- La Section Sixième du Conseil d'État, avec sentence déposée hier que nous publions de suite, a accueilli l'appel présentée de l'Autorité Portuaire de Gênes contre le ministère des Infrastructures et des Transports et autres ministères, la Région Ligurie, la Province de Gênes, la Commune de Gênes et vis-à-vis de Société pour Cornigliano Spa, Ilva Spa, Aéroport de Gênes Spa et d'autres organismes et d'associations syndicaux pour la réforme de la sentence du Tribunal Administratif Régional pour la Ligurie du 13 mai 2010 où il avait été repoussé le recours présenté de l'Autorité Portuaire génoise pour la vérification de la non-exécution de l'acte modificativo de l'accord de programme sur les aciéries de Cornigliano (pour les dismissione de l'aire à chaud des aciéries Ilva) et pour la condamnation du ministère des Infrastructures et des Transports à l'accomplissement des obligations assumées et au paiement en faveur de l'Autorité Portuaire de 70 millions d'euro.
- L'article 10 de l'acte modificativo de l'accord de programme du 19 novembre 1999, qui a été souscrit le 8 octobre 2005, prévoit la consigne à l'Autorité Portuaire d'aires pour environ 140mil des mètres carrés destinées, après bonifie, à des fonctions de logistique portuaire et prévoit une indemnité de 70 millions d'euro dans les comparaisons de l'organisme portuaire.
- Le Conseil d'État donc a condamné le ministère à verser les 70 millions d'euro, de somme qui l'organisme portuaire génois avait initialement destiné à la réalisation d'aires logistiques, d'un parking et pour l'étendue du métro aérien portuaire.
- RÉPUBLIQUE ITALIENNE
- AU NOM DE JE PEUPLE ITALIEN
- Le Conseil d'État
- en siège juridictionnel (Section Sixième)
- il a prononcé le présent
- SENTENCE
- sur le recours nombre de registre général 6034 du 2010, proposé de :
- Autorité portuaire de Gênes, en personne du président et du légal représentant, représentée et défendue des avocats Franco Gaetano Scoca et Alessandra Busnelli, avec je domicilie élu prés de l'étude légale du premier en Rome, G. Paisiello, 55 ;
- contre
- Ministère des infrastructures et des transports, Présidence du Conseil des Ministres, Ministère de l'économie et des finances, Ministère du travail et de la santé, Ministère de je développe économique, Ministère de l'ambient et de la tutelle du territoire et de la mer, du Ministère pour les biens et des activités culturels, de l'Agence du Domaine de Gênes, de la Préfecture de Gênes, d'Anas S.P.A., de Bureau Territorial du Gouvernement de Gênes, en personne des respectifs représentants avocats, représentés et défendus de la Profession d'avocat générale de l'État, prés de les bureaux duquel domicilient pour loi en Rome, d'i Portugais, 12 ;
- Région Ligurie, en personne du président de la Commission et du légal représentant pro tempore, représentée et défendue des avocats Gabriele Pafundi et Michela Sommariva, avec je domicilie élu prés de l'étude légale du premier en Rome, boulevard Giulio Cesare n. 14 ;
- Province de Gênes, en personne du président et du légal représentant au profit de -au profit-tempore, représentée et défendue des avocats Gabriele Pafundi et Roberto Giovanetti, avec je domicilie élu prés de l'étude légale du premier en Rome, boulevard Giulio Cesare n. 14 ;
- Commune de Gênes, en personne du maire et du légal représentant pro tempore, représenté et défendu des avocats Gabriele Pafundi et Aurelio Domenico Masuelli, avec je domicilie élu prés de l'étude légale du premier en Rome, boulevard Giulio Cesare n. 14 ;
- vis-à-vis de
- Société pour Cornigliano S.P.A., en personne du légal représentant, représentée et défendue des avocats Gabriele Pafundi et Luigi Cocchi, avec je domicilie élu prés de l'étude légale du premier en Rome, boulevard Giulio Cesare n.14 ;
- Ilva S.P.A., en personne du légal représentant pro tempore, représentée et défendue de l'avocat Francesco Perli, avec je domicilie élu prés de l'étude Berenghi et des associés en Rome, IV Novembre n. 149 ;
- Aéroport de Gênes S.P.A., d'Agence nationale pour l'attraction des investissements et je développe d'entreprise S.P.A., de Confindustria - de Gênes, Cgil Régional, Cgil Provincial, Cisl Provincial, Uil Régional, Uil Provincial, fiom-Cgil Régional, fiom-Cgil Provincial, fim-Cisl Régional, fim-Cisl Provincial, uilm-Uil Régional, uilm-Uil Provinciale, failms-Cisal Provincial, non constitués dans ce degré de jugement ;
- pour la réforme
- de la sentence du T.A.R. LIGURIE : SECTION II n. 3551/2010, rendue parmi les parties, concernant NON-EXÉCUTION ACTE MODIFICATIVO J'ACCORDE de PROGRAMME SUR les ACIÉRIES de CORNIGLIANO ET de Dommages-intérêts
- Vu pourvu en appel et les relatifs annexes ;
- Vus les actes de constitution en jugement du Ministère infrastructures et des transports, de la Présidence du Conseil des Ministres, du Ministère de l'économie et des finances, du Ministère du Travail et du Ministère de la santé, du Ministère de je développe économique, du Ministère de l'ambient et de la tutelle du territoire et de la mer, du Ministère pour les biens et les activités culturels et de l'Agence du Domaine de Gênes, de la Préfecture de Gênes, de la Région Ligurie, de la Province de Gênes, de la Commune de Gênes, de la Société pour Cornigliano S.P.A., de l'Anas S.P.A., de l'Ilva S.P.A. et du Bureau Territorial du Gouvernement de Gênes ;
- Vues les mémoires défensives ;
- Visas tous les actes de la cause ;
- Rapporteur dans l'audience publique du jour 23 Mars 2012 le conseiller d'État Giulio Castriota Scanderbeg et les ouïes pour les parties les avocats Scoca, Pafundi, Perles et l'avocat de l'État Pisans ;
- Retenu et considéré en fait et droit ce qui suit.
- FAIT et DROIT
- 1. - Elle est empoignée la sentence 27 mai 2010 n. 3551 du Tribunal administratif régional pour la Ligurie qui a repoussé le recours de l'Autorité portuaire de Gênes (d'aujourd'hui appelante) pour la vérification du droit à obtenir du Ministère des infrastructures (à l'époque des faits sujet distingué du Ministère des transports et du Ministère de je développe économique) les corresponsione d'un financement de 70 millions d'euro, en accomplissement de l'art. 10 de l'accord de programme du 8 octobre 2005, intervenu à modification du précédent accord du 29 novembre 1999 ainsi que, en subordine, pour la declaratoria de la résolution pour non-exécution du susdit accord avec le repos, en tout cas, des dommages consequenziali.
- 2. - L'appelant Autorité réitère dans ce siège les raisons de recours déjà pas acceptées des juges de premier degré, en mettant en évidence l'erroneità de grevée de sentence, qui n'aurait pas suffisamment évalué l'imperatività de la clause conventionnelle relative à la distribution du financement d'état en faveur d'aujourd'hui déduisant, son caractère spécial par rapport aux nouvelles, et de toute façon inapplicable, les dispositions normatives survenues (art. 1 alinéas 982 et segg. de la loi 27 décembre 2006 n. 296), dans la partie dans laquelle ils prévoient la suppression des transferts du trésor public en faveur des autorités portuaires, à front plus d'accentuée de l'autonomie financière que ces dernières, et du transfert en chef au mêmes de la recette relative à la taxe d'ancrage et à celle afférente au chargement et déchargement des marchandises.
- L'appelant insiste par conséquent pour l'acceptation des conclusions déjà résignées en premier degré, avec la condamnation du Ministère des infrastructures à la distribution du ridetto financement, au-delà d'intérêts et de réevaluation monétaire ; en subordine, l'autorité appelante demande la vérification de la résolution de l'accord, pour non-exécution d'elle Ministère, avec chaque statuizione consequenziale même en ordre aux dommages subis pour effet de la déduite non-exécution et avec la faveur des frais et des compétences du double degré de jugement.
- Elles se sont constituées en jugement sommées des Autorités centrales pour résister au recours et pour en demander les reiezione. Même la société Ilva S.P.A. s'est constituée pour résister au recours.
- La Région Ligurie, la Province de Gênes, la Commune de Gênes et la S.P.A. Société pour Cornigliano ont par contre adhéré, dans se constituer en jugement, à la question principale d'accomplissement proposée de l'appelant, en s'opposant pour contre à l'acceptation de la question subordonnée de résolution de l'accord pour non-exécution du ministère des infrastructures.
- À l'audience du 23 Mars 2012 la cause a été retenue pour la décision.
- 3. - Le Collège retient que l'appel soit fondée et aille conséquemment accueilli, dans les sens dont appresso.
- 3.1- On doit d'abord reconstruire brièvement en fait l'événement qui a donné origine au jugement à l'étude. En synthèse, il met compte se rappeller que des parties de la d'aujourd'hui controverse, déjà dans donnée 29 novembre 1999, dans le domaine d'un plus vaste projet qu'il bonifie ambiant et de reconversion du pole sidérurgique de Cornigliano (conséquent à l'abolition du procès ouvrable de laminage à chaud) sont en venues (aux sens de l'art. 4 de la loi 9 décembre 1998 n. 426, se rendent des « Nouvelles interventions en champ ambiant ») à la stipulation d'un accord de programme, conclu à la disposition des aires déjà objet de concession en faveur de ILVA ; tel accord de programme a été modifié avec l'acte additionnel du 8 octobre 2005, actionné dans le présent jugement.
- Il est arrivé que successivement à l'accord de 1999 les aires appartenantes au domaine portuaire de Gênes (exclu les quais) ont été sdemanializzate, en vertu de ce que prévu de l'art. 53 de la loi 28 décembre 2011 n. 448, et récupérées au patrimoine disponible de la Région Ligurie en vue de leur attribution à une société privée, participée des collectivités locales et du Gouvernement (la société Cornigliano S.P.A.), pour la continuation des activités productives en formes compatibles avec le respect de l'ambient et pour la définition de l'organisation infrastructurale de l'aire.
- Avec l'accord de programme du 8 octobre 2005 il a été entre autre établi que la société pour Cornigliano S.P.A., affidataria des oeuvres de bonifie et assainissement ambiant des aires dismesse de ILVA, aurait dû pourvoir à la restitution à l'Autorité portuaire de Gênes d'une partie des aires bonifiées (pour une étendue environ mq de 144.100) au besoin en constituant un droit de superficie de durée de soixante ans. En outre sur des telles aires prédite Autorité portuaire de Gênes elle aurait été autorisée à réaliser, préalable comparaison avec les organisations syndicales, quelques oeuvres infrastructurales relatives aux fonctions logistique-portuaires, au besoin en puisant à un financement de 70 millions d'euro qui, dans le même accord de programme (art. 10), le Ministère des infrastructures engageait à s'affecter en faveur de la même Autorité.
- 4. - La controverse à l'étude est insurgée vraiment en relation à telle dernière clause dans l'instant où le Ministère a retenu de ne pas pouvoir plus s'acquitter de à l'obligation négocie avec cité accord de programme à cause de la réglementation survenue, qui aurait interdit chaque forme de transfert du trésor public en faveur des autorités portuaires. La question juridique de dirimere conforme alors à vérifie de la persistante vigenza ou moins de l'efficacité que telle clause de l'accord (art. 10) contenue dans rappelé acte du 8 octobre 2005, afférent l'engagement du Ministère des infrastructures (aujourd'hui Ministère des infrastructures et des transports) à la distribution de prédit financement, eu en ce qui concerne les effets de riconnettere à des survenues des dispositions normatives rendues de l'art. 1, alinéas de 982 à 990, de la loi 27 décembre 2006 n. 296.
- 4.1. - Les thèses défensives des parties à comparaison apparaissent extrêmement claires.
- Dans les prospettazione défensive de l'Autorité appelante, la clause de l'accord inhérent la distribution du financement du trésor public de 70 millions d'euro, puisqu'insérée dans un accord de programme parmi des administrations, serait de considérer coercitif et aurait force de loi parmi les parties en devant trouver application aux fattispecie règles du code civil en matière d'obligations et contrats (en vertu de l'appel partiel, contenu dans l'art. 15 de la loi n. 241 du 7 août 1990, de l'art. 11 de la même loi et des principes du code civil quivi à son tour rappelés).
- À en rayer l'efficacité il ne pourrait pas en particulier actionner rappelée discipline normative introduite avec la financière pour 2007, dans la partie dans laquelle la même a disposé la suppression des transferts du trésor public, et cela en raison : à) du caractère spécial des pattuizione contenue dans rappelé art. 10 de l'accord de programme et de sa rédaction sur de base d'un cadre normatif à caractère même lui spécial (loi n. 426 du 9 décembre 1998, art. 4 alinéas 8, 9 et 10 ; loi n.488 de 2001) ; b) de la considération selon laquelle cette clause ferait partie d'un plus vaste accord dans lequel les prestations des parties ne seraient pas des scorporabili, en résultant enroulées d'une unique justification causale même sur la base des principes des ritraibili des règles de droit civil en matière d'obligations et du contrat, puisqu'applicables ; c) du principe général d'irretroattività de la législation (au moins jusqu'à la limite du respect du principe de bon sens), de pour lui incompatible avec la possibilité qu'il dicte nouvelle réglementation pèse sur fattispecie des relatifs à un acte juridique en cours d'exécution, peine la violation de la légitime confiance et des principes de certitude du droit pour comme conformés même suite à l'adhésion de notre Pays à la Convention CEDU, principes d'autre part reflués en domaine communautaire sur la base de l'art. 6 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne ; d) de la nature autrement constitutionnellement illégitime de la réglementation survenue, là où interprétée dans le sens qui elle puisse peser, en altérant l'équilibre économique-fonctionnel, sur des positions juridiques ayant leur source en conventions pregresse.
- 4.2- Les Administrations centrales assument au contraire qui dans aucune mode le Ministère des infrastructures auraient pu exécuter une prestation impliquant un transfert du trésor public en faveur d'une autorité portuaire autrefois entré en vigueur le nouveau régime normatif qui telle éventualité a péremptoirement exclu et que par conséquent correctement les juges de premier degré, exclue à un temps la fondatezza de l'action d'accomplissement ainsi que la répétition d'une hypothèse de non-exécution, ont parvenu à la décision reiettiva de la charge. En somme, en vue du perseguimento du principe d'autonomie financière des autorités portuaires, telle nouvelle discipline normative aurait sensiblement stérilisé le mécanisme généralisé des transferts du trésor public, à front de la constitution d'un creux perequativo et du transfert en faveur des mêmes autorités de la recette relative à deux taxes du trésor public (taxe d'ancrage et de taxe sur les marchandises embarquées et débarquées).
- 4.3 divergée de déclinaison de procès il résulte, enfin, la position de la Région Ligurie, des autres Autorités territoriales ainsi que de la société pour Cornigliano S.P.A., qui ont adhéré à la question principale d'accomplissement de l'appelant, en ayant intérêt à la distribution du financement fonctionnel à la réalisation sur le territoire ligurien des oeuvres infrastructurales suindicate, mais on est opposé à l'acceptation de la question subordonnée de résolution de l'accord.
- 5. Il observe le Collège qui l'action d'accomplissement promue de l'Autorité portuaire de Gênes est méritant d'acceptation. La clause de l'accord de programme poste à base de la prétention actionnée résulte, en effet, dans la partie objet du présent jugement, pleinement valide et engageant pour les parties.
- 5.1 aux accords parmi des administrations publiques (dits même des accords de type horizontal, en raison de la position d'equiordinazione dans lesquelles ils versent les parties) ils s'appliquent, puisque compatibles, les dispositions prévues de l'art. 11, les alinéas 2 et 3, de la loi n. 241 du 7 août 1990, et c'est-à-dire d'une partie de la discipline normative sa des accords de type vertical qui l'Administration peut conclure avec des sujets privés en fonction complémentaire ou bien substitutive d'une mesure (en tel sens se voie l'art. 15, alinéa 2, de la loi n. 241 de 1990). Parmi les dispositions expressément rappelées rentre (art. 11, alinéa 2, en second lieu alinea) par conséquent qui à son tour rappelle les principes du code civil en matière d'obligations et les contrats, puisque compatibles. Même aux accords parmi des administrations on applique donc les principes de droit civil sur les obligations et les contrats, soit aussi avec la clause de la compatibilité du relatif régime juridique.
- 5.2 Parmi les principes fondamentaux de l'autonomie privée il vous est cela selon lequel le contrat a force de loi parmi les parties et il ne peut pas se dénouer si pas pour mutuel consentement ou pour les causes admises de la loi (art. 1372 cod. civ.). Tel principe n'est pas expressément derogato de quelque prévision contrarie rinvenibile dans la discipline des accords parmi des administrations, né apparaît incompatible avec la nature sa de tel type de magasins de droit publie, posé que la giuridicità de l'accord, id est sa vincolatività, implique que le consentement librement et réciproquement manifesté des parties représente apte titre constitutif des réciproques obligations contractées, par rapport auxquelles ciascuna part pas défaillant a droit à prétendre l'exécution, il sauve la possibilité d'un nouvel accord parmi toutes les parties ayant à objet la résolution de l'originaire accord.
- 5.3 Au cas à l'étude il faut par conséquent bouger de la donnée juridique de la vincolatività de l'accord de programme du 8 octobre 2005 (modificativo de l'accord de programme du 29 novembre 1999) intervenu parmi toutes les parties, publiques et privées, qui résultent des signataires du document qui cet accord a scellé.
- Il s'agit d'accord plurilaterale, concernant le complexe craint de bonifie territorial et de la reconversion du pole sidérurgique de Cornigliano dans lequel, comme correctement observé de la défense de l'Autorité portuaire appelante, les obligations contractées des parties, en vue de la disposition ambiante et urbaniste de l'aire, sont inséparablement connexes sur le plan causal, d'apparence qui ne pourrait pas se retenir que manquer d'une d'il elles puisse rester sans conséquences sur l'équilibre de l'entier accord, sauf retenir la prestation manquée pas essentielle aux sens et pour les effets de l'art. 1466 cod.civ., en étant à ce point nécessaire une intégral rivisitazione des obligations autrement assumées.
- Mais à des telles conclusions au cas à l'étude il ne vous est pas espace pour en venir, étant déjà indiquée possibilité juridique que l'entier accord puisse trouver réalisation second l'initial programme relatif à un acte juridique des parties, scandé dans l'originaire accord de 1999 et dans l'accord modificativo de 2005.
- 5.4 - Il doit d'abord s'exclure qu'au fattispecie à l'étude, dans lequel le Ministère des infrastructures refuse sensiblement de s'acquitter de l'obligation d'affecter le financement en faveur de l'Autorité portuaire de Gênes en raison de l'impossibilité d'allouer les relatives sommes à budget, il puisse être préposé l'institut du recoin pour survenus des raisons d'intérêt publie (de la reconstruction à laquelle en partie il accède, avec des sujets pas partageables, le juge de premier degré). Il n'est pas un cas, d'autre part, que la discipline en matière d'accords horizontaux ne rappelle pas la disposition de l'art. 11, quatrième alinéa, de la même loi générale sur la procédure, attributive à l'administration d'un pouvoir général de recoin unilatéral (sauf l'obligation de l'indemnité) que, là où non constitué avec appropriée des pattuizione, il résulte traditionnellement étranger au régime des rapports paritaires (quels proprement ceux de droit privé et ceux de droit je publie passés parmi des sujets en position tendancielle d'equiordinazione).
- Pas par doute, d'autre part, que dans la controverse à l'étude (et en particulier dans la résolution de la question interprétative insurgée autour de la portée de l'art. 10 de l'accord modificativo du 8 octobre 2005), où ils viennent en relief exclusivement compare juridiques parmi des distincts sujets publics, pour comme naissants d'un accord de programme, doivent trouver application les dispositions relatives aux accords horizontaux, dont à l'art. 15 de la loi 7 août 1990 n. 241 et pas celles relatives aux accords substitutifs ou complémentaires de mesure (soi-disants accords verticaux).
- 5.5- Dans telle perspectif il résulte donc partageable le relief de l'Autorité appelant selon laquelle l'institut du recoin unilatéral, expressément contemplé dans l'archétype des accords de type vertical (art. 11, de l'alinéa quatrième, de la loi 241 de 1990), ne résulte pas par contre applicable, soit pour des raisons d'interprétation littérale (à cause déjà de remarqué manqué appel, dans le texte de l'art. 15, du quatrième alinéa de l'art. 11), soit parce que, sur le plan de l'interprétation logique-systématique, de l'application du recoin aux accords de type horizontal (quel celui sous-tendu à la rédaction de la clause inter partes) équivaudrait à configurer, d'autre part ex ante, une inadmissible prédominance de l'intérêt publie de s'éloigne par rapport aux intérêts publics dont ils sont titulaires les autres sujets qui au même accord ont participé. Toutefois, de telle manière, la significative élision de connoté de la vincolatività juridique de l'accord parmi des administrations viderait une grande partie de la même fonction et de l'utilité pratique de l'institut.
- Pour combien de dicton, il n'est pas sur la base du mécanisme du recoin unilatéral qui pourrait être scriminato manqué de l'accomplissement, de la part du Ministère des infrastructures, à la prestation de corresponsione du financement négocié en faveur de l'Autorité portuaire de Gênes ; il s'agirait, plutôt, en second lieu les mêmes prospettazione de la défense du trésor public, d'une typique hypothèse d'impossibilité survenue de la prestation pour factum principis (coïncidant avec intervenue modification législative introduite de la loi 27 décembre 2006 n. 296) qu'elle aurait rendu ineseguibile l'originaire obligation déduite dans l'accord.
- Et en effet, suite à la première demande de l'Autorité portuaire, remontante à 2007, d'accomplissement de la clause conventionnelle afférente la distribution du financement (rectius, de l'envoi de l'épreuve d'accord procedimentale pour la définition des aspects procéduriers pour la distribution du financement), en de la vue de la réalisation des oeuvres infrastructurales pour la logistique portuaire prévues dans le même accord et insérées dans le programme triennal des travaux 2007/2009 – il s'agit, en particulier, de la prolongation du métro aérien portuaire, de la modernisation du même métro aérien dans la partie existante, du parking et de l'attrezzaggio du Distripark -, le Ministère des infrastructures se serait trouvé dans l'impossibilité de donner cours à la demande, en raison de l'entrée en vigueur de la loi 27 décembre 2006 n. 296.
- Il observe toutefois le Collège que l'appel à telle dernière intervention législative et aux principes de droit civil en matière de résolution du contrat pour impossibilité survenue de la prestation ne pourraient permettre au Ministère appelé de s'esquiver l'accomplissement de l'obligation négocie à moyen de rappelé art. 10 de l'accord.
- En particulier, à exclure que l'institut de la résolution du contrat pour impossibilité de la prestation (art. 1463 cod.civ.) il puisse trouver application, même seulement dans analogique, dans le fattispecie à l'étude, ils valent les suivantes considérations.
- Citées des dispositions de la loi financière pour 2007 ne résultent pas en réalité ostative, à sembler du Collège, à l'accomplissement de l'obligation de distribution du financement négocie du Ministère des infrastructures.
- il ne vous est pas d'abord identité oggettuale parmi les oeuvres spécifiquement objet du financement prévu de la clause (art. 10) de l'acte modificativo de l'accord de programme de 1999 et celles-là le financement desquelles à moyen de transferts du trésor public résulte interdit des nouvelles dispositions normatives entrées en vigueur le premier janvier 2007.
- Ces dernières se réfèrent en particulier aux transferts du trésor public génériquement destinés à la réalisation d'infrastructures portuaires (art. 1, alinéa 990, loi cit.) ou bien à l'entretien ordinaire et extraordinaire des ports (art. 1, alinéas 982 et 983) ou ancre à l'accomplissement des services de vigilance et pour la fourniture de services de sécurité prévus dans les plans de sécurité portuaires (art. 1, alinéa 984) ; d'autre part, cité alinéa 990 de l'art. 1 elle remet à approprié décret interministériel la détermination des parts de rends du trésor public, divergées des taxes et des droits portuaires, à transférer aux autorités portuaires au fin d'en réaliser leur pleine autonomie financière, en prévoyant que seulement dans je hésite à tel transfert de recette ils puissent cesser les transferts de l'État destinés à la réalisation d'oeuvres et les services prévus dans les respectifs plans des régulateurs portuaires et des plans opérationnels triennaux.
- Pour convergé, les interventions auxquelles se réfèrent contesté financement ministériel sont des oeuvres, à se réaliser d'autre part sur des aires préalablement sdemanializzate et bonifiées à oeuvre de la société de Cornigliano S.P.A., révoltes spécifiquement à la réalisation des buts dont à l'art. 53 de la loi 28 décembre 2001 n. 448, et c'est-à-dire à résoudre les problématiques connexes à la reconversion du pole sidérurgique de Cornigliano.
- Il s'agit, en particulier, comme anticipé en fait, de la réalisation d'un distripark, et c'est-à-dire d'une aire équipée avec des liaisons infrastructurales routières et ferroviaires dans lesquelles elles sont réalisées des structures dédiées au stoccaggio des marchandises, à l'activité de commercialisation des mêmes et à la gestion des relatives activités, ainsi que de la réalisation d'un parking et de l'adaptation du métro aérien portuaire ; par doute que déjà tel distinguée afferenza oggettuale des oeuvres à se réaliser en domaine portuaire il est symptomatique d'un rapport de spécialité parmi les deux disciplines normatives, en raison dont n'est pas d'exclure de que l'intervention législative à caractère général introduit avec la loi financière pour 2007, concernant changé organisation des transferts du trésor public en faveur des Autorités portuaires, ait pu priver d'efficacité juridique, avec effet retroactif, les pregressi tu accordes parmi des administrations (parmi lesquels justement cela objet de jugement) ayant des sources normatives et des domaines matériels eteronomi.
- Au-delà de que sur le plan contenutistico, le principe de spécialité parmi les distincts corps normatifs disvela en outre même sur le plan formel, attendu que l'accord de programme de 1999 et son acte modificativo de 2005 constituent – comme dicton – exprimée réalisation des dispositions contenues dans les lois spéciales n. 426 de 1998 et n. 448 de 2001, adoptées en vue de la résolution de la particulière question concernante la reconversion et l'assainissement des aires occupées des aciéries de Cornigliano. L'Autorité portuaire de Gênes, sur la base de telles interventions législatives, devait être un des sujets attuatori de l'ambitieux programme de reconversion de ces aires en vue de leur développe productif suivant et de la sauvegarde des niveaux occupationnels.
- 6. - À la lumière des reliefs qui précèdent, en définitive, le Collège retient qu'on ne reconnaît pas de raisons ostative pour nier crue efficacité et opérativité à l'accord inter partes. À l'intention, il vaut même observer qu'à des différentes conclusions ils ne mènent pas les contenus de la relation résignée du Ministère des infrastructures et transportes suite à l'ordonnance instruction de cette Section 24 novembre 2011 n. 6203. Dans elle, en effet, outre l'excursus de la discipline normative de secteur et au caractère asseritamente ostativo de rappelées des dispositions introduites de la loi financière pour 2007 (en ordre à l'quel, il se renvoie à combien à de dianzi observé), rien on ajoute qu'il puisse faire autrement évaluer sur le plan juridique les éléments des instructeurs déjà acquis au jugement. Au contraire, les ponctuelles précisions, dictées d'un ésprit de correcte collaboration institutionnelle, en ordre à manqué de l'achèvement du procès d'autonomie financière des autorités portuaires (malgré l'adoption du décret interministériel 12 octobre 2007 n. 151/T, d'actuation de cité art.1, alinéa 990) en raison de manquée activation, à aujourd'hui, des fonds de dotation des autorités portuaires, est argue ultérieur (ancorché eccedentario) à l'appui la reconstruction juridique de la problématique exposée de l'Autorité appelante et ici faite sa du Collège ; de telle relation il reste en effet ultérieurement confirmé la donnée selon laquelle un particulière engagement de financement jaillissant d'approprié accord, engageant sur le plan juridique, stipulé sur la de base de prévisions législatives à caractère spécial, ne pourrait pas manquer à cause d'une discipline générale suivante qui a redessiné, évidemment au profit-futur, le mécanisme des transferts du trésor public en faveur des autorités portuaires et que, comme reconnu dans citée relation ministérielle, il résulte encore aujourd'hui en partie inattuato. Il n'apparaît pas inopportun, à l'intention, se rappeller de que le financement de 70 millions d'euro en faveur de l'Autorité portuaire de Gênes avait été congegnato des parties (cfr. la claire référence à tel but contenu dans le second alinéa de rappelé art. 10) même en fonction compensatoire en corrélation à la remaniement oggettuale de la concession et manquer, suite aux sdemanializzazione disposée aux sens de l'art. 53 de la loi 28 décembre 2001 n. 448, de la disponibilité de vastes aires portuaires déjà en chef à la d'aujourd'hui autorité appelante.
- 7. - Pour combien de dicton, l'appel doit être accueilli et, en réforme d'empoignée sentence, il doit être ordonné au Ministère des infrastructures et des transports de correspondre à l'Autorité portuaire de Gênes négocié financement de 70 millions d'euro, avec la majoration des intérêts avocats de donnée de la question judiciaire et jusqu'à je satisfais. Aucune somme est par contre dû, attendue la nature monétaire (et pas de valeur) de la prétention creditoria actionnée, à titre de réevaluation monétaire, en défaut d'épreuve en ordre dont au majeur donnent à l'art. 1224 du cod. civ.
- Remarquée fondatezza de la question d'accomplissement, qui constitue forme de réparation pleine et préférentielle de la position juridique actionnée d'aujourd'hui appelant, implique le dépassement de la question subordonnée de résolution de l'accord et de l'examen de corrélées des questions soulevées, même dans d'exception, des parties sommées. D'autre part, considéré que les corresponsione du financement intacte une forme de réintégration en forme spécifie de la position juridique de l'autorité appelante, il est de s'exclure de qu'à la même il puisse se reconnaître, comme aussi demandé, le droit à l'indemnisation de dommages ultérieurs, en carence d'épreuve en ordre à des tels profils de donnent qu'ils ne résultent pas adéquatement compensés à moyen de la distribution du financement.
- 8.Le dépensées de dispute du double degré de jugement suivent la règle de la soccombenza et sont liquidées en faveur de l'autorité appelante et à du chargement du Ministère, pendant qu'ils peuvent être compensé en comparaison des restant parties, en considération de la distincte position de procès et des prétentions faites valoir.
- P.Q.M.
- Le Conseil d'État en siège juridictionnel (Section Sixième), définitivement en prononçant sur l'appel (RG 6034/2010) comme en épigraphe proposé, accueille l'appel et, pour l'effet, il accueille le recours de premier degré et, en réforme d'empoignée sentence, la condamnation le Ministère au paiement en faveur de l'Autorité portuaire de Gênes des sommes dont à l'art. 10 de l'accord dans donnée 8 octobre 2005, avec la majoration des intérêts avocats
- Condamnation le Ministère appelé au paiement des frais et des compétences du double degré de jugement en faveur de l'Autorité appelante et liquide dites des frais en globaux euro 12.000, 00 (dodicimila/00), au-delà vat et de cpa comme pour loi. Il déclare compensées les frais de dispute du double degré vis-à-vis des autres parties.
- Il commande que la présent sentence soit exécutée de l'autorité administrative.
- Ainsi décidé en Rome dans la chambre de conseil du jour 23 Mars 2012 avec l'intervention des magistrats :
- Carmine Volpe, Président
- Roberto Giovagnoli, Conseiller
- Gabriella De Michele, Conseiller
- Giulio Castriota Scanderbeg, Conseiller, Extenseur
- Roberta Vigotti, Conseiller
- DÉPOSÉE EN SECRÉTARIAT
- Le 29/05/2012
- LE SECRÉTAIRE
- (Art. 89, Co. 3, cod. proc. amm.)
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