Ceux de la mer ? Ils sont les derniers parmi les travailleurs
Aujourd'hui les bateaux sonnent les sirènes pour porter le problème de l'échange des équipages à l'attention des institutions, qui auraient besoin bien autres secousses
8 Juli 2020
Si vous êtes des employés d'une entreprise vous ne devriez pas avoir difficulté à vous identifier. Imaginées que les mesures lockdown pour de contenir de la pandémie de coronavirus vous aient forcé à rester en bureau plutôt que à maison et à y rester jour et nuit. À une partie les peu qui, pour des contingences particulières comme une difficile situation familiale, préfèrent les heures de bureau à celles domestiques, les autres ne verraient pas l'heure de pouvoir s'élever de la chaise et se laisser le travail. Imaginées que, lorsque maintenant le relâchement des restrictions permet à tous le retour à une vie normale, vous soyez les uniques obligés à confine en bureau. Nuit et jour. Pour des jours, qui deviennent des semaines.
Combien résisteriez-vous ? Vous ne dureriez pas un jour, peut-être deux. Ensuite la protestation, la rébellion. Vous téléphoneriez aux syndicats et aux journaux. Ensuite la grève. Dès que d'abord que vous sortiez de sagesse. Chancheusement les démocraties libérales de l'occident n'ont plus du besoin que des martyrs. Ou bien oui ?
Parce qu'en réalité vous n'avez pas été isolés en bureau, mais à maison, et vous êtes pus tourner à la normalité dès que les autorités ont signalé la fin d'alerte. Autres par contre ne l'ont pas pu faire. Autres dont, à différence le vôtre (et la nôtre), cette sensation d'isolation et marginalisation ne l'ont pas vécue seulement dans la limée période je bloque emergenziale, mais ils l'ont expérimentée bien d'abord et continuent à la supporter, peut-être de lorsque ils ont commencé à travailler. Ces malchanceux sont les maritimes.
Erano sur les bateaux d'abord qu'il commençait le lockdown, que parti à tache de léopard il s'est ensuite étendu à la grande partie des nations. Erano sur les bateaux, en continuant à travailler, lorsque vous étiez à la maison sans pouvoir travailler ou en le faisant en tant que reculé. Ils sont encore sur les bateaux lorsque nous et vous, maintenant depuis longtemps, sommes tournés à la vie normale. Ils sont à bord et ils ne peuvent peut-être débarquer pour ne pas faire une promenade. De tourner à maison on n'en parle même pas. Ils sont à bord en pratique illégalement, vu que le contrat de travail, qui pour s'eux appelle contractés d'enrôlement (et déjà ceci devrait dire beaucoup), n'est pas respecté en étant étée artatamente prolongée durée.
Pas à cas le syndicat International Transport Workers'Federation (ITF), en se refaisant à des reliefs de l'International Labour Organization (ILO), les derniers jours, en se référant aux maritimes, a observé que forcer des travailleurs vulnérables avec peu de possibilités d'alternatives à supporter des conditions de travail qui les mettent à risque et ne pas respecter leurs droits peut constituer une forme de travail forcé et que l'abus de cette vulnérabilité pour étendre leurs contrats en les forçant à rester jusqu'à par 17 mois en mer, ensemble à leur précaire situation juridique et à inévitable dépendance de leurs patrons, pourraient donner origine à une situation analogue à la traite d'êtres humains au fin de l'exploitation de la main-d'oeuvre.
Ces travailleurs de la mer rarement protestent. Presque jamais ils se rebellent. S'ils téléphonent aux syndicats ou aux journaux comme les nôtre il est parce qu'ils n'ont pas travail et demandent aide. Ils font grève beaucoup peu. Et ils le font qui peuvent le faire, c'est-à-dire qui sont embarqués sur des bateaux engagés sur cassés caboteur ou à court rayon. Ceux à bord des bateaux océaniques qui traversent le monde simplement ne peuvent pas le faire. Ils ne peuvent pas parce que celui-là des maritimes qui traversent le globe est un monde beaucoup fragmenté, constitué de travailleurs qui généralement proviennent de nations dans lesquelles les tutelles syndicales sont minimums et qu'ils ont très peu d'opportunités de s'unir pour rejoindre la masse critique nécessaire pour entamer des actions de protestation.
À ces manifestations elles nous pensent les syndicats. Mais si les représentants des travailleurs de la mer réussissent dans proclamer des grèves qui impliquent maritimes qui naviguent peu loin de maison, presque aucune possibilité de réussite auraient des grèves aussi convoquées d'organisations syndicales internationales avec le but de sauvegarder les droits du globetrotter des mers. En effet, ces dernières je manque nous pensent à les proclamer.
Dans ces semaines, où le maritime malgré lui est rendu esclave et célébré comme héros, né ITF né le syndicat européen je homologue ETF ont annoncé le recours à une grève qui, malgré la dramatique situation, se résoudrait dans une fiasque.
Aujourd'hui par heures les 12,00 dans les ports du monde bateaux sonneront leurs sirènes pour solliciter les gouvernements à permettre l'échange des équipages des bateaux, pour permettre à ceux-là à bord de tourner à maison et à ceux depuis longtemps en attente de l'embarquement de pouvoir monter à bord. L'initiative est de l'association armatoriale International Chamber of Shipping (ICS). Louable le but, mais un peu peu pour solliciter le respect des droits de personnes qui n'ont pas été retenues un jour en plus du dû à leur bureau, mais que de semaines ils sont otage de leurs bateaux. Un peu peu de la part de patrons qui, chancheusement uniques dans les nations des démocraties libérales, peuvent se confronter avec des travailleurs (engagés) qu'en pratique ils ne peuvent pas se servir du droit de grève.
Certes ICS et les autres organisations armatoriali internationales et nationales ont fait des considérables pressions sur les autorités pour solliciter des réponses au problème. Au contraire, les réponses il les a déjà fournies la même industrie de shipping qu'il a offert aux institutions une procédure belles et prête pour les échanges des équipages qui ont été approuvée de l'International Maritime Organization (IMO), l'agence des Nations Unies qui s'occupe du secteur maritime.
En Italie, nation qui traditionnellement est repliée sur si même et il ne regarde pas au-delà des frontières nationales à moins que quelqu'un au-delà de frontière on ne gêne pas des faits les nôtre, le problème ne semble pas nous effleurer, malgré les sollicitations à l'affronter provenants des associations armatoriali Confitarma et Assarmatori et des syndicats. À niveau gouvernemental, ministériel, régional et local il y on a limé jusqu'à maintenant à prendre quelque mesure pour que les services maritimes continuaient à servir les exigences du pays. Quelque je force pour permettre aux bacs et aux bateaux engagés dans les liaisons avec les îles de fonctionner. Aucun engagement pour qu'ils soient respectés les droits de travailleurs employés sur les bateaux océaniques qu'ils mouvementent je commerce italien avec l'etranger.
À la lumière de cela, les chanceux qui travaillent à bord de bateaux qui naviguent parmi des ports italiens ou peu plus dans là ils peuvent, soit aussi avec difficulté, voir respectés leurs droits, pendant que les malchanceux qui est déjà beaucoup s'ils sait dans quelle partie du monde on trouve à naviguer n'ont pas la minimum idée de lorsque il finira leur détention. Si cela est inacceptable pour des employés protégés qui s'asseyent à un bureau, il est encore plus inadmissible pour travailleurs vulnérables aujourd'hui plus que jamais dispersés en mer ouverte.
Il est pour ceci que les majeures compagnies de navigation mondiales, les bateaux de laquelle battent des drapeaux de tous les types parmi lesquels ces de marines mercantiles nées seulement avec le but de permettre d'éluder des charges fiscales et syndicales, ils devraient peut-être faire davantage pour défendre leurs travailleurs sans tutelles. Sonner les sirènes ? Il ne suffit pas.
Pourquoi, alors, ne pas arrêter les bateaux ? Rarement, au contraire presque jamais les armateurs sont recourus à cette forme d'abstention du travail. Des « blocs navals » ont été réalisés sont en cas exceptionnels pour défendre les directs intérêts de leur secteur. Pour les grands groupes armatoriali d'aujourd'hui arrêter même pour un seul jour les bateaux veut dire devoir se confronter avec des considérables charges extraordinaires et le faire dans un instant comme celui actuel, dans lequel le monde entre dans une phase de grave crise économique, apparaît comme un mouvement suicide.
Toutefois sonner les sirènes pour quelque dizaine de secondes ne gêne non aucun. Dicton sans hypocrisies : une grève réussit lorsque les institutions on décide à accueillir les instances des initiateurs de l'abstention du travail sur la vague des protestations de ceux auxquelle la grève cause des malaises.
Intérêt des armateurs - de international ICS à européenne ECSA dans en bas - devrait être même celui de sauvegarder et promouvoir l'attrait de la profession maritime. Intérêt qui certainement il y a, vu que, en restant en domaine européen, les organisations armatoriali périodiquement ils sollicite l'EU à stimuler et stimuler l'accès aux professions maritimes et régulièrement l'Union Européenne et les organisations armatoriali on vantent d'offrir aux citoyens européens des postes de travail hautement qualifiés dans le secteur maritime.
Quel peut-il être la perception d'un jeune par rapport aux perspectives offertes de ce secteur quand ceux de la mer sont traités comme les derniers parmi les travailleurs ? Quel peut être l'intérêt à entrer dans Istituto Nautico quand ensuite ta profession « hautement qualifiée » te force à une captivité sur un bateau habité de peu d'autres malheureux ? Comme s'apprécier Dante il était estimé un privilège pour ceux qui ils sont forcés à escompter peine de détention.
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