- Aujourd'hui à Naples, prés du siège du Banc de Naples, Tu étudies et des Recherches pour l'Italie du Sud (SRM), Centre d'Etudes relié au groupe Intesa Sanpaolo, a présenté le premier rapport annuel « les relations économiques parmi l'Italie et la Méditerranée » qui ramasse les résultats du monitorage constant et des analyses plus significatives de l'Observatoire Reste de SRM sur les rapports économiques entre l'Italie (et l'Italie du Sud en particulier) et les Pays extras Union Européenne qu'on montre sur le bassin de la Méditerranée.
- Dans le particulière, elles sont les trois les aires méditerranéennes objet de l'enquête de SRM : l'aire Southern Med (Maroc, Algérie, Tunisie, Libia, Egypte), l'aire Eastern Med (Israël, Libano et Turquie) et l'aire Adriatic Med (Albanie, Bosnie et Croazia). Et trois sont même les typologies de relations économiques de et vers l'Italie vous analysez : les dynamiques commerciales, qui dans le volume sont décrites à travers un cadre macroéconomique de l'aire SE COGNENT et une analyse détaillée de l'échange commercial avec l'Italie ; les flux financiers, soit en entrée (les fonds souverains) qu'en sortie (les remises des immigrés) de l'Italie ; et enfin, les liaisons infrastructurales, en prenant en considération l'analyse des flux de navigation, des systèmes portuaires et des retroportuali et, sur craint énergétique, les nouveaux réseaux et les couloirs.
- Dans le cours de la rencontre, qui a été ouvert du président de SRM, de Paolo Scudieri, et du directeur général du Banc de Naples, de Giuseppe Castagna, le directeur général de SRM, Massimo Deandreis, il a présenté le rapport, qui met en évidence comme l'Italie soit le premier partenaire commercial de l'Aire Med avec 63.3 milliardes d'euro, dont presque le 30% concerne l'Italie du Sud, pendant qu'Allemagne et France sont à la seconde et la troisième place respectivement avec 52.4 et 46 milliardes d'euro. Toutefois, au net de l'échange énergétique, l'Italie descend en tant que le premier à la troisième place avec 35.9 milliardes d'euro, précédée d'Allemagne et de France avec respectivement 46.7 et 37.1 milliardes d'euro. Les prévisions au 2013 voient l'échange italien avec l'Aire Med croître à 82.3 milliardes d'euro.
- Le rapport souligne en outre comme le 37% de l'export italien dont soit réalisé pour maritime, quatrième il est dirigé aux Pays de la Méditerranée, et comme les liaisons infrastructurales ils constituent une partie essentielle pour augmenter la puissance les relations économiques avec l'aire de la Méditerranée.
- À partir des ans "90 du siècle glissé, la Méditerranée a retrouvé sa position centrale dans les trafics mondiaux merci au progressif déplacement du barycentre de l'économie globale vers l'Extrême Orient, en arrivant à intercepter environ le 15% du trafic mondial de marchandises. Telle circonstance - il remarque le rapport - a eu un impact sensible sur le trafic portuaire de l'Italie, auquel se demande une majeure efficacité et une qualité des services : en effets, de 1.4 milliardes de tonnes de marchandises qui transitent dans la Méditerranée, au-delà de troisième sont chargées et déchargées en Italie, avec Gioia Tauro qui détient le record italien dans les movimentazione de conteneur et sont à la troisième place parmi les ports de la Méditerranée.
- Les exportations maritimes de l'Italie vers les Pays de l'Aire Med constituent le 25% de l'export maritime total et les flux commerciaux se concentrent surtout dans le Southern Med (pour le 55% dans le 2010). Dans ce je conteste - il explique le rapport - il y a des vastes marges de croissance pour les ports hub italiens (Gioia Tauro, mais même Tarente et Cagliari). Ceux-ci doivent toutefois s'équiper pour rivaliser avec majeure efficacité avec les ports du rivage sud de la Méditerranée - Port Saïd en Egypte et Tanger Med à Maroc, surtout - qu'entre le 2005 et le 2010 ils ont enregistré une croissance de ses parts de marché vraiment à des frais des escales italiennes. À tel fin - selon SRM - il faut préventivement affronter craint des systèmes des retroportuali et de l'accessibilité ferroviaire et de la viaria, en réalisant des stratégies précises, soit en termes d'investissements infrastructuraux (fonds et quais) soit en termes de spécialisations de transport, comme par exemple les Autoroutes de la Mer et des bacs ro-ro.
- « La Méditerranée - il a observé Massimo Deandreis - pourrait être notre Est Europe. L'Allemagne a eu des taux de croissance supérieurs à la moyenne communautaire et largement tu améliores de ceux italiens, même merci au fait qui l'Europe de l'Est est un vaste marché de débouché, maintenant stabilisé et complété dans le marché commun européen. Rapporto de SRM nous indique avec clarté ce qui, analoguement, pourrait représenter pour l'Italie une aire de la Méditerranée apaisée, démocratique et plus complétée à l'Europe. Les incertitudes politiques sur ces Pays ne nous doivent pas empêcher d'avancer sur cette route parce que l'importance économique du bassin de la Méditerranée va bien à au-delà des données, aussi considérables, sur l'échange commercial. Des investissements des fonds souverains de l'aire Il se cogne aux remises des immigrés ; de la fonction stratégique de la portualità italienne aux données sur l'échange énergétique, il émerge avec clarté le rôle détérminant qui peut jouer cette aire pour l'économie de notre Pays et de l'Italie du Sud en particulier ».
|