Pas que Gian Enzo Duci et Maurizio Fasce, lundis, aient dit que tout dans le port de Gênes va bien ( du 31 Mars 2014). Sans autre cependant les présidents des associations des agents maritimes et des expéditionnaires génois, qui pour la première fois ont réuni Assagenti et Spediporto dans une assemblée jointe, en mettant en évidence presque exclusivement la route digitale quelle parcours apte à faire développer le système logistique-portuaire du chef-lieu ligurien ont décidé d'éluder des thèmes traditionnellement posés en bas examen de leurs prédécesseurs.
- Pas à cas si dans les ans passés les défauts du gouvernement de la portualità et de l'économie de Gênes remarquée de l'past president des deux associations étaient accueillies parfois avec rancune ou avec amertume des titulaires des administrations et des institutions citadines, lundi les représentants de la chose publique ont apprécié le regard tourné au futur des deux jeunes présidents d'Assagenti et de Spediporto, entre autre visé sur une parcours - celui de l'informatique à service de la logistique - que pour même admission de Duci et Fasce il a déjà rejoint un niveau d'efficacité inimaginable des ans il y à.
- Toutefois il n'est pas du tout nécessaire de tourner le regard en arrière pour déterminer le magagne du système logistique-portuaire génois. Il suffit de regarder de la fenêtre et d'examiner l'état actuel des choses. Qui, si pas les camionneurs qui quotidiennement voyagent vers le port de Gênes ou sortent de le sien franchis-tu, plus est titré à évaluer l'état d'efficacité de l'entrée et de la sortie des marchandises de l'escale, pas sur les routes digitales mais sur ces asphaltées indispensables le hier, aujourd'hui et dans futur assurer la liaison du port avec ses marchés ?
- En effet à mettre le doigt dans la plaie il nous a vite pensés Trasportounito, qu'elle a convoqué une manifestation « même pour parapher - il a expliqué textuel le syndicat du cammionage - une alliance avec les citoyens contre les mauvais administrateurs ».
- Si les routes immatérielles sont presque sgombre, ces asphaltées semblent vraiment négligés de l'administration portuaire génoise ainsi comme de l'organisme communal. « Un parking - elle est la sévère constatation du scènario actuel de Trasportounito - projeté vingt ans il y à, déplacé virtuellement d'un lieu à autre de la ville et jamais réalisé. Camion (plus que 3.000 au jour) qu'on détruit les suspensions sur des routes défoncées, espaces de s'arrête abandonnés dans tout posant citadin, mais jamais concédés, camionneurs forcés à utiliser des édifices en ruine comme services hygiéniques à ciel ouvert, une toujours plus dangereuse superposition parmi trafic de moyens lourds et une circulation urbaine ».
- Selon Trasportounito il est l'instant de dire suffit « en proposant - il a annoncé le syndicat - une grande alliance à la citoyenneté génoise, mise en boîte comme les entreprises de cammionage d'institutions, de l'Autorité Portuaire aux collectivités locales, à la Chambre de commerce, qui donne quatrième de siècle ne maintiennent pas promises en les représentant comme nouvelles à l'occasion de chaque rencontre. Alliance qui sera sanctionnée d'une manifestation publique samedi 12 avril, avec la réalisation de Tir escargot, un long cortège de camion qui traversera le centre-ville jusqu'à Préfecture ».
- « Gênes, le port, la citoyenneté et au-delà de 1.700 entreprises de cammionage avec 10.000 dédiées - il a dénoncé le secrétaire général de Trasportounito, Maurizio Longo, pour des ans représentant du cammionage dans le Comité de l'Autorité Portuaire de Gênes - paye un prix très haut qui deviendra bref à insoutenable ». « Les pénalisations sur la qualité de vie dans les quartiers près du port - il a remarqué Longo - sont évidentes, comme elle est la perte progressive d'efficacité, vitesses commerciales et compétitivité du port. Comme il est le risque maintenant tangible d'une delocalizzazione d'entreprises de cammionage (avec conséquente perte d'occupation sur le territoire génois) vers Piémont et Lombardie ».
- Avec la manifestation Trasportounito il entend dénoncer « les précises responsabilités qui existent derrière cette progressive dégradation. Une dénonciation - il a précisé le syndicat - qui concerne le projet du parking. D'abord « placé » dans l'aire Colisa, donc supposé à des Champs, donc à Trasta, maintenant dans les aires ex Ilva de Cornigliano ou près de l'aéroport. Avec un seul résultat : le parking n'existe pas. L'unique parking existant est à des Champs, un marécage, caractérisée de gouffres dans asphalte, de la totale absence de services, des risques pour l'incolumità des chauffeurs. Le tout à des coûts mois pour parquer qu'ils sont doubles par rapport à ceux payés dans autres territoires ».
- Trasportounito a anticipé que lundi présentera au préfet détaillé dossier sur les engagements pas acceptés des autorités locales, en citant parmi l'autre - il a spécifié le syndicat - « un cas emblématique : un groupe de camionneurs dans les proximités de Pont Éthiopie a financié et a réalisé un petit centre de douches et des services hygiéniques publics, unique au service du cammionage. Résultat. l'Autorité Portuaire pour paperasserie - il a accusé Trasportounito - on n'a jamais fait chargé de gérer la structure (pour autre automatisée) et les camionneurs continuent à employer des vieux édifices en ruine comme services à ciel ouvert en conditions hygiéniques désastreuses ».
- Le président de l'Autorité Portuaire de Gênes veut laisser un signe de son expérience à la guide du port. Luigi Merlo pense au départ de la procédure pour la construction d'un nouveau barrage forain à quelques centaines de mètres à mer en tant que l'actuel. Une oeuvre imposante, en somme. Il viendrait de dire pharaonique. Certes un parking constituerait un signe moins marqué. Même cet héritage, cependant, garantirait une augmentation de l'efficacité du port qui hier, aujourd'hui, mais même demain et pendant bien des années à venir ne pourra pas se passer du cammionage. Au lieu de critiquer des camions, il est peut-être maintenant de commencer à les gérer au mieux.

- Bruno Bellio
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