Manque de moyens et pertes financières
« Le port d'Alger est dépassé et ne répond plus aux normes requises. » Cette déclaration est celle d'un cadre de l'entreprise CNAN. Notre interlocuteur affirme que ce port est « actuellement saturé et ne peut plus prendre en charge de façon efficace la marchandise qui y entre chaque jour ».
L'étouffement est dû, entre autres, « à l'ouverture plus ou moins rapide du marché algérien et à laquelle il n'a manifestement pas été préparé ». Sur le plan technique, le port souffre d'un sérieux manque de moyens, indique notre interlocuteur qui précise que cette infrastructure « représente aujourd'hui un simple terminal de stockage et de réception, car elle ne dispose pas des portiques de grandes dimensions dont la fonction est de décharger la marchandise en grandes quantités »
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