À Venise le président de l'Autorité Portuaire et le maire établissent sur une chose : que le port doive être transféré à de hors de la lagune vénitienne. Toutefois ils diffèrent sur quelles activités portuaires transférer : le premier citadin voudrait porter tous les abordages pour les grands bateaux en mer ouverte, ou au moins à la majeure distance possible du délicat écosystème vénitien, pendant que Paolo Costa retient indispensable permettre aux bateaux de croisière de rejoindre la ville au fin de ne pas perdre un trafic touristique précieux soit economiquement que comme moyen de promotion de Venise.
- Aujourd'hui, à l'occasion de l'inauguration de l'an portuaire 2013, le président de l'Autorité Portuaire de Venise a réaffirmé la necessité de réaliser le projet du port de hauteur, qui l'organisme a présenté dans le 2010 avec l'objectif de construire une plate-forme portuaire en eaux profonds à situer à huit milles nautiques de la bouche de port de Malamocco et à laquelle faire y aboutir les trafics pétrolifères et le conteneur (
du 23 septembre 2010). « L'accessibilité nautique lagunaire - il s'est rappellé de Paolo Costa - a des limites pas dépassables qu'ils vicient chaque possible hypothèse de développe de sa portualità en ligne avec les tendances du shipping mondial. En vertu de ses fonds à -12 mètres, en effet - il a expliqué - le port de Venise on peut équiper aujourd'hui pour recevoir des bateaux en mesure de transporter jusqu'à un maximum de 7.000 teu ». Côte a mis en évidence comme capacité réreptive pour portacontainer de cette capacité de chargement serait étée suffisant dans 1997, « pas plus aujourd'hui - il a souligné - et tant moins demain lorsque les mers des conteneurs seront sillonnées de bateaux jusqu'à 18.000 teu, déjà en exercise, auxquelles on appuiera vite des bateaux de 22.000 teu, en construction.- Une perspectif qui ne met pas dehors marché seule Venise, mais presque toute la portualità italienne, si évaluée sur les trois paramètres : de l'accessibilité nautique, des espaces opérationnels en port et des infrastructures de liaison avec les marchés derrière portuaires à servir ».
- « Paradoxalement - il a poursuivi le président de l'Autorité Portuaire - la « necessité » de dépasser le lien d'accessibilité nautique des canaux lagunaires internes se transforme dans la « vertu » de garantir avec une plate-forme portuaire de hauteur, l'offshore, l'accessibilité nautique nécessaire, qu'on ajoute à et valorise les abondants espaces à terre de Marghera, mais pas seulement, et la riche dotation d'infrastructures routières, ferroviaires et de navigation interne qui l'aire vénitienne déjà offre. L'idée de conjuguer je développe portuaire Vénitien sur une couplée offshore -offshore-onshore, qui hier pouvait apparaître comme un projet utopique - il a remarqué Côte - se présente aujourd'hui comme une des routes qui l'Italie peut et doit suivre pour se douer de « machines portuaires » fortement innovatrices qui seules peuvent permettre à notre Pays de rivaliser avec le reste de la portualità européenne ».
- Côte a réaffirmé même la conviction que le nouveau port de hauteur pourra travailler en symbiose avec les autres abordages portuaires du nord Adriatique et que tous les ports pourront tirer proportione des nouvelles opportunités offertes de la plate-forme portuaire offshore. Selon Côte, en effet, il est « un projet qui s'exalte dans le cadre d'adaptations complémentaires en cours dans les autres ports NAPA (Trieste, Koper et Rijeka) au-delà de qu'à Ravenne », déclaration avec laquelle le président de l'Autorité Portuaire a relancé une exhortation à Ravenne pour qu'il reconsidère ses perplexités environ le port de hauteur, perplexités qui avaient poussé l'escale ravennate à sortir de l'association NAPA née pour réunir les ports de l'Adriatique septentrional.
- « Venise - il a remarqué Paolo Costa - n'a pas d'alternatives à un projet proposé pour donner concretezza à quel prévu de la loi spéciale et originairement décliné au principe de la seule sauvegarde ambiante, là où on imaginait d'éloignér les trafics pétrolifères et de desserrer la pression de bateaux toujours plus grands sur le canal malamocco-Marghera, mais devenu le pivot d'une politique réaliste de je développe portuaire commercial de Venise et du haut Adriatique. Un projet que, comme connu, on fonde sur la fusion de deux procédures administratives (celui confié au Magistrat aux Eaux de Venise pour offshore nécessaire pour les estromissione du trafic pétrolifère de la lagune et celui d'Autorité Portuaire de Venise pour la création d'une masse conteneur et d'un port je réfugie en hauteur) qu'il a rendu les deux crédibles même pour les évidentes économies d'échelle ».
- Si la vision du maire de Venise collimate avec cette de Côte en ce qui concerne des pétroliers et portacontainer, il diverge absolument pour les bateaux de croisière. Déjà dans les éloges tournés de Giorgio Orsoni au président de l'Autorité Portuaire pour les résultats rejoints du port intuisce comme le maire tu te sembles inculper Paolo Costa de ne pas comprendre les exigences et les urgences de la ville, mais seulement celles purement sectorielles et commerciales du port : « je ne peux pas ne pas prendre acte avec satisfaction - elle s'est félicitée le maire Orsoni - de comme le port de Venise soit actuellement bien géré dans sa composante technique ».
- Le maire cependant est entré vite dans le vivant des polémiques liées à l'arrivée des bateaux de croisière qui se sont amorcés après le naufrage de Costa Concordia à Isola del Giglio et de la suivante mesure normative (décret clini-Moineau) avec lequel le gouvernement en charge l'an passé a empêché aux grands bateaux de s'approcher aux aires protégées nationales et à des sites sensibles du point de vue ambiante, parmi lequel la lagune de Venise. « Tous nous savons - il a affirmé Orsoni - qu'il existe un problème de développe stratégique du port de Venise, explosé dans ces mois avec il craint des soi-disants « grands bateaux » et de leur passage en Bassin San Marco ». Selon le maire, « elle est la pointe de l'iceberg d'un problème plus profond et complexe que nous ne pouvons pas éluder ».
- « Il est stupidement simpliste et réducteur - il a observé Giorgio Orsoni - rapporter la question de l'accès des « grands bateaux » à une dispute entre maire et président du port, ou, mieux, à mien présumé mauvais caractère. Avec le président nous avons partagé et partageons l'idée de développe même social de cette ville et les deux traguardiamo le bien commun. La réalité est qu'à front de la défence de passage sanctionné d'un décret interministériel, nous sommes de plus qu'un an en attente de sa réalisation, et maintenant on expose des solutions retenues en tant que beaucoup d'incompatibles avec le maintien de l'équilibre lagunaire, dans un agité élan à un remède, comme si les bateaux au-delà des 300 mètres s'étaient présentés tout à coup aujourd'hui à la bouche de port. Et on affronte le problème comme s'il était inéluctable que le gigantismo naval doive asservir toute la lagune et la ville même.
- « Che ceci soit baissé du Comité Portuaire - il a poursuivi Orsoni - il est entièrement compréhensible vu qu'elle est assemblée de porteurs d'intérêts particuliers dans laquelle la Commune a eu déjà mode d'exprimer ses contrariétés. Ce qui n'est pas compréhensible - a accusé le maire - il est qu'un organisme instrumental de l'État, auquel ils participent les collectivités locales, qui ont la tâche d'aménager développe du port, on fait initiatrice d'initiatives en conflit avec les choix de la planification générale, et n'ait pas su anticiper les temps, en prévoyant les problèmes qui le gigantismo des bateaux de croisière auraient posé à la lagune. Si on est arrivé à une mesure emergenziale comme cela clini-Moineau, il signifie évidemment qu'il ne s'est pas regardé assez lointain. Il ne peut maintenant pas se poser comme unique remède creuse d'un canal, qui rendrait opérationnel la défence, s'il va bien, parmi deux ans, lorsque peut-être les bateaux de croisière seront peut-être arrivés à quatre cents mètres de longueur et au-delà de, et sans considérer l'effet sur les accès à la lagune qui déterminera l'entrée comme Mose. Un remède pire mal assumé dans la logique de se faire guider des événements et pas dans cette les dominer avec une programmation consciente ».
- Pour le maire il est nécessaire, au contraire juste, que le port fait un pas en arrière : « l'administration - il a souligné - ne peut pas et il ne veut pas accepter choisies qui préfigurent développe infini et pas governabile de l'accessibilité du port de la part de n'importe quel bateau et prétend - ceci oui, je le souligne avec force - qui le port s'adapte à ses adresses de politique territoriale, en prévoyant des plans industriels compatibles avec le lieu, avec la lagune, avec la ville. Nous n'oublions pas en effet que la lagune est une partie intégrante de la ville. N'importe quel acte qui intéresse la lagune est acte qui intéresse même la ville. Plans industriels entretemps aptes à garantir - et je veux le souligner avec force - occupation et je développe économique, en renversant une logique jusqu'à maintenant suivie d'acceptation sur le dos de n'importe quel demande d'utilisation du port. Dans l'émergence il ait l'humilité de s'affronter, même dans transitoire, et peut-être partiellement, choisies qui se sont montrées des opérationnelles dans ces jours depuis vite, peut-être pas en ligne avec un certain modèle d'organisation qu'évidemment il s'est révélé faux, si nous sommes arrivés à un décret emergenziale ».
- Orsoni a conclu en se déclarant « parfaitement d'accord avec qui il soutient que sur ce j'argue « on ne doit pas plaisanter avec le feu ». L'invitation - il a précisé - va évidemment tourné à tous qui, en agitant chantage occupationnel, ferment les yeux de front à une situation d'extrême gravité ambiante, dérivant d'un manque de consciente planification et de clairvoyance sur quoi il serait arrivé dans l'activité portuaire, qui tenait compte de l'impact que les nouveaux moyens navals auraient eu sur l'ambient lagunaire. Et si quelqu'un a fait des investissements sans tenir compte de cette situation, tu l'imputes si à même, et tu ne penses pas de décharger sur l'administration communale le manque d'une correcte planification industrielle du port. Une chose - il a réaffirmé - est certaine : le décret impose une solution immédiate. Cette solution nous prétendons soit trouvés dans l'immédiat et pour nous sommes disposés à travailler tous ensemble avec la plus grande loyauté et collaboration ».
- « Chacun de - il a répliqué le président de l'Autorité Portuaire - nous doit faire sa partie et le problème des grands bateaux - il a établi Côte - est seulement la pointe de l'iceberg d'un problème fondamental plus vaste, qui - toutefois il a remarqué - ne doit pas être cependant fait prisonnier d'un problème plus petit ». « Il peut se donner - il a ajouté Côte - que nous y sommes réveillés tard sur ceci craint, mais l'avons fait tous, parce que les mêmes choses sont écrites dans tous les documents aujourd'hui actuels. Et il y a différence parmi s'asseoir et discuter et dire qu'il ne va pas bien rien : tous d'accord que les bateaux pas petit pas devant San Marco. Le vrai problème est la coordination parmi les différents sujets qui doivent décider ». Côte s'est rappellée de que les projets pour éviter je transite des grands bateaux face à Venise devront être présenté le 25 prochains Juillet (
du 13 juin 2013) : « nous - il a précisé - ne pouvions pas que confirmer celui de je creuse du canal Sant'Angelo-Sant'Angelo, qui naît d'une idée du professor d'Alpaos, mais sommes ouverts à tout, en mettant cependant en clair les deux objectifs dont il faut tenir compte : ne pas mettre en crise même un seul poste de travail et le fait qui personne peut sauver la crocieristica en mettant en crise le reste du port ».
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