L'cluster maritime italien contribue au 2,6% du produit interne brut national
le secteur occupe 477mil des personnes préposé, pair au 2% environ de la force de travail du Pays
25 Oktober 2011
L'cluster maritime italien donne une contribution à produit interne brut national pair à 39.5 milliardes d'euro (donné 2009), c'est-à-dire le 2,6% du Pil global et le 11% du produit interne brut du seul secteur des transports, et donne à occupation environ au 2% de la force de travail du Pays (477.000 personnes parmi des personnes préposé directes et poussé). Cette synthèse de la valeur économique et occupationnelle du secteur maritime est mise en évidence d'« IV Rapporto de l'Économie de la Mer », présenté des stamani à Rome prés du siège de CNEL, qui a été réalisé de la Fédération de la Mer ensemble au Censis et qu'il souligne comme le cluster maritime on confirme un des secteurs plus dynamiques de l'économie italienne.
Les chiffres contenus dans le rapport confirment en outre le positionnement de l'Italie à la première place en Europe pour importations mer, avec 185.4 millions de tonnes de marchandise, et troisième pour des exportations, avec à 47 millions de tonnes. L'Italie maintient ensuite la leadership même dans le trafic crocieristico (avec 6.7 millions de passagers) et dans la construction de paquebots et de motor-yacht de luxe.
Les principales données groupes du cluster maritime :
2004
% sur total Italie (an 2004)
2009
% sur total Italie (an 2009)
Pil au net des duplications (millions d'euro courants)
36.518
2.7
39.545
2.6
Coûts intermédiaires et investissements tu fixes bruts (millions d'euro courants)
11.616
4.4
13.941
4.9
Exportations (millions d'euro courants)
14.088
5
9.718
3.3
Importations (millions d'euro courants)
4.046
1.4
3.193
1.1
Unités de travail directes
164.070
0.7
213.638
0.9
Unité de travail totaux
394.950
1.6
476.916
2.0
Le document remarque comme l'impact des activités maritimes sur l'économie italienne aille au-delà des aspects plus étroitement liés à leur dimension trasportistica et implique directement divergés des secteurs productifs de l'économie. En particulier, l'industrie maritime des transports, la production desquels dépasse les 11 milliardes d'euro, à de hors du cluster maritime dépense annuellement environ 700 million en produits alimentaires et boissons, 330 millions en produits du raffinage du pétrole, 240 million dans des mobiliers et autres produits manufacturés et 100 millions en services de médiation mutuelle financière ; la logistique portuaire acquiert pour 265 millions dans le secteur des constructions, pour 155 millions dans les activités immobilières et pour 140 millions dans les ordinateurs et dans les services connexes ; la de la construction navale dépense 960 millions en composantes pour transports, 540 millions en produits métalliques, 410 millions en appareillages mécaniques et électriques et 100 millions en produits de plastique ; la nautique, 360 millions en produits métalliques et 165 millions en appareillages mécaniques et électriques ; la pêche dépense pour des coûts de distribution, en bonne partie vers des restaurants et se débrouille alimenter, plus que deux milliardes qu'euro. En outre les activités professionnelles sont acquises pour au-delà de 1.17 milliardes d'euro des griffes économiques des cluster maritime et achats de biens et services effectués de diportisti et de crocieristi à de hors du secteur maritime sont évaluées en presque six milliardes d'euro.
En termes de contribution au Pil, après les transports maritimes on place les activités de logistique portuaire et les ausiliarie aux transports (6.7 milliardes d'euro de contribution), la pêche (4.4 milliardes), la de la construction navale naval (4.3 milliardes) et les nautique de diporto (3.3 milliardes).
Les données de 2009 indiquent comme la valeur de la production pour les seules activités de marché équivaillent à 34.9 milliardes d'euro (incluses les frais des touristes), auxquels on ajoute 4.5 milliardes d'euro des secteurs institutionnels. Le document précise qui, sur la de base des données disponibles à aujourd'hui, peut s'estimer que dans le 2010 la valeur du cluster maritime se soit placée parmi les 38 et 39.7 milliardes d'euro. Les données à disposition indiquent un scènario pour le 2011 de croissance contenue, pour ensuite reprendre à se développer à nouveau dans le 2012.
Plus précisément, environ les perspectives du cluster maritime le rapport explique que, après une contraction très marquée des activités enregistrées en 2009, déjà dans le 2010 on a vérifié une encourageant reprise des niveaux de trafic des marchandises quoique ils restent des criticités qui freineront développe, comme la persistance sur le marché international d'un fort reste de soute (un excès d'offerte de services de transport par rapport à la question) et une valeur des locations qui restent vastement à de sous des niveaux précédents à la crise.
Dans le premier semestre du 2010 ils sont tournés à croître les trafics italiens de vracs solides (+25,4% dans des termes tendanciels) et ce de general cargo (+5,5%), pendant qu'il résulte encore en flexion (- 2,3%) le trafic de conteneur quant à la phase de ralentissement déterminée de la crise s'est ajoutée la progressive difficulté de rivaliser avec les principaux ports nord-africains, généralement en mesure d'offrir prix de moyens plus contenus par rapport à l'Italie, majore des espaces pour le dépôt et le traitement des marchandises, procédures bureaucratiques et services d'assistance aux marchandises plus rapides.
Les prévisions pour le secteur sont d'une consistant phase expansive de la general cargo et de vracs liquides, en particulier en considérant les trafics de produits pétrolifères de l'aire du Golfe Persique vers la Méditerranée, mais d'un modeste je développe du trafic qui l'Italie réussira à capter à cause du croissant compétitivité des ports du rivage Sud de la Méditerranée. En outre l'excès de soute, avec un conséquent reste d'offerte de services de shipping par rapport à la question, persistera au moins jusqu'au 2012 avec des effets de ralentissement de la croissance soit du côté du transport maritime qui de celui des constructions navales, et vraiment la de la construction navale navale sera subordonné au moins dans l'an prochain à une basse croissance donnée la situation de crise structurelle pour l'instant enregistrée de ce secteur en Italie, quoique la capacité compétitive du secteur tu restes élevée (surtout dans segmente des bateaux de croisière). Enfin elle est prévue une lente reprise du secteur de la nautique de diporto, qui à moitié du 2011 montre quelques signaux positifs, des merci surtout à la hausse des exportations, pendant que le marché j'interne continue à escompter les carences infrastructurales et une politique fiscale à moderniser.
Au sujet des marchés qui pourront stimuler plus la croissance du secteur, en tenant compte des projections de croissance du Pil des marchés élaborées des Fonds Monétaire International et des niveaux de corrélation avec le trafic, pour la période 2011 - 2015 le rapport prévoit que l'aire où l'Italie intensifiera plus ses échanges maritimes pourrait être la Chine et Hong Kong ; des actuels huit millions de tonnes d'échanges (étaient plus que 12 millions en 2008) on pourrait arriver dans le 2015 presque à 20 millions de tonnes. De cette façon telle aire pourrait représenter le 6% des trafics maritimes italiens en doublant son poids dans la matrice origine-destination italienne des flux mer. L'estime tient compte des elevés taux de croissance du Pil qui, comme il est connu, dans les derniers dix ans, ont distingué l'économie chinois et cette de Hong Kong (parmi 2005 et 2009 le Pil à des valeurs courantes est passé de 2.400 milliardes à 4.900 milliardes de dollars et entre le 2010 et le 2015 il est prévu un accroissement du 51% en termes courants).
La seconde aire pour taux de croissance pourrait être verosimilmente le rivage Sud de la Méditerranée et l'aire moyen-orientale. Il s'agit d'une région pour lequel au cours des années à venir il est prévu un appéciable taux de croissance de l'économie, à des rythmes tels à signaler le penchant à des nouveaux investissements et à l'ouverure vers les échanges internationaux. Il s'agit de l'aire vers laquelle ils s'adressent et dont ils proviennent les majeurs flux de marchandises qui concernent l'Italie. Les projections, effectuées en tenant compte des prévisions de croissance du Pil, indiquent la possibilité de passer des actuels 120 millions de tonnes échangées environ à 200-220 millions de tonnes.
La troisième aire vers laquelle l'industrie maritime italienne pourrait améliorer considérablement son positionnement stratégique devrait être cela balkanique, l'économie duquel a crû considérablement dans la dernière décennie, ainsi comme les échanges mer avec l'Italie (augmentée en volume au-delà du 60% parmi du 2002 et de 2009 et du 13% entre le 2005 et 2009). Des ultérieurs indicateurs éprouvent pour ces Pays posés sur le rivage oriental de l'Adriatique une phase d'expansion économique plutôt soutenue au moins parmi les premiers ans 2000 et 2008, avec une phase de ralentissement en 2009, à cause de la crise économique. Les estimes effectuées en tenant compte du robuste niveau de corrélation existante parmi les échanges maritimes et pour de l'Italie et du Pil des Pays appartenants à cette aire portent à retenir que des actuels 13.6 millions de tonnes on échangées mer avec l'Italie puisse arriver dans le 2015 à au-delà à de 23 millions de tonnes.
Enfin il est vraisemblable retenir que shipping italien il intensifiera son activité même avec l'aire du Golfe Persique. Les données à disposition mettent en évidence comme les principaux cassées garnies de l'armement italien soient qui de la Méditerranée tournent vraiment vers l'aire du Golfe Persique (au-delà de que ce vers l'Asie orientale), le Pil de laquelle est estimé en croissance du 23% dans la période 2010-2015. En outre, il faut souligner que, si les volumes de trafic et pour de l'Italie avec le Golfe Persique ont un limé poids sur le total des trafics, en valeur ils assument vice versa une position d'absolu relief en se traitant principalement de produits pétrolifères et de produits de la manifacture italienne de mi-haute qualité. Sur la de base de telles fondations il est donc possible supposer que les flux de navigation et vers de cette aire pourraient passer des actuels 3.3 millions de tonnes à 5-6 millions de tonnes.
« Les données du Censis - il a déclaré le président de la Fédération de la Mer, Paolo d'Amico - montrent clairement que l'cluster maritime italien constitue un champ d'excellence du Pays. Comme tous, nous avons subi les effets de la crise commencée en 2008, parmi laquelle l'écroulement des locations et je baisse du chiffre d'affaires, mais avons montré une forte capacité de réaction. J'attends que je tiens à souligner - a ajouté - est que le système maritime a maintenu depuis quelques années son poids, merci à un procès de réforme qui a rendu compétitives sa composante par rapport aux concurrents etrangers ».
« Après la réforme de la navigation mercantile internationale de 1998 - il s'est rappellé d'Ami - ils ont été investis au-delà de 35 milliardes d'euro dans la construction de nouvelles unités navales, qui ont porté la flotte italienne à doubler en devenant ainsi parmi les principales au monde, avec des positions d'absolu relief dans les secteurs plus sophistiqués comme ceux des unités ro-ro et des bateaux de croisière. Même la réforme des ports de “94, aussi aujourd'hui besogneuse de modernisation, a été important, en ayant rendu possible à l'Italie se qualifier en Europe comme première importatrice et exportatrice mer et premier but pour les passagers et les voyageurs des bateaux de croisière ».
« Aujourd'hui, en vertu de nouveaux scènarios de marché - il a conclu d'Ami - nous demandons une renouvelée sensibilité à toutes les institutions, de façon à procéder rapidement sur quelques des necessités stratégiques pour la compétitivité du secteur : parmi je eux veux souligner le maintien de la réglementation italienne et européenne sur la compétitivité du drapeau maritime, la liaison de nos escales avec les réseaux de transport terrestre, l'adaptation des fonds et la simplification de différentes procédures administratives et fiscales ».
Le directeur général du Censis, de Giuseppe Roma, a réaffirmé « la capacité traînante de l'cluster maritime italien dans conteste trop de temps stagnant ». « Je considere approprié - il a poursuivi - que le système maritime accomplisse encore une fois un saut de qualité, surtout en améliorant la capacité de ses noeuds logistiques de capter des flux commerciaux en constante croissance, flux qui continuent à avoir comme importante aire de je transite la Méditerranée ».
« Des projections qui le Censis ont élaboré - il a expliqué Rome - le cluster maritime devront regarder avec croissant de l'attention pas seulement à des marchés déjà en forte expansion, comme celui de l'Asie orientale, où les échanges maritimes et pour de l'Italie croissent de la moitié des ans 2000 à des rythmes tourbillonants, mais même à des aires dans lesquelles le Pays, des merci à son armement, peut dérouler un rôle de player de rang, comme le rivage Sud de la Méditerranée (où on place le 40% des échanges et pour de l'Italie), de l'aire balcano-adriatique et cette du Golfe ».
« Ils représenteront volent pour la compétitivité de l'cluster maritime italien - il a observé le directeur général du Censis - plus d'innovation et certainement tu majores des investissements dans la composante avancée du cluster maritime, en particulier dans les technologies ICT et dans celles pour l'automation et la sécurité des opérations logistiques, au-delà de à des investissements en recherche et développe de prototypes dans segmente de la de la construction navale ».
Transports maritimes - ressources, emplois et occupation du secteur, 2009.
Valeur adjointe pour pr3posée (milliers d'euro courants)
96.14
96.14
*
Les données de référence sont ceux de l'European Cruise Council, qui estime les frais effectuées des crocieristi en Europe paire à 2.7 milliardes d'euro pour 2009 et attribue à l'Italie le 30% de la dépense totale. Fonte : élaboration Censis sur des données Istat, Confitarma, etc
Activités de logistique portuaire et services auxiliaires au transport maritime - ressources, emplois et occupation, 2009.
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