- Notant qu'«une entreprise sera nécessaire commissaires, les entreprises et, en particulier, le ceux qui travailleront sur les chantiers de construction », à cet égard le ministre a rappelé le protocole signé avec les partenaires sociaux décembre dernier que, conformément aux règles du contrat optimise les quarts de travail, même dans les équipes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour chantiers de construction et d’encourager l’augmentation du nombre de conditions d’emploi dans des conditions de pleine sécurité.
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- Giovannini a précisé que « ce n’est qu’une première Étape. En peu de temps, une fois que nous aurons défini avec le Parlement et conférence des présidents des régions les critères généraux pour identifier les œuvres en tenant également compte de ce qui a été observé dans le évaluations exprimées aujourd’hui (hier, n.e.)par le Parlement et le conférence - a-t-il expliqué - nous présenterons une deuxième liste de interventions pour lesquelles les commissaires devraient être nommés. Mais il ne faut pas oublier que le l’utilisation du poste de police ne devrait pas être la pratique. Est nécessaire, par conséquent, d’aller de l’avant en parallèle pour simplifier procédures et obligations ordinaires et de renforcer les l’administration en entrant dans le personnel avec des compétences spécifiques et dans les domaines de l’innovation et de la numérisation.
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- Giovannini a rappelé que, dans l’ensemble, les œuvres soumises à la poste de police sont 14 infrastructures routières, 16 infrastructures chemin de fer, un métro (ligne de métro C de Rome), 12 infrastructure de l’eau, trois infrastructures portuaires, 12 pour les installations de sécurité publique. Les 58 œuvres ont financement déjà disponible s’élève à environ 40 milliards contre un coût total de 66,1 milliards d’euros. De ce nombre, 26,9 milliards sont alloués à des infrastructures situées dans le Sud, 21,6 milliards pour les opérations dans le Nord et 17,6 milliards pour s’adressant aux œuvres en Italie centrale. Quarante-six milliards d’euros sont destinés à la construction de travaux ferroviaires, 10,8 infrastructures routières, 5,8 milliards pour le transport rapide de 1,7 milliard pour l’infrastructure portuaire, 1,2 milliard pour 538 millions pour les installations de sécurité publique.
- L’infrastructure à commissaire, prévue dans le Dpcm, est en une grande partie du document de planification stratégique « Italia Veloce », attaché à la finances 2020, qui a défini un cadre stratégique et priorités pour le développement du pays. Certaines de ces œuvres sont également inclus dans la proposition de la National Recovery And Résilience.
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- Parmi les travaux ferroviaires, inclus dans le Dpcm qui a reçu le avis favorable des commissions parlementaires, notamment : itinéraire à grande vitesse/grande capacité Brescia-Vérone-Padova, la modernisation de la ligne Venise-Trieste, l’amélioration avec des caractéristiques à grande vitesse de la Directeur Salerno-Reggio de Calabre et directeur de Taranto-Metaponto-Potenza-Battipaglia, la réalisation de la grande vitesse/grande capacité Palerme-Catane-Messine, la restauration de la ligne Palermo-Trapani (via Milo), la fermeture de de l’anneau ferroviaire de Rome, l’achèvement du doublement de la pontremolese, la construction de travaux sur le ligne de chemin de fer naples-bari, tandis que l’intervention pour le transport de la masse rapide concernent le métro C de Rome. Infrastructure travaux routiers, des interventions sont prévues pour la modernisation de la 106 Ionian State Road, Salaria State Road, autoroute 17 des Abruzzes et appulo-samnitical Apennins, de l’autoroute Gargano et l’E 78 Grosseto-Fano. Les travaux portuaires concernent le quai l’Europe dans le port de Livourne, le nouveau barrage dans le port de Gênes et le la relance de la construction navale dans le port de Palerme. Pour le projets d’infrastructure de l’eau sont prévus pour le sécurité de l’aqueduc de Peschiera (qui dessert le centre de l’Italie et Rome) et 10 barrages en Sardaigne et en Sicile. Enfin, il est prévu de interventions dans les casernes et les centres multifonctionnels de sécurité publique à Bologne, Catane, Milan, Naples, Palerme, Reggio de Calabre et Rome.
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