
FISE Uniport a invité les dirigeants de Cgil, Cisl et Uil à un de nouvelles confrontations pour surmonter la crise qui a conduit à la grève des travailleurs portuaires de Livourne, « dans l’ordre - il précisé dans une note l’association représentant les entreprises port - pour ramener toute l’affaire dans l’ordinaire relations professionnelles et prévision de l' convention collective nationale de travail ».
Quelles que soient les raisons, Uniport manque évidemment la diplomatie, étant donné qu’en exhortant les syndicats à la reprise du dialogue omet de souligner que cette a lieu « à la fin d’une grève « recherchée » par les représentants syndicaux provinciaux de Livourne même après le les ouvertures d’armateurs et d’exploitants de terminaux opérant dans l’aéroport de Labronico, sur un différend obstinément mené en ignorant même le efforts et engagement mis en place personnellement par la direction générale de l’autorité du système portuaire (à laquelle ils s’adressent à un action de grâce sincère et non formelle) ».
Une explication des responsabilités de la crise à laquelle, de plus, même le président de l’Autorité n’avait pas échappé de Sistema Portuale del Mar Tirreno Settentrionale, Luciano Guerrieri, qu’il avait qualifié de « déni incompréhensible » ce à quoi les syndicats se sont opposés à l’énième tentative de l’AdSP d’arriver à une trêve au port », « donnant ainsi l’impression d’avoir perdu le sens de leur mission dans l’incapacité de savoir comment identifier le points de médiation de droit dans une négociation » (
sur 20 Septembre 2022).
« Continuer à attribuer sans discernement à l’ensemble catégories, armateurs et exploitants de terminaux, dans une telle phase difficile non seulement pour l’Italie, la responsabilité de des comportements qui concernent plutôt quelques réalités individuelles entrepreneurial - uniport également souligné - non seulement est injuste et ne correspond pas à la situation réelle, mais c’est aussi dangereux. De cette façon, la réalité portuaire est discréditée Livourne juste au moment où il est nécessaire d’offrir des certitudes au le marché et les fondamentaux de la CCNL qui subsistent sont remis en question au lieu de cela, également pour l’employeur, un élément de certitude et garantie ».
« Pour cette raison - poursuit la note d’Uniport - nous nous adressons aux syndicats stipulant le contrat la demande de reconsidérer les propositions faites par le président Guerrieri et le son personnel avec sérénité également dans une rencontre espérée avec le mêmes délégations de négociation mais selon des procédures consolidées et partagé. Entre-temps - a spécifié l’association de entreprises portuaires - nous sommes à la disposition de l’AdSP pour le béton commencer l’examen général des modes d’exécution des travaux portuaires, laissant à la même Autorité le la tâche, qui lui est assignée seule, de la mise en œuvre correcte de la dicte la loi sur les contrats et les contrats entre arts. 16 et 18 ex loi 84/94 dans le port de Livourne ».
Pendant ce temps, aujourd’hui, le maire de Livourne, Luca Salvetti, et le conseiller municipale au Port, Barbara Bonciani, a rencontré une représentation des grévistes dans le port de Livourne le demande de délégation des travailleurs eux-mêmes. Communiant de la réunion, l’administration municipale a souligné qui « espère, et s’engagera, aussi loin que dans son prérogatives, qu’une solution du différend soit trouvée à temps rapide, également afin d’éviter les effets économiques et sociaux sur l’ensemble de la communauté portuaire et urbaine d’un ralentissement de travail en particulier dans une phase où le port maritime de Labronico a des volumes importants de trafic à exploiter pour la croissance l’emploi et la production globale de toutes les matières en jeu ».