Fiom-Cgil, non à la fermeture de sites et de chantiers navals du groupe Fincantieri
Le syndicat prompte une adéquate stratégie de diversification productive et des investissements dans les technologies nécessaires pour des nouveaux produits ambiantement soutenables
15 Februar 2011
Fiom-Cgil dit non à la possible fermeture de sites et de chantiers navals du groupe Fincantieri. Suite à une évaluation approfondie de la part de la coordination nationale du syndicat de l'état de crise qui intéresse le groupe industriel ainsi que les dévelopements du relatif différend, fiom-Cgil a remarqué que, « pendant qu'elles continuent circulaire des indiscrétions relatives à des drastiques plans de réorganisation des chantiers, l'attitude officielle de l'entreprise tend à rassurer tous les interlocuteurs, en tenant de fait bloqué la comparaison, dans je conteste que, au contraire, progressivement il aggrave ».
« Persister du déchargement productif - il a observé le syndicat - il détermine mise au chômage technique pour des longues périodes de centaines et de centaines de travailleurs, avec des nombres qu'ils dépasseront de beaucoup, dans le cours du 2011, les 2.000 unités. À ce propos, en faveur des travailleurs suspendus - il a demandé fiom-Cgil - doivent être activés ces amortisseurs sociaux qui garantissent le plus haut niveau de couverture salariale quels, par exemple, les contrats de solidarieté ».
Le syndicat a mis en évidence que « dans tous les sites, milliers de travailleurs des maisons d'adjudication perdent le travail, souvent sans la reconnaissance d'amortisseurs sociaux. En outre, la perspectif pour le 2012 risque d'aggraver la situation à front d'un carnet commandes jusqu'à présent entièrement inconsistant qui, à front de l'attitude passive de Fincantieri par rapport à la crise, pourrait marquer la route vers la remaniement industrielle ».
En outre fiom-Cgil a souligné que « la comparaison avec le gouvernement sur la crise de la de la construction navale navale on est bloqué, malgré les engagements assumés officiellement du ministre de Sviluppo Économique qui, à aujourd'hui, n'a répondu à des répétés ne sollicite pas envoyés unitairement, en se chargeant ainsi d'une responsabilité très grave ».
Le syndicat donc a annoncé que, « à la lumière de cette situation, la coordination nationale Fiom du groupe Fincantieri a décidé de relancer avec force l'initiative à niveau national pour conjurer le danger de remaniement d'un secteur industriel stratégique pour le Pays et de perte de milliers de postes de travail, non seulement pour revendiquer politiques des industriels adaptées à la sauvegarde et à je relance de tous les sites, dans une optique d'unitarisme du groupe ».
« Non à la fermeture de sites et de chantiers ; une adéquate stratégie de diversification productive ; investissements dans les technologies nécessaires pour des nouveaux produits ambiantement soutenables : avec ces objectifs - il a conclu fiom-Cgil - nous proposerons à Fim et à Uilm la poursuite des initiatives nationales unitaires ici effectuées qui, donnée l'inefficacité de la comparaison dans être avec les actuels interlocuteurs institutionnels, devront, à notre avis, porter la discussion jusqu'à la présidence du Conseil des ministres ».
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