Le Tribunal de l'EU a annulé la décision de la Commission Européenne qui a approuvé les mesures de soutien de la France en faveur de SNCM
Selon les juges, la Commission a encouru en erreurs manifestes d'évaluation
12 September 2012
Le Tribunal de l'Union Européenne a annulé la décision assumée en 2008 de la Commission Européenne qui avait approuvé toutes les mesures de soutien adoptez de la France en faveur de la compagnie de navigation Société Nationale Corse-Méditerranée (SNCM) (du 9 Juillet 2008). Selon les juges de l'EU, en effet, la Commission a encouru en erreurs manifestes d'évaluation en constatant, d'un coté, que certaines mesures du plan de restructuration de 2002 constituaient des aides de l'État compatibles avec le marché commun et, de l'autre, que les mesures du plan de privatisation de 2006 ne constituaient pas d'aides de l'État.
À l'instant de l'approbation des aides de la part de la Commission la compagnie SNCM était participée pour le 60% du capital de sociétés privées (Capital Partners et Veolia) et pour le 25% des Compagnies Générale Maritime et Financière (CGMF), société entièrement contrôlée de l'État français (actuellement SNCM est participée avec le 66% de la Veolia Transdev du groupe français Veolia, avec le 25% de l'État français et avec le 9% des employés de la compagnie). Avec décision des 8 Juillet 2008 la Commission Européenne avait retenu que l'attribution de capital effectué de CGMF en faveur de SNCM en 2002, pour j'importe de 76 millions d'euro (53.48 millions à titre d'obligations de service public et le solide de 22.52 millions à titre d'aides à la restructuration) - attribution qui avait déjà été objet d'une décision de la Commission en 2003 annulée avec la sentence du Tribunal EU du 15 juin 2005 - était compatible avec le marché commun. Parimenti, la Commission avait retenu que les mesures du plan de privatisation de 2006 pas costituissero aides de l'État. Des telles mesures comprenaient une recapitalisation de SNCM pour importe de 158 millions d'euro, une ultérieure attribution de capital de la part de CGMF pour importe de 8.75 millions d'euro et, enfin, une avance en compte courant, pour importe de 38.5 millions d'euro, face à financier la réalisation d'un éventuelle doucement social de la part des acheteurs. La compagnie Corsica Ferries France SAS, principal concurrent de SNCM dans les liaisons maritimes régulières de la France continentale, en particulier vers la Corse, avait proposé recouru devant au Tribunal EU pour obtenir l'annulation de telle décision.
Le pronunciamento du Tribunal de l'Union Européenne met en évidence que la Commission Européenne a encouru dans une erreur manifeste d'évaluation en approuvant la recapitalisation de SNCM comme la mesure pas constitutive d'une aide de l'État. Selon le Tribunal, pour établir si la privatisation de SNCM pour un prix négatif de vente de 158 millions d'euro comprenait des éléments d'aide de l'État, la Commission était tenue à évaluer si, en circonstances semblables, un investisseur privé aurait pu être poussé à effectuer des attributions de capital de telle consistance dans le domaine de la vente de l'entreprise ou bien aurait opté pour la liquidation de la même.
Dans une note le Tribunal de l'EU a expliqué que, en second lieu la Commission, le coût hypothétique de la liquidation de SNCM, auquel devait être comparé le coût de la recapitalisation, se limitait au coût des indemnités complémentaires de licenciement, à au-delà des charges de par sa nature étroitement légal et contractuel, qui auraient été nécessairement versées aux employés. Corsica Ferries avait contesté le fait qui un investisseur privé avisé aurait versé des tels indemnités.
Selon le Tribunal, dans une économie sociale de marché, un investisseur privé avisé ne peut pas compter, d'un coté, de sa responsabilité vis-à-vis de toutes les parties intéressées aux événements de l'entreprise et, de l'autre, de l'évolution de je conteste social, économique et ambiant dans laquelle il poursuit son développe. Le versement d'indemnité complémentaires de licenciement - il a remarqué le Tribunal de l'EU - peut donc, constituer, dans de principe, une pratique légitime et opportune, second les circonstances du cas d'espèce, dans le but de favoriser je dialogue social calmé et de préserver l'image de la marque d'une société. Toutefois, en absence de n'importe quel rationalité économique, ancorché à long terme - il a précisé le Tribunal - prise en considération des coûts qui vont à au-delà des charges de par sa nature étroitement légal et contractuel il doit être considéré comme aide de l'État.
Le Tribunal de l'Union Européenne par conséquent a constaté que la Commission Européenne a omis de définir les activités économiques de l'État français par rapport auxquelles il faut évaluer la rationalité économique des mesures de soutien garantissez à la compagnie. En outre - pour les juges - la Commission n'a pas produit d'éléments objectifs et vérifiables suffisants à montrer que le versement d'indemnité complémentaires de licenciement constituerait une pratique suffisamment consolidée parmi les entrepreneurs privés ou bien que le comportement de l'État français dans le fattispecie aurait été motivé d'une raisonnable probabilité trarne d'un avantage matériel indirect, ancorché à long terme (en évitant, par exemple, une déterioration du climat social dans le domaine des entreprises publiques).
En deuxième lieu, quant à l'attribution de capital de CGMF pour j'importe de 8.75 millions d'euro effectué en concomitanza avec l'attribution des acheteurs privés, le Tribunal a considéré que la Commission n'ait pas tenu compte de tous les éléments pertinents dans son évaluation de la comparabilità des conditions d'investissement.
En troisième lieu, le Tribunal de l'EU a constaté que la Commission a encouru dans une erreur manifeste d'évaluation en approuvant les aides la personne pour importe de 38.5 millions d'euro puisque mesure non constitué une aide de l'État. En effet, la pure circonstance qui une mesure poursuive un fin social - a expliqué le Tribunal - il n'est pas suffisant à l'esquiver sans autre la qualification comme aide de l'État. Puisqu'aptes à créer un avantage économique pour SNCM - ils ont souligné les juges de l'EU - des telles aides constituaient une aide de l'État.
Enfin le Tribunal a remarqué que l'analyse de la Commission Européenne relative au solide de restructuration de 22.52 millions d'euro n'est pas validement suffragata là où je me fonde sur la circonstance que les mesures prévues dans le plan de 2006 sont dépourvues d'éléments d'aides de l'État.
SNCM a manifesté l'intention d'empoigner la décision du Tribunal de l'EU devant à la Cour de Justice de l'EU, action qui peut être entreprise avant deux mois à partir de donnée de sa notification. Corsica Ferries a par contre accueilli avec satisfaction le pronunciamento du Tribunal en mettant en évidence comme souvent l'intervention de l'État comportes une distorsion du marché à détriment d'une saine concurrence parmi les compagnies de navigation.
- Via Raffaele Paolucci 17r/19r - 16129 Gênes - ITALIE
tél.: +39.010.2462122, fax: +39.010.2516768, e-mail
Numéro de TVA: 03532950106
Presse engistrement: 33/96 Tribunal de Gênes
Direction: Bruno Bellio Tous droits de reproduction, même partielle, sont réservés pour tous les pays