- La Section Favorise du Tribunal Administratif Régional pour la Ligurie, avec sentence déposée hier que nous publions de suite, a déclaré en partie inadmissibles et en partie il a repoussé les recours présentés de Centro Servizi Derna Srl, la société du Groupe Joint, et du Groupe Grendi contre l'Autorité Portuaire de Gênes et vis-à-vis de la société armatoriale Ignazio Messina & C. Spa et de la société terminalista Terminal San George contrôlé du Groupe Gavio pour l'annulation de l'avis de compétition du 26 octobre 2009 pour l'assentiment en concession domaniale des aires et des quais pour au-delà de 300.000 mètres carrés placés parmi Pont Canepa et Calata Tripoli, qui font partie deje résume terminalistico Multipurpose du port de Gênes, et pour l'annulation de la mesure du 12 avril 2010 de l'Autorité Portuaire d'adjudication provisoire de la compétition au regroupement temporaire d'entreprises constitué du groupe armatoriale Messine et du Terminal San George (inforMARE du 1° juin 2010).
- RÉPUBLIQUE ITALIENNE
- AU NOM DE JE PEUPLE ITALIEN
- Le Tribunal Administratif Régional pour la Ligurie
- (Section Favorise)
- il a prononcé le présent
- SENTENCE
- sur le recours nombre de registre général 6 du 2010, complété de raisons ajoutées, proposé de :
- Centro Servizi Derna Srl, représenté et défendu de l'avv. Piermario Chat, Paolo Turci, Giovanni Acquarone, Lorenzo Acquarone, avec je domicilie élu prés de Lorenzo Acquarone en Gênes, Corse, 21/1820 ;
- contre
- Autorité Portuaire de Gênes, représentée et défendu de l'avv. Alessandra Busnelli, Antonella Traverso, avec je domicilie élu prés d'Antonella Traverso en Gênes, de la Marchandise 2 ;
- vis-à-vis de
- Ignazio Messina & C. Spa, représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ; Tirrenia Navigation Spa, Grendi Tu transportes Maritimes Spa, Terminal San Giorgio Srl ;
- sur le recours nombre de registre général 11 du 2010, proposé de :
- Grendi Tu transportes Maritimes Spa, représenté et défendu de l'avv. Giuseppe Inglese, Elisa Moro, avec je domicilie élu prés de Giuseppe Inglese en Gênes, Tendue D'Archi 3 ;
- contre
- Autorité Portuaire de Gênes, représentée et défendu de l'avv. Alessandra Busnelli, Antonella Traverso, avec je domicilie élu prés d'Antonella Traverso en Gênes, de la Marchandise 2 ;
- vis-à-vis de
- Ignazio Messina & C. S.P.A., représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, Gerolamo Taccogna, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ; Terminal San Giorgio Srl ;
- sur le recours nombre de registre général 261 du 2010, proposé de :
- Grendi Tu transportes Maritimes Spa, Centro Servizi Derna, Angelo Pastorino Srl, représentés et défendus de l'avv. Giuseppe Inglese, avec je domicilie élu prés de Giuseppe Inglese en Gênes, Tendue D'Archi 3 ;
- contre
- Autorité Portuaire de Gênes, représentée et défendu de l'avv. Alessandra Busnelli, avec je domicilie élu prés d'Alessandra Busnelli en Gênes, de la Marchandise, de 2 ;
- vis-à-vis de
- Ignazio Messina & C. Spa, Terminal San Giorgio Srl ;
- sur le recours nombre de registre général 354 du 2010, proposé de :
- Grendi Tu transportes Maritimes Spa, Grendi Transportes Maritimes Spa Mandataria Chef de groupe ATI, représentés et défendus de l'avv. Giuseppe Inglese, avec je domicilie élu prés de Giuseppe Inglese en Gênes, Tendue D'Archi 3 ;
- contre
- Autorité Portuaire de Gênes, représentée et défendu de l'avv. Antonella Traverso, avec je domicilie élu prés d'Antonella Traverso en Gênes, de la Marchandise 2 ;
- vis-à-vis de
- Ignazio Messina & C. Spa et Mandataria Rti Terminal San George, représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ;
- pour l'annulation
- quant au recours n. 6 du 2010 :
- de l'avis de compétition de 26/10/09 convoquée de l'Autorité Portuaire de Gênes pour la confiance de la concession d'aires et de quais en Gênes ainsi que de la note de l'Autorité Portuaire prot. 8586/P de 12/04/10 il se rend adjudication provisoire de la compétition à RTI Messine S.P.A. – Terminal San George s.à.r.l. ;.
- quant au recours n. 11 du 2010 :
- AVIS DE COMPÉTITION POUR ASSENTRIMENTO EN CONCESSION AIRES ET QUAIS PARMI PONT CANEPA ET DESCENTE TRIPOLI.
- quant au recours n. 261 du 2010 :
- MESURE D'ASSENTIMENT CONCESSION DOMANIALE.
- quant au recours n. 354 du 2010 :
- MESURE SE RENDENT COMMUNICATION DE L'ADJUDICATION PROVISOIRE DE COMPÉTITION POUR L'ASSENTIMENT EN CONCESSION, AUX SENS ET POUR LES EFFETS DE L'ART. 18, L. 84/94 DELLE AREE ET QUAIS EN GÊNES SAMPIERDARENA DANS JE RÉSUME COMPRIS PARMI PONT CANEPA ET DESCENTE TRIPOLI, POUR UN COMPLEXE DE SUPERFICI DE MQ. 306.550 ENVIRON.
- Vus les recours les raisons adjointes et les relatives annexes ;
- Vus les actes de constitution en jugement d'Autorité Portuaire de Gênes et d'Ignazio Messina & de C. Spa et d'Autorité Portuaire de Gênes et d'Ignazio Messina & de C. S.P.A. et d'Autorité Portuaire de Gênes et d'Autorité Portuaire de Gênes et d'Ignazio Messina & de C. Spa et de Mandataria Rti Terminal San George ;
- Vu l'acte de constitution en jugement et le recours incident proposé en tant que le récurrent incident Ignazio Messina § C. Spa, représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ;
- Vu l'acte de constitution en jugement proposé en tant que le récurrent incident Ignazio Messina & C. S.P.A. (Ric. Inc), représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, Gerolamo Taccogna, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ;
- Vu l'acte de constitution en jugement proposé en tant que le récurrent incident Ignazio Messina & C. Spa (Ric. Inc.), représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ;
- Vu l'acte de constitution en jugement proposé en tant que le récurrent incident Ignazio Messina & C. Spa (Ric. Inc.), représenté et défendu de l'avv. Luigi Cocchi, Francesco Munari, avec je domicilie élu prés de Luigi Cocchi en Gênes, Macaggi 21/5 - 8 ;
- Vues les mémoires défensives ;
- Visas tous les actes de la cause ;
- Rapporteur dans l'audience publique du jour 7 avril 2011 le doc. Davide Ponte et les ouïes pour les parties les défenseurs comme spécifié dans le procès-verbal ;
- Retenu et considéré en fait et droit ce qui suit.
- FAIT
- Avec la charge introductive du jugement la société Je centre des services Derna, quelle entreprise opératrice du secteur maritime pour la déroulement d'opérations portuaires, dans reconstruire les événements même judiciaires qu'ils ont impliqués résume portuaire dicton multiporpose, mettait en évidence d'avoir obtenu dans donnée 27 \ 7 \ 2006 acte concessorio et d'avoir souscrit dans donnée 17 \ 6 \ 2009 acte de soumission pour anticipée occupation, aux sens de l'art. 38 cod nav dans les mûres de la définition d'un titre concessorio définitif, d'une aire là comprise paire à 20.000 mq ; obtenue elle la révoque de la séquestration pénale de l'aire l'autorisation à anticipée occupation était objet de suivantes prorogations. Dans tel je conteste l'exposant venait à connaissance de l'avis avec lequel sommée autorité portuaire indiceva la compétition en objet, pour la confiance de la concession d'aires et de quais en Gênes Sampierdarena dans je résume compris parmi pont canepa et pont tripoli, pour un complexe de superfici environ de 306.500 mq que, sauf ces de nouvelle formation pour remplissages de miroirs aqueux, étaient déjà présents dans la concession délivrée au consortium multiporpose en 1996.
- Je contrecarre l'avis de compétition muovevano par conséquent les suivantes censures :
- - violation de l'art. 18 l. 84 \ 1994 et des principes concorsuali pour la confiance de concessions domaniale maritimes et des principes de légalité, excès de pouvoir pour erroneità dans les fondations, défaut d'instruction et de motivation, faux rapport, illogicità et injustice manifeste, contraddittorietà, puisqu'elle est mise à compétition dans résume même l'aire acquiescée à Derna dont par conséquent l'autorité confiante n'avait pas la disponibilité ;
- - violation des principes de bonne marche et d'efficacité de l'action administrative et de conservation des actes, excès de pouvoir pour illogicità, contraddittorietà, défaut de motivation et erroneità des fondations, violation du principe de tutelle de la confiance engendrée en chef au privé avec j'avertis public daté 23 \ 10 \ 2003 auquel l'autorité aurait dû donner cours ;
- - violation de l'art. 38 cod nav, défaut d'instruction et de motivation, illogicità, erroneità des fondations, pour des analogues profils en relation à l'autorisation à anticipée occupation ;
- - analogues profils de violation pour illégitimité de l'avis dans la partie dans laquelle il ne prévoit pas de clauses de restitution de la somme anticipée à titre d'indemnité pour le précédent consortium (euro 411.400, 00).
- L'administration sommée et la société controinteressata se constituaient en jugement et, contre en déduisant piqué pour point, ils demandaient le rejet de la charge.
- Avec acte de raisons adjointes déposé dans donnée 26 \ 4 \ 2010 l'entreprise récurrente empoignait l'adjudication provisoire intervenue en faveur de la d'aujourd'hui partie contre intéressée, en étendant dans dérivée les vices déjà déduits ainsi que en déduisant les suivants :
- - violation de l'artt. 38 alinéa 1 lett c) d.lgs. 163 \ 2006 et 5,1 lett a.1 de l'avis, 97 Cost. et des principes de bon sens et par condicio, excès de pouvoir pour carence d'instruction et de motivation, d'illogicità, de contraddittorietà, de disparité de traitement, d'injustice grave et manifeste, en étant la relative déclaration rendue de l'aggiudicataria dépourvue de souscription, et en étant de toute façon la déclaration dépourvue de référence aux sujets cessés de la charge dans les précédents trois ans ;
- - violation de l'art. 18 alinéa 7 l. 84 cit. et des principes dans il craint de concurrence et libre circulation des services, excès de pouvoir pour erreur sur les fondations et le faux rapport, défaut d'instruction et de motivation, de contraddittorietà et d'illogicità, comme l'entreprise Ignazio Messina, fait partie du regroupement adjudicataire, n'a pas rejoint, sauf que pour 2004, les objectifs de movimentazione, en subsistant donc les fondations pour l'étendue de la concession déjà en être n'aurait pas dû être exclus ;
- - excès de pouvoir relatif à l'attribution de je ponctue pour la voix investissement infrastructural en défaut de l'approbation du relatif projet de tombamento de la part du Conseil Supérieur des travaux publics, violation de l'art. 5 alinéa 9 lit n. 84 cit., défaut d'instruction et répercussion sur les autres vices d'offerte en ayant comporté une altération de je ponctue pair à 18.902 qui sommée aux 25 pour investissement infrastructural dépasse la différence finale parmi des offres résultée paires à 28.93 (119.51 à 90.58) ;
- - violation de l'art. 84 alinéa 8 d.lgs. 163 cit., pour illégitime composition de la commission giudicatrice en relation à la nomination du doc. Marchesiello, magistrat en quiescenza et donc pas rentrante dans les catégories prévues de la règle invoquée.
- Même je contrecarre des telles raisons répliquaient les parties résistantes en concluant pour la declaratoria d'inammissibilità et le rejet de la charge.
- Avec ordonnance n. 155 du 30 \ 4 \ 2010 ce Tar repoussait la question de précaution proposée.
- Avec recours incident la société controinteressata contestait pour tel manquée exclusion de la récurrente, en déduisant les suivantes censures : violation de l'artt. 38 d.lgs. 163 cit. et 3 l. 241 \ 1990 pour manque d'analogue déclaration pour les sujets cessés de la charge, dans les mêmes termes déduits avec le recours principal ; violation de l'art. 18 l. 84 cit. et divergés profils d'excès de pouvoir pour manque des qualités d'admission concernant le volume d'affaires, en n'ayant pas n n'ayant pas les sociétés récurrentes une structure apte à justifier l'attribution de je résume ainsi vaste, analoguement à motive de recours principal.
- Avec un second acte de raisons ajoutées, déposé dans donnée 14 \ 5 \ 2010 part récurrent étendait les mêmes censures à un ultérieur acte se rend verbal d'adjudication provisoire.
- Avec un acte de raisons adjointes de recours incident une partie résistante réaffirmait les censures prédites même contrecarre telle ultérieure impugnativa, en déduisant aussi les suivantes censures : violation de l'art. 38 cit et du point 4.1.b) et 5,1 lett à) de l'avis, DM 585 \ 1995, pour manque déclarations des procureurs avec conséquente exclusion d'ATI grendi ; analogues profils pour manque de la souscription de déclaration sur précédent pénal, oltretutto considérable puisque concernant la violation de règles sur l'immigration ; analogues profils en ordre à une condamnation pour délit ambiant de Giselda Pastorino, délit considérable sur la moralité professionnelle et en l'ordre à l'quel l'autorité portuaire n'a pas déroulé les dûs vérifications ; des analogues profils pour le manque de la nécessaire déclaration environ la subsistance ou de l'insussistenza de rapports de contrôle ou de la liaison sociale, ou bien comme la déclaration rendue, en termes d'insussistenza, était dans véridique comme la société d'aujourd'hui récurrente est contrôlés d'Industries Rebora, avec cela en cachant un rapport de contrôle considérable aux fins de l'opérativité de la cause d'exclusion plongeur art. 38 lett c en ordre à l'cessé administrateur Spinelli ; analogues profils de censure pour manque de la qualité de chiffre d'affaires demandé du point 4,2 de l'avis, à front de l'irrilevanza de l'activité déroulée des deux entreprises du regroupement divergées de Grendi pas qualificabile comme terminalistica ; violation de l'avis je vise 5,2 achève alinéa pour incohérence avec le plan régulateur portuaire, comme vérifié d'autre part même de l'organe de compétition ; violation du point 9,2 de l'avis et de l'art. 3 l. 241 cit., excès de pouvoir pour contraddittorietà, comme les graves carences d'offerte de la d'aujourd'hui récurrente, énumérées dans le procès-verbal n. 9 du 26 \ 10 \ 2009 pag de 13 dans ensuite, auraient dû porter à l'exclusion.
- Avec un troisième acte de raisons ajoutées, déposé dans donnée 12 \ 6 \ 2010 part récurrent déduisait contrecarre l'adjudication provisoire et le relatif procès-verbal, les suivantes ultérieures raisons : violation de l'art. 18 l. 84 cit. et de la circulaire du Ministère des transports et de la navigation n. 41 du 6 \ 5 \ 1996, contraddittorietà, puisque prévu tombamento des miroirs aqueux il ne résulte pas confirmé du plan triennal, outre le manque du nécessaire de sembler du Conseil supérieur des travaux publics ; analogues profils pour la contraddittorietà du tombamento avec le plan portuaire ; violation de l'art. 18 cit. et de la circulaire attautiva n. 41 du 6 \ 5 \ 1996 qui prévoit des critères pour la nomination des commissions ; violation de l'art. 18 alinéa 7 l. 84, faux rapport, puisque le concessionnaire d'une aire domaniale ne peut pas disposer en force d'identique régime d'autres espaces domaniaux dans le même port ; analogues profils pour manquée évaluation de la crédibilité des plans d'entreprise de la victorieuse ; violation de l'artt. 38 cit. 3 l. 241 cit., 4,1 a.1 de l'avis pour manquée évaluation de l'ostatività des condamnations souffertes de conseiller d'administration du Messine et du procureur de la même société, ainsi que du procureur spécial directeur technique et de l'administrateur de terminal San George ; violation de l'art. 18 alinéa 7 l. 84 cit. et des principes dans il craint de concurrence et de libre circulation des services, excès de pouvoir en bas des différents profils, pour la faveur dérivante à la controinteressata de l'avoir déjà en concession aire limitrophe avec conséquente injustifiée faveur dans l'évaluation d'offerte.
- Avec un quatrième acte de raisons ajoutées, déposé dans donnée 18 \ 6 \ 2010, les censures étaient étendues dans dérivée et directement dans les comparaisons de l'adjudication définitive. Je réalise, dans tel siège les censures, réaffirmées celles déduites contrecarre l'avis, venaient dans tel siège rimodulate dans les suivants termes :
- - pour le zérotage de la procédure : violation art. 84 cit. pour illégitime composition de la commission relativement soit au pres Marchesiello soit avv Contri puisque déterminés à de hors des modalités delesquelles à prédit art. 84 ; violation de l'art. 18 cit. et des parimenti citée circulaire n. 41 \ 96 sur la nomination des commissions giudicatrici en matière ;
- - pour l'exclusion d'ATI Messine : violation de l'art. 18 alinéa 7 l. 84 cit. en étant déjà titrer de concession dans le même port ; violation de l'art. 38 cit. et analogues profils déjà déduits pour manquée souscription de la déclaration sur les qualités ; analogues profils pour manquée déclaration concernant des administrateurs cessés dans les trois ans ; analogues profils pour le caractère ostativo de condamnations souffertes de conseiller de Messine (pour violation au t.u en matière de biens culturels et ambiants – rectius du paysage) et de procureur spécial de Messine (émission j'assigne sans autorisation) ; analogues profils pour condamnations souffertes d'administrateurs du Terminal San George ;
- - pour l'illégitimité des évaluations de la commission : violation du plan régulateur et de la contraddittorietà et de l'illégitime attribution de 25 points je respecte à une oeuvre irréalisable puisque prévue du plan triennal et en de l'absence de l'approbation du Conseil supérieur des travaux publics, avec conséquent aussi altération de ne ponctue pas en faveur de contre intéressée ATI Messine pour 18.902 points ; inattendibilità de l'plan entreprise d'ATI Messine à front de la tendance négatif des activités en être ; illogicità des scores attribués à ATI Messine sous divergés des profils.
- Même je contrecarre tous les deux les actes de raisons adjointes répliquaient les parties résistantes constituées, en demandant la declaratoria d'inammissibilità de la charge ainsi que le rejet du même.
- Avec suivant acte de raisons adjointes de recours incident déposé dans donnée 29 \ 6 \ 2010 elles étaient étendues à l'adjudication définitive les censures déjà déduites dans incident contrecarre l'admission en compétition du regroupement de la récurrente.
- À la publique audience du 7 \ 4 \ 2011, auquel on arrivait sur instance de renvoi des parties, la cause passait en décision.
- Avec l'autonome recours n. 11 \ 2010 Grendi, quelle entreprise opératrice du port et concessionaire d'une aire de 50.000 mq à pont Libia, empoignait le même avis de compétition en déduisant les suivantes raisons :
- - violation de l'art. 18 même en relation aux principes de concurrence et de bonne foi, de violation de l'artt. 1325 ss c.c et nullité pour manque de l'objet de la concession, violation de la bonne marche, excès de pouvoir pour caractère exorbitant, contraddittorietà et sviamento, pour incertitude sur l'objet de la concession puisque subordonnée à je hésite des événements judiciaires pendants ;
- - analogues profils de censure pour incertitude de l'objet de concession à front des effets de prévu tombamento, ainsi que violation du par condicio à front du choix de l'avis d'indiquer comme élément facultatif d'offerte la présentation du plan infrastructural ;
- - analogues profils pour retombées que censurés des vices d'incertitude de l'objet ils ont en ordre aux critères d'évaluation prévus ;
- - analogues profils de censure pour l'inopportunità et inutilité de mettre à compétition un entier je résume ainsi que prévue possibilité de présenter même offertes en étendue je respecte à autres concessions déjà présentes.
- L'autorité sommée se constituait en jugement contre en déduisant piqué pour point et en demandant le rejet de la charge.
- Avec acte de raisons adjointes déposé dans donnée 21 \ 5 \ 2010 l'entreprise récurrente, quel participant en ATI avec Derna et Pastorino à la compétition convoquée de l'avis empoigné, empoignait l'adjudication provisoire intervenue en faveur de la d'aujourd'hui partie controinteressata, en étendant dans dérivée les vices déjà déduits.
- Avec recours incident déposé dans donnée 7 \ 6 \ 2010 elle part controinteressata contestait pour tel manquée exclusion de la récurrente, en déduisant les suivantes censures : violation de l'artt. 5.1.a) de l'avis, de 38 d.lgs. 163 cit. et 3 l. 241 \ 1990 pour manque, formel, de déclaration pour un sujet cessé de la charge dans les trois ans, ainsi que pour un manque substantiel de la nécessaire dissociation en relation à intervenue condamnation d'un sujet ayant d'autre part le contrôle de la même société Derna ; violation de l'art. 18 l. 84 cit. et divergés profils d'excès de pouvoir pour manque des qualités d'admission concernant le volume d'affaires, en n'ayant pas n n'ayant pas les sociétés récurrentes une structure apte à justifier l'attribution de je résume ainsi vaste, analoguement à motive de recours principal ; : violation de l'art. 38 cit et du point 4.1.b) et 5,1 lett à) de l'avis, DM 585 \ 1995, pour manque déclarations des procureurs avec conséquente exclusion d'ATI grendi ; ultérieures censures identiques à celles déjà placées à base du recours incident et des relatives raisons ajoutées au recours n. 6 du 2010, sur rapportés.
- Une fois intervenue l'adjudication définitive, si pour un vers il partent récurrent l'empoignait avec ultérieur acte de raisons adjointes (déposé dans donnée 22 \ 6 \ 2010) avec lequel il réaffirmait les censures proposées contrecarre l'avis dans dérivée, pour un autre vers partent controinteressata proposait recouru incident (déposé dans donnée 6 \ 7 \ 2010) avec lequel il étendait et réaffirmait les censures déjà proposées.
- Après quelques renvois disposés sur instance des parties, même tel recours passait en décision à l'audience du 7 \ 4 \ 2011.
- Avec recours n. 261 \ 2010 la même récurrent Grendi empoignait l'admission à la compétition d'ATI composé aussi de la société controinteressata, en déduisant les suivantes raisons, analogues à certains déjà déduits de Derna avec le premier recours : manque de la souscription de la déclaration établit de l'art. 38 cit. et 5,1 de l'avis ; manque de la même déclaration dans la partie concernant les sujets cessés de la charge dans les trois ans précédents.
- Avec acte de raisons adjointes les censures prédites étaient étendues au procès-verbal de la séance de compétition.
- Avec deux séries de raisons de recours incident il partent controinteressata déduisait les mêmes censures sur rapportées, puisque des déduites dans les précédents recours, contrecarre manquée exclusion d'ATI représenté en tant que la récurrente.
- Après un renvoi disposés sur instance des parties, même tel recours passait en décision à l'audience du 7 \ 4 \ 2011.
- Avec quatrième et j'achève recouru en épigraphe, les mêmes récurrent Grendi empoignait l'adjudication provisoire en déduisant les mêmes censures proposées de Derna avec la première charge. Avec deux séries de raisons adjointes les impugnatzione était étendues aux procès-verbal d'adjudication provisoire.
- Avec ultérieur acte de raisons ajoutées, déposé dans donnée 23 \ 6 \ 2010, l'impugnativa venait etendue, avec reproduction des mêmes raisons prédites, contrecarre l'adjudication définitive.
- Analoguement, une partie controinteressata reproposait dans tel siège les raisons de recours incident déjà déduites dans les précédentes charges.
- Après quelques renvois disposés sur instance des parties, même tel recours passait en décision à l'audience du 7 \ 4 \ 2011.
- DROIT
- 1. La présent controverse a à objet l'impugnativa des actes de compétition, concernant la confiance en concession de résume maritime en question, de la part des entreprises regroupées dans les a.t.i résulté succombant ; en particulier, les contestations suivent la marche de la compétition, en résultant dirigées contrecarre l'avis, les actes d'admission des deux concurrents (d'aujourd'hui contreparties privées), l'adjudication provisoire et, enfin, celle définitive.
- La compétition en contestation concerne la procédure concorsuale d'une aire du port de Gênes, déjà objet de complexes événements judiciaires, en ordre à l'quelle l'Autorité portuaire on est déterminé à procéder ex novo à une comparaison concurrentielle dans les termes établit des principes maintenant consolidés dans craint de confiance de concessions. L'administration portuaire donc s'est poussée à la publication de l'avis, empoigné même le dans ce siège, avec lequel elle a été convoquée la sélection en question à laquelle ont participé seulement les parties privées aujourd'hui en cause, constituées en opposés regroupements avec autres entreprises. Je hésite de la procédure a été favorable à la d'aujourd'hui partie controinteressata, oui que la récurrente a étendu la contestation, déjà bougée à l'avis, aux actes de compétition ; impugnativa à l'quelle on est opposé l'autorité portuaire et la controinteressata ; toutes les deux ont rempli une activité défensive, pendant que l'aggiudicataria a proposé aussi des raisons de recours incident.
- 2. Dans préliminaire il faut par conséquent disposer la réunion pour l'évidente connexion soit subjective qu'objectif des recours, ainsi comme repris dans la narrative de fait : dans la première direction, à l'identité même formelle des parties résistantes (Autorité portuaire et société aggiudicataria) s'accompagne l'identité substantielle des parties récurrentes et des relatifs intérêts, en qualité d'entreprises portuaires autorisées à actionner dans le domaine intéressé et les participants à la compétition dans le même regroupement ; dans la seconde direction il émerge à l'évidence l'identité au-delà de que des actes grevés des censures déduites, soit dans principal qu'incident.
- 3. Parimenti dans préliminaire vont déclarés inadmissibles pour défaut d'intérêt concrétise et actuel à la décision les raisons de recours proposées je contrecarre les actes divergés de l'avis et de l'adjudication définitive. En particulier, en effet, aucunes utilités les parties pourraient tirer de l'éventuelle annulation d'actes dépourvus de lesività concrète des intérêts actionnés, de la quelle l'admission en compétition d'un concurrent et de l'adjudication provisoire : en ordre à la première les éventuelles contestations, là où pas déduisibles uniquement je contrecarre l'avis, ne peuvent pas que se réverbérer dans les comparaisons de l'unique acte concrètement lesivo de la procédure, l'adjudication définitive ; en ordre à la seconde, le même assume de la nature d'acte endoprocedimentale, à des effets encore instables et intérimaires, si bien que est inidoneo à produire la définitive lésion de l'entreprise résultée aggiudicataria qu'il se vérifie seul avec l'adjudication définitive, lequel ne constitue pas acte purement confermativo de la première (cfr. à es. Je conseille Été, sez. III, 11 Mars 2011, n. 1581) et par rapport auquel seulement ils se concentrent soit les effets des lesivi que les contestations déduites. Incidentement, à ce dernier égard il doit être mis en évidence comme la même discipline de procès dans craint d'adjudications publiques, si toutefois pas directement applicable, met en évidence en termes de principe en se référant à l'impugnativa de procédures de compétition, quelle celle-là à l'étude, comme (à une partie exclusion et avis) « tous les autres actes des procédures de confiance sont empoignés avec l'adjudication définitive » (cfr. art. 44 comma 3 lett f l. 88 \ 2009, se rendent délégation pour la réalisation de la « nouvelle » directive recourue »).
- Conséquemment, analogue il obtient suivent les raisons de recours incident proposées contrecarre des tels actes.
- 4. Toujours dans préliminaire on pose la question concernant l'ordre de dissertation des raisons déduites en séance de recours incident par rapport à ceux de recours principal, en espèce à front de la nature de compétition avec deux seuls concurrents.
- En intention, la thèse déjà soutenue du Collège trouve courage dans la recene jurisprudence prédominante reprise dans la décision rendue de l'Assemblée plénière du Conseil d'État avec la sentence n. 4 du 2011, à teneur dont le recours incident, direct à contester les legittimazione du récurrent principal, au moyen de la censure de son admission à la procédure de compétition, doit être toujours examiné prioritairement, même au cas où le récurrent principal tu annexes l'intérêt instrumental à la rénovation de l'entière procédure. Il dicte priorité logique subsiste indépendamment du nombre des participants à la procédure sélective, du type de censure exposée en tant que l'récurrente incident et des demandes formulées de l'administration résistante.
- En général, la même jurisprudence prédominante retient que l'examen prioritaire du recours principal soit admis, pour des raisons d'économie de procès, au cas où soit évidente de son infondatezza, d'inammissibilità, d'irricevibilità ou d'improcedibilità ; cette faculté ne peut pas être niée, à priori, toujours que son exercise ne pèse pas sur le droit de défense du controinteressato et permette une effective accélération de la définition de la controverse. Je réalise, en cas de surtout les raisons de recours principal contrecarre l'adjudication, si toutefois en définitive pas susceptibles d'acceptation, ne semblent pas assumer connotés de l'absolue évidence en présupposant le relatif rejet un examen approfondi et analytique, de sorte que il faille donner préminence à la règle générale et prendre les mouvements, dans l'examen de l'impugnativa de l'adjudication, des raisons de recours incident.
- Cela d'autre part concerne le rapport parmi impugnativa de l'adjudication proposée des parties privées, puisque les raisons déduites à montagne je contrecarre l'avis assument de toute façon caractère prioritaire ; en effet, en contestant, au moins pour une aire objet de préalable concession, la même possibilité de procéder à compétition, le premier fin je persécute des parties n'est pas aussi bien la rénovation combien la pas déroulement de la même, pour lequel l'éventuelle acceptation serait en mesure de renverser de l'entière procédure, selon le connu mécanisme de l'effet caducante.
- 5. Dans je mérite faut donc prendre les mouvements des censures déduites contrecarre l'avis, déduites en termes distingués de la part des entreprises ensuite confluées dans le regroupement résulté succombant en compétition.
- 5.1 Avec le premier je motive de charge, parmi ceux déduits de Derna, on plaint l'illégitimité d'avoir mis à compétition dans plus vaste elle résume même l'aire acquiescée dont à la récurrente, par conséquent, l'autorité confiante n'aurait pas eu la disponibilité.
- L'infondatezza du relief émerge soit à la lumière de précédents statuizioni jurisprudentiels des redditions dans fattispecie analogue, soit sur la base de considérations logique juridiques dérivantes de l'analyse des actes.
- Sous le premier profil, ils doivent être rappelées les considérations déroulées de la sentence n. 4413 de 2009 du Conseil d'État auquel se renvoie intégralement.
- Sous selon profil, si d'un coté elle serait dirimente déjà la constatation qui la concession vantée venait à échéance dans donnée 31 \ 12 \ 2009 (art 6 de la même), donc bien avant je hésite de la compétition en question et de la conséquente confiance, de l'autre côté en tout cas la prévision dont au point 2,4 il apparaît invoquée à bévue d'une partie récurrente, puisque statuizione pas déraisonnable en espèce à front de la particulière situation qui s'est venue à créer au sujet de la confiance des aires en question.
- En intention, devant à la situation d'incertitude dérivante de se superposer différentes de statuizioni judiciaire, il est pleinement compréhensible que l'autorité appelée à la fructueuse gestion dans l'intérêt je publie d'aires stratégiques, quelles celles en objet, cherches le système de premunirsi par rapport à l'éventuel possible changement futur du scènario pris en considération. Sans rouvrir des versants maintenant conclus, est évident que, à front de l'(pure) illégitimité reconnue (et de l'acclarata, malgré la curieuse messe en doute de l'intérêt à agir d'opérateurs autorisés du même serré secteur, sur l'escorte consolidée de la notion d'intérêt instrumental) d'un accord tendu de fermer d'une précédente compétition pour la confiance de je résume, la grande route que l'autorité on a trouvé à parcourir ne pouvait pas qu'être cette de la nouvelle compétition ; dans tel je conteste, des parimenti raisonnable est la prédisposition de clauses de tutelle, par rapport à des futurs et incertains dévelopements judiciaires, dans le perseguimento des mêmes intérêts publics, comme je réalise implicitement desumibile de la même décision d'appel sur rappelée.
- 5.2 Avec le second ordre de reliefs il se plaint violation du principe de tutelle de la confiance engendrée en chef au privé avec avertis public daté 23 \ 10 \ 2003 auquel l'autorité aurait dû donner cours.
- Les considérations sur des tournants et je hésite de la précédente impugnativa de l'accord de 2004 imposent le rejet même de tel motive, en ne pouvant pas de toute façon s'attribuer importance à présumé confiance, je prive des nécessaires qualités tels à limiter ou bien exclure l'exercise des pouvoirs autoritativi de confiance des aires en chef à l'autorité regolatrice. Dans le balancement des opposées positions la clause contestée, et sur rappelée, semble constituer un raisonnable compromis respect à une situation réalise particulier. En outre, par rapport à passer de nombreux ans elle est parimenti logique la détermination de l'autorité de procéder à une nouvelle compétition, dans le sillion du plein respect du principe concurrentiel sur rappelé.
- 5.3 Combien jusqu'ici mis en évidence comporte prima facie l'infondatezza aussi du troisième ordre de reliefs, avec lesquels on étendait des analogues considérations respecte à un acte, la quelle l'autorisation à anticipée occupation, les parimenti prive des caractères ses d'invoqué confiance, en étant limité dans le temps à une époque antérieure à hésite de la compétition en question ainsi que basée sur des fondations intérimaires dépourvues de consistance selon combien déjà mis en évidence.
- D'autre part, en termes de particulière infondatezza de la censure il va aussi mis en évidence comme l'acte invoqué soit ex si dépourvu de caractères de stabilité tels à garantir combien souhaité d'une partie récurrente : en effet, l'art. 38, Cod. Nav. il admet qu'il puisse se faire lieu à des attributions temporaires de biens domaniaux, lequel poirier, vraiment parce qu'intrinsèquement transitoires, ils ne sont pas seulement pas capables de prendre racine des confiances méritantes de protection en chef aux titulaires, mais annoncent nécessairement au départ de procédures comparatives en vue de l'attribution définitive (cfr. à es. Je conseille Été, sez. VOUS, 29 décembre 2010, n. 9574).
- 5.4 Enfin, des parimenti prima facie destitué de fondation est le quatrième ordre de reliefs déduits de Derna contrecarre l'avis qui serait illégitime dans la partie dans laquelle il ne prévoit pas de clauses de restitution de la somme anticipée à titre d'indemnité pour le précédent consortium (euro 411.400, 00). En effet, comme correctement contre déduit de la défense de l'Autorité portuaire aucune prévision il devait sur le point être inséré dans l'avis, en étant la question remise au différent siège de la fermeture des rapports éventuellement ouverts, même en termes de dette crédit, en ordre à des précédents rapports concessori.
- 5.5 Toujours je contrecarre l'avis même l'autre société du regroupement ensuite résulté succombant a proposé une série de censures que, si toutefois jointes aux précédentes (de sorte que ils soient en grande partie des richiamabili même les considérations jusqu'ici déroulées), doivent être examinées séparément en ordre à des ultérieurs profils déduits.
- Avec un premier ordre de reliefs on conteste soit le manque de l'objet de la concession, en n'ayant pas n n'ayant pas l'autorité la disponibilité des aires, soit l'incertitude sur l'objet de la concession puisque subordonnée à je hésite des événements judiciaires pendants. Pendant que dans la première direction il est suffisant rappeler combien sur mis en évidence en ordre aux effets de précédentes concessions partielles (soit en termes d'espace que de temps), dans la seconde direction assument caractère dirimente les considérations déroulées en ordre au bon sens de la détermination adoptée de l'organisme gérant d'aires stratégiques sous des différents profils qui, dans le perseguimento des intérêts publics dont le même est titrer, ont pourvu mettre à compétition la confiance des aires mêmes en termes, pour un vers, pleinement répondants à l'état actuel des mêmes et, pour un autre vers, en dictant des clauses tendues à poser éventuel remède à survenir de événements qui, pour sa nature, assument le caractère d'incertitude.
- 5.6 Avec un second ordre de reliefs elle est contestée l'incertitude de l'objet de concession à front des effets de prévu tombamento, ainsi que la violation du par condicio à front du choix de l'avis d'indiquer comme élément facultatif d'offerte la présentation du plan infrastructural.
- La censure est en partie inadmissible, relativement à la contestation de profils qui fuient des limites d'admissibilité de l'impugnativa d'un acte général ce qui est l'avis de compétition, et en partie infondée.
- Sous le premier profil, en ligne générale la prédominante jurisprudence, faite sa de la récente décision de la Plénière déjà rappelée et partagée du Collège, retient que les legittimazione au recours, en cas de recourus en matière de procédures de compétition (analogiquement applicable à la compétition en question), doit être corrélées à une situation diversifiée, en mode certaine, pour effet de la partecipation à la même procédure objet de contestation. Telle règle, maintenant consolidée, subit quelques dérogations, concernantes, respectivement : ) aux legittimazione du sujet qui contraste, en racine, le choix de la station adjugeante d'organiser la procédure ; b) les legittimazione de l'opérateur économique « de secteur », qu'il entend contester une « confiance directe » ou sans de compétition ; c) les legittimazione dont opérateur manifeste l'intention d'empoigner une clause de l'avis « escludente », en relation à l'illégitime prévision de déterminées qualités de qualification. Telles dérogations, qui se joignent à des exigences et à des raisons particulières, elles sont toutefois des inidonee à déterminer l'affirmation d'une nouvelle règle générale d'indifférencié titulariat des legittimazione au recours, basée sur la pure qualification subjective d'entrepreneur potentiellement aspirant aux indizione d'une nouvelle compétition.
- Dans telle optique, plongeur) aux legittimazione du sujet qui empoigne la décision d'organiser une compétition est admis dans les seuls cas dans laquelle ceux-ci montrent une adéquate position diversifiée, constituée, par exemple, du titulariat d'un rapport incompatible avec la nouvelle confiance contestée ; en cas de surtout cela subsiste au sujet des raisons prédites dans lesquelles elle est venue en contestation la même subsistance de l'objet de compétition ou le rapport avec les concessions dans être, pas en ordre aux raisons à l'étude relatives aux prévisions sur le tombamento, c'est-à-dire à des clauses de contenu et mérite de l'avis, pas concernantes la faculté même de procéder à compétition.
- Insignifiant la question plongeur b), en cas de surtout se pose les problématique de l'impugnabilità directe de l'avis, plongeur c), admissible uniquement en relation aux cc.dd clauses escludenti. Or donc les raisons à l'étude ne concernent pas à l'évidence de clauses et de dispositions de l'avis comportant l'pas admission en compétition des entreprises qui contestent les clauses mêmes. Dans la mesure dans laquelle ensuite par contre les clauses de l'avis en contestation puissent se réverbérer sur le prosieguo de la compétition et donc sur l'adjudication définitive, ils reprennent plein vigueur les considérations qui retiennent au besoin préliminaire l'examen du recours incident.
- Sous selon profil, les censures déduites apparaissent d'autre part infondées puisque l'avis, après avoir prévu l'étendue de l'objet de la concession, compréhensive de l'espace aqueux, il a prévu la faculté de présenter des plans d'investissement infrastructural, en termes suffisamment détaillés (cfr. point 2,6 de l'avis), en prévoyant ensuite en séance de prédétermination des critères d'adjudication la possibilité d'obtenir je ponctue maximum selon une mesure qui, dans les limites de syndicat des dispositions d'avis, n'apparaît pas manifestement déraisonnable.
- 5.7 les considérations jusqu'ici déroulées rendent évident l'inammissibilità (en ne se traitant pas de clauses escludenti) et d'infondatezza aussi des restant vices déduits, soit pour présumées retombées que censurés des vices d'incertitude de l'objet ils auraient en ordre aux critères d'évaluation prévus, soit présumée inopportunità et inutilité de mettre à compétition un entier je résume ou bien de présenter même offertes en étendue je respecte à autres concessions déjà présentes.
- Je réalise, à ce dernier égard ainsi que dans plus de général par rapport aux contestations bougées au lex specialis en objet, même en estimant dépassables les perplexités dérivantes d'une censure déduite en termes d'inopportunità du choix administratif (traverse donc le recours à un concept relatif à mérite administratif, exclu du présent contrôle juridictionnel), ne peut pas que se renvoyer à quel déjà statuito du Collège en ordre au même avis (cfr. sentence 1215 \ 2010) : « Je réalise, si pour un vers la réglementation est en vigueur ne pose pas quelque limitation dans la détermination des aires à mettre à compétition, pour un autre vers ils ne peuvent pas que valoir les ordinaires principes thèse à régler à l'exercise de la discrezionalità administrative. Au cas à l'étude, à front de l'importance du port de Gênes ainsi que de la consistance, emplacement et conformation de je résume intéressé, la détermination contestée ne semble pas né basée sur un faux rapport des données de fait né sur des éléments ou de considérations viciés de manifeste caractère exorbitant. La jurisprudence invoquée d'une partie récurrente, si d'un coté il apparaît pleinement partageable puisqu'il réaffirme combien soutenu de ce tribunal en diverses statuizioni des dernieres année en ordre à la valence des principes concurrentiels dans craint de concessions même portuaires (CdS 362 \ 2007 qui à cas ne confirmaient pas une prononcent de ce Tar), pour un autre vers aucun relief assument aux fins heureux, puisque la messe à compétition de je résume étendu mais raisonnablement modulé par rapport à l'importance du port et à sa conformation, il apparaît pleinement respectueux des principes rappelés. Tous les opérateurs portuaires autorisés, éventuellement regroupés, ont la possibilité au moins théorique de participer à la compétition ; en outre, l'Autorité portuaire doit dérouler ses considérations en ordre à la détermination et délimitation des aires dans le primaire intérêt pas aussi bien des entreprises de combien de du de meilleur fonctionnement et reddition, soit économique que social à front de la pluralité d'intérêts publics impliqués, du port et des relatives activités. Né apparaît viciée prévue possibilité de confier des aires en étendue à autre concessionaire limitrophe, selon une faculté permise dans la mesure dans laquelle pas deroghi, comme pas dérogation dans l'espèce, à la règle de la comparaison concurrentielle et à la necessité de possession des nécessaires qualités ».
- 6. Selon le cadre tracé dans préliminaire il faut procéder à l'examen des raisons de recours incident, déduits je contrecarre l'adjudication définitive de la part de l'entreprise controinteressata et thèse à contester l'illégitimité des actes de compétition dans la partie dans laquelle elle n'a pas été disposée l'exclusion du regroupement constitué, parmi les autres, des entreprises d'aujourd'hui récurrentes.
- 6.1 au fin d'un ordonné et complet examen des mêmes il faut prendre les mouvements de ceux déduits, en termes analogues mais pas coïncidants, beaucoup à porter à des résultats divergés, à quelques des censures de recours principal, dans affirmée violation de l'artt. 38 d.lgs. 163 cit. et 4 ss. de l'avis, relativement aux déclarations rendues en ordre à la subsistance des qualités « juridique des morales professionnels ».
- Aussi si la compétition à l'étude, ayant à objet la confiance d'une concession domaniale maritime et pas un contrat d'adjudication, n'était pas formellement sujette à chaque ponctuelle règle dictée du code des contrats publics, l'avis a poursuivi la route de l'express rappelle à la règle en question dans les termes suivants : au point 4,1. de l'avis, intitulé des qualités juridique morales professionnels, il vient statuito comme premier point (a) qui « la partecipation est réservé aux entreprises en possession des qualités dont à l'art. les 38… En particulier participants doivent montrer de ne pas être encourus dans une des causes d'exclusion dont à l'art. 38 alinéa 1 lett) b) à c) d) et) f) g) h) i) l) m) m -m-ter et alinéa 2 d.lgs. 163/06 ».
- Je réalise, à la lumière de prédit inquadramento de l'objet de compétition et de la formulation de l'appel à la règle invoquée, on en impose une application conformement à la ratio de la réglementation.
- En ligne de droit, et dans telle optique, même en séance de compétition d'adjudication tout court cette section a déjà plusieurs fois eu le moyen de mettre en évidence comme l'analyse de la question doive prendre les mouvements de la donnée normative de l'art. 38 cit. invoqué, qui, après avoir dicté (alinéa 1) que « ils sont exclus de la partecipation aux procédures de confiance des concessions et des adjudications de travaux, de fournitures et de services, de né ils peuvent être des affidatari de sous-traite, et ne peuvent pas stipuler les relatifs contrats les sujets » qu'on trouve dans une série de situations déterminées de la règle (selon une liste reprise de l'avis sauf les lett m quater introduite dans les mûres de l'adoption de l'avis même), il prévoit (alinéa 2) que la possession de telles qualités puisse être attestation au moyen de déclaration.
- En général, il va donc réaffirmé, surtout en cas comme cela à l'étude, que la ratio de la réglementation dont à l'art. 38 il réside dans l'exigence de vérifier la fiabilité dans l'ensemble considérée de l'opératrice économique qui ira négocier avec la p.a pour éviter, à tutelle de la bonne marche de l'action administrative, qui cette dernière entre en contact avec des sujets dépourvus de fiabilité morale et professionnelle (cfr. à es. Tar Ligurie 962 et 9201 \ 2010).
- Le individuelles lex specialis dictent à règles de spécification de telle charge que, si d'un coté ils assument la valeur de lien pour la même station adjugeante et pour les aspirants participants, de l'autre doivent être soumis aux ordinaires critères de la clarté de rédaction et du bon sens d'application.
- En intention, il va aussi rappellée la prédominante opinion jurisprudentielle (cfr. à es. Je conseille d'État Sez. VOUS 4.8.2009, n. 4906, 22.2.2010, n. 1017) en tant que dernier en consolidation, qu'on bouge dans la même optique sur mise en évidence, à teneur dont l'alinéa 1 de l'art. 38 cit. il reconnecte l'exclusion de la compétition à la donnée substantielle de manqué possession des qualités indiquées, pendant que l'alinéa 2 ne prévoit pas analogue sanction pour l'hypothèse de manquée ou pas claire déclaration : de cela il descend que seulement l'insussistenza, en concret, des causes d'exclusion prévues de l'art. 38 comporte, « ope legis », l'effet espulsivo. Lorsque, au contraire, les participant soit en possession de tous qualités demandées et le « lex specialis » ne prévoie pas expressément peine de l'exclusion en relation manquée de l'observance de la ponctuelle prescription sur les modalités et sur l'objet des déclarations à fournir, en faisant générique appel à l'absence des causes impeditive dont à la réglementation à l'étude, l'omission ou l'inachèvement en ordre à des tels éléments ne produit pas quelque préjugé aux intérêts garnis de la règle, en recourant une hypothèse de pur formalisme comme telle insuscettibile, en carence d'une exprimée prévision législative ou - il se répète - de la loi de compétition, à fonder l'exclusion, les hypothèses de laquelle sont péremptoires (cfr. Conseil Été, sez. V, 9 novembre 2010, n. 7967). En sens conformement à exposée solution il dépose même l'art. 45 de la directive 2004/18/CE qui reconnecte l'exclusion aux seules hypothèses de grave culpabilité de fausses déclarations dans fournir des informations, pas rinvenibile au cas où le concurrent n'atteigne pas quelque avantage en termes compétitifs, en étant en possession de tous les qualités prévues (cfr. Cons. St. n. 1017/2010 cit.).
- 6.2 Dans telle optique en cas de surtout il faut mettre en évidence le laconisme de l'avis qui réserve la partecipation aux entreprises en possession des qualités dont à l'art. 38, en montrant de ne pas être encouru dans une des causes d'exclusion prédites.
- En cas de surtout ils vont donc estimés infondés les vices et les contestations concernants pas aussi bien la subsistance des qualités combien la formelle absence de déclaration de la part de quelques des sujets intéressés. Cela même en ordre à la figure spécifie des procureurs spéciaux des sociétés qui, aussi munis de pouvoirs de représentation, ne rentrent pas du nombre des sujets tenus aux déclarations substitutives conclues à vérifie de la possession des qualités de moralité de la société même (cfr. à es. Je conseille Été, sez. V, 25 janvier 2011, n. 513).
- 6.3 divergées à des conclusions arrive pour ce qui concernent par contre le relief substantiel, concernant la subsistance de prédits des qualités, en espèce là où se conteste la déclaration en ordre à la subsistance d'une cause d'exclusion en chef à un administrateur cessé de la charge dans le cours des trois ans, par rapport auxquels toutefois, en second lieu la défense d'une partie récurrente, seraient intervenues des aptes mesures de dissociation, consistant dans l'approbation dans donnée 11 \ 1 \ 2010 (c'est-à-dire le jour avant la déclaration même annexe à la question de partecipation) d'un code éthique.
- La thèse défensive de la récurrente principale ne convainc pas. Je réalise, à front d'une donnée normative clair dans demander que l'entreprise « montre d'avoir adopté aptes ou mesures de complète dissociation de la conduite pénalement sanctionnée », le pur appel à l'approbation d'un code éthique (méconnu à la station adjugeant d'autre part) le jour avant la présentation de la question même exclut la possibilité d'attribuer à tel élément le caractère de dissociation d'une conduite, dont pénalement sanctionnée, pas même pas d'acte ou d'appel dans la déclaration même. Je réalise, au fin de montrer l'activation d'une « complète » dissociation faut fournir quelques éléments, à partir de la conduite sanctionnée, tels à mettre en évidence combien de place dans être en direction opposée et de la relative efficacité ; en cas de surtout, par contre, le sujet déclarant a omis de rappeler spécifiquement le précédent, aussi en l'admettant considérable, ainsi en ne posant pas en condition l'administration d'évaluer le point, en rappelant comme dissociation uniquement un élément tellement récent (du jour précédent), au-delà qu'entièrement génériquement invoqué, d'exclure de que dans l'espèce il puisse être déjà intervenu la dissociation établit ex lege.
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