervenue modification des orientations de l'Autorité en matière de délégations gestionnaires directes ;
- à je hésite de la vérification accomplie de l'Autorité, RPCT de l'AdSP doit communiquer au sujet auquel a été conféré la tâche la cause d'inconferibilità - comme vérifiée de ANAC - et à la conséquente nullité de l'acte d'attribution de la tâche et du relatif contrat et adopter les mesures conséquentes ;
- RPCT de l'AdSP de l'omissis est tenu à communiquer à ANAC les mesures adoptées en exécution de ce que sur.
| Le Président f.f. Francesco Merloni |
- Déposé prés du Secrétariat du Conseil dans donnée 16 Mars 2020
- Le Secrétaire, Valentina Angelucci
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