« Malheureusement, a poursuivi le directeur général de la confédération armatoriale - regrette de constater que modification de l’article 88 du même décret-loi 104/2020, également commission européenne, n’a pas été insérée par le gouvernement dans la mesure convertie. L’art. 88 - a rappelé Sisto - prévoit un rafraîchissement important et urgent pour le secteur du premier registre naval. Une mesure, celle-ci, en son temps voulue par le gouvernement et refinancée deux fois, notamment avec le décret-loi n°73/2021 dit « Sostegni bis », pour soutenir les entreprises armatoriales qui assurent les services de cabotage maritime, de ravitaillement des produits nécessaires à la propulsion et à la consommation à bord des navires, ainsi qu’à de stockage et d’assistance aux plates-formes énergétiques nationales. Services qui, a souligné Sisto, ne se sont jamais arrêtés pendant la pandémie parce qu’ils sont considérés par le gouvernement lui-même comme des essentiels pour le pays ». »-
- « Les entreprises », a souligné le directeur général de Confitarma - ont programmé leur gestion économique en confiance sur le remboursement qui leur est attribué: il s’agit d’une attente. Par ailleurs, notamment pour certaines d’entre elles, la situation de difficultés est aggravée par la concurrence « soutenue » opérée par des entreprises étrangères. »
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- Se référant ensuite aux ressources du Fonds complémentaire au PNRR destinées à la transition verte du secteur maritime, Sisto a a constaté que « pour l’expédition, les objectifs de réduction des les émissions identifiées aux niveaux international et communautaire sont très ambitieux, bien qu’il en soit unanimement reconnu quel secteur « dur à a abbé ». Conformément à ces objectifs, afin de soutenir le processus de transition écologique de la flotte italienne - a rappelé le directeur général de Confitarma - le gouvernement a affecté par l’intermédiaire du Fonds complémentaire au PNRR des ressources importantes pour le renouvellement et la modernisation des navires. Nous estimons qu’il est d’une importance capitale - a précisé Sisto - que l’émanant décret ministériel de mise en œuvre qui définira les critères de délivrance de cette contribution verte prévoit, conformément au texte de la norme (décret-loi 59/2021), l’accès aux ressources à tous les navires opèrent également en dehors de l’Italie, tout en réservant une prime spécifique pour les trafics méditerranéens, afin de soutenir l’ensemble de la flotte italienne dans l’important processus de transition écologique lancé au niveau international ».
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- « L’objectif commun du pays », a conclu le directeur général de Confitarma - est de mettre en œuvre une transition écologique de la chaîne de transport, élément fondamentale et structurelle de notre société, sans désavantager nos entreprises engagées dans le défi quotidien des marchés internationaux et, en même temps, à poursuivre les ambitieux objectifs d’émissions prévus par l’Europe. Comment il a rappelé le président Draghi « l’Etat doit faire son aider les citoyens et les entreprises à supporter les coûts de cette transformation (green)" ».

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