- Le premier numéro du rapport met en évidence la forte différentiel de croissance du produit intérieur brut enregistré en italie pour la période 2009-2019 par rapport aux autres pays de l’Union (+2,4% en Italie contre, par exemple, +21,4% des l’Allemagne), en identifiant la tendance des exportations intérieures le composant qui a permis de maintenir un chemin, bien que modeste, la croissance du pays. Le document précise qu’en face de à cette stase macroéconomique du pays, au cours de la même période toutefois, il y a eu une augmentation substantielle de la transport de passagers et surtout de marchandises : un découplage par rapport à la PIB de tous les modes de transport, en particulier visible dans le cargo aérien (qui croît 21,5 fois le PIB), dans le (facteur 15.8), le transport aérien (facteur 20.3) et train de voyageurs (facteur 8.9).
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- Le document analyse également les conséquences de la première phase l’éclatement de la crise pandémique SRAS-CoV-2, au cours de laquelle le PIB italienne a diminué de -12% par rapport au premier semestre 2019 et prévisions de reprise en 2021 qui ne peuvent équilibrer baisse annuelle estimée pour 2020 (-9 %). Au cours de la première six mois de l’année, cependant, il y avait une les volumes de trafic dans le secteur du fret, ce qui a permis de fournitures aux unités de production et aux consommateurs finales dans les trois mois environ de verrouillage. Au premier semestre 2020, en effet, la baisse du trafic routier (-20,8% sur le réseau autoroutier et -16,8% sur le réseau ANAS), la diminution des mouvements portuaires (-13,6%) et le trafic ferroviaire de marchandises (-12,3%) ont été trouvés beaucoup plus limitée que les diminutions qui se sont produites à la passagers qui ont connu des baisses cumulatives semestrieles de -70 % dans le transport aérien et les baisses persistantes en juin 2020 dans les services à grande vitesse (-81,4% par rapport à juin 2020) 2019) et les transports collectifs urbains (baisse moyenne de -50% par rapport à la période pré-Covide contre une moyenne de -10% dans les pays de l’UE 27).
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- « La mission de cet outil L’unique administrateur de RAM, Ennio Cascetta, construit un plus petit dénominateur commun, une base de données autant que possible partagée et sans ambiguïté au niveau national, en termes de données et de des analyses qui peuvent être fonctionnelles à la planification de secteur, la programmation et, dans la mesure du possible, les choix de investissement des entreprises individuelles, en particulier dans une phase de incertitude comme celle que nous vivons en raison de Covide. Le rapport n’a en fait pas pour objectif de remplacer les sources de données habituelles ou créer des sources de données supplémentaires, telles que connecter et amener les données existantes à un fait commun en fournissant un une vue d’ensemble intégrée capable de définir et d’identifier la tendance de la secteur des transports dans son ensemble. D’où le nom du rapport Connecting Dots.
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- « 'idée de « ie relient les point » - a ajouté le coordinateur de la structure de la mission technique pour l’adresse développement des infrastructures et surveillance de haut niveau des Ministère de l’Infrastructure et des Transports, Giuseppe Catalano - est de suivre l’évolution du système de transport marchandises et les passagers du pays pour mieux planifier, planifier et gérer les investissements dans les infrastructures et Transport. La grande quantité de données disponibles aujourd’hui pour le secteur ne peut pas être pleinement exploité sans une lecture qui peuvent permettre une synthèse claire aussi afin de mieux comprendre où nous sommes et surtout où nous nous dirigeons en tant que système de pays. Les « points de connexion » peuvent également être deviennent également une référence utile pour les entreprises, les opérateurs et les experts dans le domaine qui veulent, dans un seul document suivre l’évolution, les tendances et les besoins de la le secteur italien du transport et de la logistique »
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