- La semaine passée le Tribunal Administratif Régional pour la Toscane a repoussé le nouveau recours présenté de Toscane de Navigation contre Région Toscane et Moby pour l'annulation de deux décrets régionaux relatifs à l'attribution de la propriété de la société de navigation Toremar (Toscane Régionale Maritime).
- Avec le premier décret du 29 septembre 2011 a été décidé d'adjuger définitivement la compétition bannie pour la privatisation du Toremar à la compagnie armatoriale Moby, qui le 2 janvier 2012 a souscrit avec la Région le contrat de passage de main de la partecipation d'actions et le contrat de service pour l'exercise des services maritimes.
- Dans le 2012 Toscane de Navigation, de société qui est contrôlée de la compagnie maritime Delcomar et participée d'Alilauro et de BN de Navigation (Bleu Navy) et qu'elle a été exclue de la procédure de compétition pour la privatisation de Toremar puisque l'offerte économique présentée résultait difforme d'offerte technicien et de la prescription de l'administration, il a proposé recouru contre l'adjudication définitive de la compagnie à Moby, recours qui même TAR pour la Toscane a repoussé.
- Successivement Toscane de Navigation a proposé appel et le Conseil d'État, avec sentence déposée le 16 janvier 2015, a accueilli l'impugnativa et a annulé la mesure d'exclusion de la Toscane de Navigation en condamnant l'administration régionale à disposer l'adjudication de la procédure de compétition en faveur de Toscane de Navigation préalable le contrôle des qualités subjectives.
- La Région Toscane - comme il se rappelle TAR pour la Toscane dans la dernière sentence - donc a entamé « la procédure pour vérifie des déclarations et des déclarations sur le honneur présentées en compétition de Toscane de Navigation, contextuellement en demandant intéressée à ajourner aux déclarations inhérentes la possession des qualités d'ordre général et de prouver sa capacité économique-financière et technicien-professionnelle. À je hésite de vérifie, avec décret de la direction du 30 Mars 2015 (la seconde décrète de où Toscane de Navigation a demandé l'annulation, ndr), la Région a disposé ne pas pouvoir me procéder à l'adjudication en retenant indimostrato la possession des qualités demandées de la loi de compétition ».
- Avec la dernière sentence déposée le 26 octobre passé, que nous publions de suite, TAR de la Toscane a repoussé le nouveau recours de Toscane de Navigation en confirmant ainsi la légitimité de l'adjudication disposée en faveur de Moby.
| - N. 01446/2015 REG.PROV.COLL.
- N. 00778/2015 REG.RIC.
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- RÉPUBLIQUE ITALIENNE
- AU NOM DE JE PEUPLE ITALIEN
- Le Tribunal Administratif Régional pour la Toscane
- (Section D'abord)
il a prononcé le présent SENTENCE sur le recours nombre de registre général 778 du 2015, proposé de : Toscane de Navigation S.à.r.l., en personne du légal représentant pro tempore, représentée et défendue des avv.ti Enea Baronti, Marcello Vignolo et Massimo Massa, avec je domicilie élu prés de l'étude du premier en Florence, Maggio 30 ; contre Région Toscane, en personne du Président pro tempore, représentée et défendue des avv.ti Lucia Bora et Luciana Caso, et electivement domiciliée prés du siège de la Profession d'avocat régionale en Florence, place de l'Unité Italienne 1 ; vis-à-vis de Moby S.P.A., en personne du légal représentant pro tempore, représentée et défendue des avv.ti Beniamino Caravita Di Toritto, Beniamino Carnevale, Saverio Sticchi Damiani et Natale Giallongo, avec je domicilie élu prés de l'étude de ce dernier en Florence, Vittorio Alfieri 19 ; pour l'annulation du Décret n. 1312 du 30 Mars 2015, où le Dirigeant de la Direction Générale Politique Mobilité, Infrastructures et Transport en commun Local - Aire de Coordination Transport en commun Local - a établi de ne pas procéder à l'adjudication de la compétition bannie de la Région Toscane pour la Privatisation de la société Toremar S.P.A. (Toscane Régionale Maritime) et la confiance des services publics de cabotage maritimes des armées à l'intérieur de la Région Toscane, pour manque des qualités de capacité technicien-professionnelle et économique-financière, demandés pour la partecipation à la même ; ainsi que, dans subordonnée et conditionnée, pour l'annulation du Décret n. 4098 de 29.9.2011, avec lequel le dirigeant délégué, responsable du secteur « Stratégies et programmation du transport en commun local de compétence régionale et relative réalisation » de la Région Toscane, a approuvé tous les procès-verbal de la commission giudicatrice et a adjugé définitivement la compétition à la société Moby spa, avec siège en Milan et, de toute façon, de tous les actes en vertu dont la compétition a été adjugée au Moby spa, ou bien, encore, dans les parties dans lesquelles ils n'ont pas exclu le Moby spa de la compétition même ; et pour l'indemnisation de tous ils donnent dérivant de l'exécution des actes illégitimes, en forme spécifie ou, en alternative, pour équivalent, dans la mesure de l'manqué utile. Vus le recours et les relatifs annexes ; Vus les actes de constitution en jugement de la Région Toscane et de la controinteressata Moby S.P.A. ; Vues les mémoires défensives ; Visas tous les actes de la cause ; Rapporteur dans l'audience publique du jour 23 septembre 2015 le doc. Pierpaolo Grauso et les ouïes pour les parties les défenseurs comme spécifié dans le procès-verbal ; Retenu et considéré en fait et droit ce qui suit. FAIT et DROIT 1. Avec sentence n. 83/2015 le Conseil d'État, en réformant la décision en premiers soins de ce T.A.R., a condamné la Région Toscane à adjuger en faveur de la Toscane de Navigation S.à.r.l., préalable le nécessaire contrôle des qualités subjectives, la procédure convoquée avec lettre d'invitation du 17 janvier 2011 pour la privatisation du Toremar S.P.A. et pour la confiance des services publics de cabotage maritime régional. De la procédure la d'aujourd'hui récurrente ère étée exclue, avec des mesures ensuite annulées du juge d'appel, pour affirmée difformité de l'offerte économique d'offerte technicien et de la prescription de l'administration, et la compétition avait été adjugée à Moby S.P.A. En exécution de la sentence, dans le janvier du 2015 la Région Toscane a entamé la procédure pour vérifie des déclarations et des déclarations sur le honneur présentées en compétition de Toscane de Navigation, contextuellement en demandant intéressée à ajourner aux déclarations inhérentes la possession des qualités d'ordre général et de prouver sa capacité économique-financière et technicien-professionnelle. À je hésite de vérifie, avec décret de la direction du 30 Mars 2015, la Région a disposé ne pas pouvoir me procéder à l'adjudication en retenant indimostrato la possession des qualités demandées de la loi de compétition. À j'avertis de l'administration procédante, l'adjudication serait prévenue de l'absence d'épreuve en ordre au volume de services de transport maritime passagers exécutés dans la période 30 novembre 2006 - 30 novembre 2009, intégrante qualité d'aptitude technique et professionnelle ; ainsi que de la circonstance qui Toscane de Navigation inammissibilmente aurait déclaré de se servir de quelques entreprises jamais précédemment mentionnées dans les actes de partecipation à la compétition aux fins de la démonstration de la capacité économique-financière, qualité qui ne serait pas rejointe avec les concouru des seules entreprises ausiliarie en son temps indiquées aux sens de l'art. 49 D.Lgs n. 163/2006. 1.1. La présent controverse est proposée de Toscane de Navigation S.à.r.l., avec recours notifié le 30 avril et déposé le 13 mai 2015, pour l'annulation de cité décret régional du 30 Mars 2015 et, en subordine, du décret n. les 4098 du 29 septembre 2011 d'approbation de tous procès-verbal de la commission de compétition et de l'adjudication disposée en faveur de Moby S.P.A. Qui se sont constituées en jugement la Région Toscane et la société controinteressata, la cause a été discutée et retenue pour la décision dans la publique audience du 23 septembre 2015, précédée du dépôt de documents, de mémoires défensives et de répliques. 2. La société récurrente, initialement exclue de la compétition convoquée de la Région Toscane pour la confiance des services publics de cabotage, vous a été réadmise en force de la sentence n. 83/2015 du Conseil d'État, lequel a contextuellement annulé l'adjudication disposée en faveur de Moby S.P.A. et a condamné la Région à adjuger la compétition à Toscane de Navigation. Avec la mesure ici empoignée, la Région toutefois a nié pouvoir se procéder à l'adjudication disposée du juge, étant le manque en chef à Toscane de Navigation des nécessaires qualités minimums de capacité technique et économique-financière. 2.1. Avec l'premier, articulé je motive de charge, plongeur) à la récurrente déduit opportunement d'avoir transmis à la Région - aux fins de il vérifie des qualités entamée suite à la décision du Conseil d'État - la note du 27 janvier 2015, où sa ausiliaria Alilauro avait demandé à la Capitainerie du port de Naples la certification relative aux milles marines parcourues pour le transport passagers dans la période indiquée du lex specialis. Telle documentation, envoyée avant le terme péremptoire au besoin assigné de la Région, devrait s'estimer suffisant satisfaire les charges grevantes aux sens de l'art. 48 Co. 2 D.Lgs n. 163/2006 sur le concurrent, dont il ne pourrait pas s'exiger la production de documents ou les attestations pas retombante dans sa disponibilité parce que, comme dans l'espèce, objet de relâchement de la part d'une administration publique. Il se verserait, en somme, dans l'hypothèse d'objectif empêchement à la production des documents demandés, tel à justifier la soustraction de l'entreprise intéressée aux conséquences négatives de l'inutile parti du terme ex art. 48 Co. 2 cit. Sous un divergé profil, la récurrente Toscane de Navigation soutient aussi que, aux termes de l'art. 43 du D.P.R n. 445/2000, aurait été charge de la Région de s'employer directement pour acquérir d'autre administration le certificat attestant la possession de la qualité, ce qui confirmerait l'absence en chef au concurrent de charges ultérieures par rapport à cela de faire à demande du certificat même à la compétent Capitainerie du port. D'autre part, il s'agirait d'une certification demandée de la lettre d'invitation à la procédure, en ne résultant pas donc infondée l'affirmation - contenue dans la mesure empoignée - selon laquelle la récurrente aurait dû en disposer jusqu'à de instant de la présentation d'offerte. 2.1.1. La doglianza est infondée. 2.1.2. Le terme de dix jours de la demande de la station adjugeante, assigné aux concurrents premier et second classifié pour ell'elle prouve des qualités de capacité économique-financière et technicien-d'organisation de l'art. 48 alinéa en second lieu de D.lgs n. 163/2006, a de la nature péremptoire, comme éclairci de l'Assemblée Plénière du Conseil d'État avec sentence 25 février 2014, n. 10, à résolution du contraste interprétatif auquel la règle avait donné lieu en jurisprudence. Les raisons de la décision, à laquelle le collège entend se conformer, reposent sur les exigences d'opportunité et de certitude des procédures pour la confiance des contrats publics, qui autrement risqueraient de rester suspendues à temps indéterminé à front de l'inertie des entreprises d'abord et seconde graduée : conclusion inadmissible, tenu compte du fait, pour combien ici il remarque, que les documents à confirmation des qualités doivent se trouver déjà dans la possession d'intéressés, potentiellement tenus à leur exhibition jusqu'à de phase de vérifie à champion dans la phase initiale de la compétition, aux sens du premier alinéa du même art. 48 cit. Dans l'espèce, la société récurrente a donné suivi à la demande de la Région Toscane du 21 janvier 2015 en se limitant à transmettre l'instance avancée le 27 janvier 2015 de sa ausiliaria Alilauro S.P.A. à la Capitainerie du port de Naples et dirigée au relâchement d'appropriée déclaration attestant les milles marine parcourue dans le service de transport passager dans la période considérée de la loi de compétition. Il dicte production ne peut pas toutefois s'estimer apte satisfaire les charges démonstratives grevantes sur Toscane de Navigation, né à légitimer la dérogation au terme péremptoire établi de la loi pour la prouve des qualités, eu en premier lieu égard soit à la tempistica de l'instance, adressée à la Capitainerie du port lorsque le terme péremptoire partant de la demande de la Région était déjà consommé pour au-delà de la moitié, soit au contenu de l'instance même, qui ne se rend pas quelque signalisation environ son particulière but. La rigueur avec laquelle il doit être évalué l'inosservanza du terme péremptoire de où à l'art. 48 Co. 2 de D.Lgs n. 163/2006 peut être atténué, en effet, seulement en cas de objective impossibilité pour l'entreprise de produire la documentation pas rentrant dans sa disponibilité (jurisprudence constante : pour toutes, cfr. A.P n. 10/2014, cit.), situation qui ne recourt pas là où l'entreprise intéressée il n'ait pas fait tout combien dans son pouvoir pour se procurer la documentation demandée de la station adjugeante, ou d'autre documentation équivalente. Et il est de toute évidence qui, étant l'exigu terme à disposition, pour aller exempts de faute Toscane de Navigation et l'ausiliaria Alilauro S.P.A. auraient dû au moins s'activer immédiatement et, de la même manière, mettre la Capitainerie du port en mesure d'apprécier de l'urgence de l'accomplissement. Du reste, comme ponctuellement remarqué des défenses résistantes, déjà avec la publication de la sentence du Conseil d'État dans donnée 11 janvier 2015 la récurrente aurait dû mûrir - selon un critère d'ordinaire soin d'entrepreneur - la conscience de la necessité de se munir de la documentation à confirmation de la possession des qualités pour l'adjudication du service ; à ceci en se devant ajouter que l'indisponibilità d'un quelconque contrôle de ces qualités complète à son tour un comportement négligent qui bien peut se faire remonter aux phases initiales de la procédure de compétition, attendu que les entreprises doivent être prêtes à montrer sa capacité économique et technique jusqu'à de instant du contrôle à champion, et que, à montagne, il ne semble pas vraisemblable que les concurrents puissent présenter des déclarations substitutives credibles si sur la de base d'une préventive il ne vérifie pas des données documentaires dont ils disposent. Et si aussi Toscane de Navigation déplore que le detail demandé d'une attestation délivrée des compétenux des autorités maritimes, absent dans la loi de compétition, aurait été formulée de la Région seul avec la note du 20 janvier 2015, reste le fait que - au-delà de quel déjà observé en ordre à l'intempestività et à l'inadéquation de l'instance adressée à la Capitainerie du port napolitaine - la récurrente n'a pas offert à la Région même pas un principe d'épreuve environ la possession de la qualité. À l'appui les impugnazione ne vaut pas ensuite invoquer l'art. 43 du D.P.R n. 445/2000, que, en obligeant les administrations publiques à acquérir de bureau les informations objet des déclarations substitutives dont aux suivants artt. 46 et 47, ou bien à accepter les déclarations substitutives des redditions d'intéressé, établit un alternatif étranger au fattispecie réglementé de l'art. 48 D.Lgs n. 163/2006. Cette dernière règle présuppose en effet comme déjà produite - en même temps à la question de partecipation à la compétition - la présentation des déclarations substitutives à oeuvre des concurrents et leur acceptation de la part de la station adjugeante, et dite une discipline des contrôles (pas aussi bien et pas seulement sur les déclarations, combien) sur la possession des qualités que, en se posant en rapport de spécialité par rapport à cette du contrôle sur les déclarations contenue dans cité D.P.R n. 445/2000, onera de la relative démonstration les entreprises participants aux compétitions. La certification demandée d'Alilauro à la Capitainerie du port de Naples ne rentre pas, d'autre part, dans la liste des certifications qui peuvent former objet de déclaration substitutive et que, comme tels, ils sont des subordonnés à contrôle et aquisition de bureau aux termes du combiné disposé de l'artt. 46 et 71 du D.P.R n. 445/2000 (et dans cela réside la différence parmi le cas ici traité et celui décidé du Conseil d'État, sez. V, avec la sentence 11 juin 2013, n. 3231, rappelée en tant que la récurrent et relative à une hypothèse d'exclusion pour manquée présentation du D.U.R.C., certifié auquel expressément se réfère la lettre p) de l'art. 46). 2.2. Avec les censures rubricate plongeur b), les récurrent - précédent que la lettre d'invitation à la compétition demandait que les participants avaient atteint dans les ans 2006 - 2008 un volume d'affaires pour les services de transport maritime pas inférieur à 75 millions d'euro et un chiffre d'affaires global pas inférieur à 150 millions d'euro - il expose d'avoir déclaré, relativement aux ans considérés, un chiffre d'affaires pour services de transport maritime d'au-delà de 148 millions d'euro et un chiffre d'affaires global d'au-delà de 231 millions d'euro, tu importes auquel on parvient merci au volume d'affaires de l'ausiliaria Alilauro S.P.A. et de toutes les entreprises chez vous elle contrôlez et participées majoritairement, faisant une partie d'un unique groupe d'entrepreneur. Dans le contrat d'avvalimento produit en compétition, Alilauro on serait du reste engagée à fournir à Toscane de Navigation toutes les ressources, personne exclue, pour permettre l'exécution du service, là comprises les ressources riferibili aux entreprises appartenantes au groupe chez elle contrôlé. Par conséquent il aurait erré l'administration procédante dans la considération insignifiante les données relatives au chiffre d'affaires des sociétés contrôlées d'Alilauro, parce que vous n'indiquez pas à l'instant de la présentation d'offerte : influence dominant exercée sur groupe justifierait en effet riconducibilità de chiffres d'affaires de toutes contrôlées à celui de chef de groupe, comme il serait confirmé du fait qui dans le budget de cette dernière seraient rapportés, justement, même les données déduites des budgets de contrôlées. La particulière condition d'une entreprise appartenante à un déterminé groupe trouverait confirmation, à avertis de la récurrente, dans l'art. 49 de D.Lgs n. 163/2006, en force dont, aux fins de l'avvalimento parmi des entreprises du groupe, elle est suffisante une déclaration unilatérale attestant le lien juridique et économique parmi les entreprises ausiliata et ausiliaria, et pas le contrat ordinairement demandé pour les hypothèses d'avvalimento extragroupe. 2.2.1. Telle censure ne cueille dans le signe. 2.2.2. La récurrente Toscane de Navigation a déclaré de se servir, à intégration de la qualité de capacité financière donné du volume d'affaires global et du volume d'affaires pour services de transport maritime passagers dans les trois ans 2006 - 2008, du Cyan Commerce Services C.T. & S.S.à.r.l. et de l'Alilauro S.P.A. En séance de contrôle ex art. 48 Co. 2 D.Lgs n. 163/2006, elle a produit de la documentation relative pas seulement aux deux entreprises ausiliarie, mais même à autres trois entreprises - Alilauro Gru.So.n. S.P.A., Alicost S.P.A. et Vola Viamare S.c à r.l. - asseritamente appartenants à un même groupe d'entrepreneur faisant chef à Alilauro S.P.A., qui, soutient Toscane de Navigation, bien il pourrait mettre à disposition de tiers les qualités de capacité économique-financière ses et ses à de contrôlées. En sens je contrarie, s'observe que l'institut de l'avvalimento, aussi en répondant à l'exigence d'agrandir la partecipation aux compétitions même aux concurrents qui soient dépourvus des qualités demandées de l'avis, ne permet pas d'étendre à l'infini la chaîne des possibles plongeur-auxiliaires (avvalimento c.d. « à chute »), et qu'il va par conséquent exclu de la compétition qui se sert d'entreprise ausiliaria à son tour il prive de la qualité demandée de l'avis dans la mesure suffisante à compléter sa qualité de qualification manquante. La jurisprudence nationale, sur la sillage de celle européenne, aussi a clairement précisé que l'existence d'un rapport de partecipation sociale, ou bien l'appartenance à un même groupe d'entreprises, ne permet pas de présumer qu'une des entreprises en rapport de partecipation ou d'appartenance au groupe puisse pour ce seul disposer, aux fins de la partecipation à une procédure de confiance de contrats publics, des moyens de l'entreprise participée ou des autres entreprises du groupe ; en résultant donc entièrement légitime demande, de la part de loi et de station adjugeant, de déterminées modalité de prouve de disponibilité de qualités objet de avvalimento en se référant spécifie adjudication et valide pour toute durée de prestation déduite dans compétition, pendant qu'elle ne peut pas se retenir suffisant la pure allégation des liens sociaux qui enroulent deux entreprises, n'était rien d'autre que pour l'autonomie contractuelle dont ils continuent à jouir les individuelles sociétés du groupe (Cons. Été, sez. IV, 24 mai 2013, n. 2832 ; id., sez. V, 20 juin 2011, n. 3670 ; id., sez. IV, 20 novembre 2008 n. 5742 ; Cour de Justice EU, 2 décembre 1999, en cause c-176/98). Pour des telles raisons, il doit s'exclure en racine qui le contrat d'avvalimento stipulé avec Alilauro S.P.A. permette au d'aujourd'hui récurrent de se servir même des qualités des autres entreprises appartenantes au même groupe de l'entreprise ausiliata, attendu que telle appartenance commune de pour ne elle comporte pas, de la part de ces entreprises, l'engagement de quelque obligation ou l'engagement en faveur de Toscane de Navigation. Confirmation indirecte s'en tire de l'art. 49 Co. 2 lett. g) de D.Lgs n. 163/2006, aussi invoqué de Toscane de Navigation, qui pour le cas d'avvalimento infragroupe exige la présentation en compétition au moins d'une déclaration substitutive attestant le lien juridique et économique existante dans le groupe : si le seul fait d'appartenir à un même groupe ne suffit pas pour légitimer l'avvalimento dans le rapport dirigé parmi entreprise concurrente et entreprise ausiliaria, tantomeno il peut suffire au cas où le concurrent entende se servir (même) des qualités d'entreprises troisièmes, reliées pas à lui, mais à sa ausiliaria (celui dans ajoutée, évidemment, déjà à remarquée inammissibilità ontologique de l'avvalimento « à chute »). 2.3. Plongeur c), en subordonnée, est dénoncé l'illégitimité de avertis de compétition et de la lettre d'invitation dans la partie dans laquelle ils prescrivent, pour la partecipation à la procédure, aux qualités de chiffre d'affaires je spécifie et global qui la récurrente assume disproportionnés par rapport à la valeur du service objet de la confiance. 2.3.1. La censure, dans sa générique formulation, est infondée. 2.3.2. À front d'une valeur globale de la confiance estimée au point B.1) de la lettre d'invitation dans au-delà de 174 millions d'euro pour douze ans (auquel correspond importe de la caution provisoire, fixé en euro 3.492.096, 20), la demande d'un chiffre d'affaires triennal global pas inférieur 150 millions d'euro et d'un volume d'affaires triennal dans le transport passagères pas inférieur à 75 millions d'euro il ne présente pas quelque profil de manifeste disproportion ou discriminatorietà et, en continuité avec constante jurisprudence et avec les précédents de la Section, doit donc s'estimer proportione d'un choix soustrait au contrôle juridictionnel (cfr. T.A.R. Toscane, sez. I, 27 mai 2013, n. 844). 3. Avec selon je motive, la Toscane de Navigation - en se référant aux opérations de compétition en son temps conclusesi avec l'adjudication en faveur de Moby S.P.A. - déplore manquée exclusion de la controinteressata, qui aurait été illegittimamente admise à la procédure aussi en ayant présentée l'engagement fractionné de deux fideiussori à constituer la caution définitive, plutôt que fournir une garantie unitaire comme demande de la loi de compétition et de l'art. 75 D.Lgs n. 163/2006. 3.1.1. Je motive est inadmissible et de toute façon irricevibile. 3.1.2. Manquée exclusion de la controinteressata Moby de la compétition il a été en son temps empoignée en tant que la d'aujourd'hui récurrent su sein le recours R.G n. 1184/2011 défini du T.A.R avec la sentence n. 412/2012, ensuite réformée en appel. Dans ce jugement Toscane de Navigation elle a en effet même déduit l'illégitimité de l'adjudication disposée en faveur de Moby, en faisant valoir parmi l'autre, dont avec quatrième je motive au recours introductif et avec quatrième je motive adjoint, vices de la garantie prêtée de l'aggiudicataria dans les mêmes termes qui pedissequamente sont aujourd'hui reproposés et sur lesquels le T.A.R on est prononcé, ce qui donne lieu aujourd'hui à un inadmissible bis dans idem. Oltretutto, avec les impugnazione de la sentence n. 412/2012 Toscane de Navigation a déclaré expressément de renoncer aux censures en question (v. pag. 26 pourvu en appel), dont elle se rend à majeure raison inadmissible la d'aujourd'hui riproposizione, et celui de taire du manifeste retard de la déduction dans ce siège de vices qui investissent l'originaire adjudication de la compétition. 4. Avec la mémoire défensive déposée le 7 septembre 2015, la récurrente formule instance instruction tourne à obtenir l'accès aux documents demandés à la Région Toscane avec note du 3 avril 2015, restée inevasa. 4.1. L'instance est inadmissible, en n'étant pas n n'étant pas étée proposée dans le terme de trente jours du refus prononcé de la Région avec note du 4 mai 2015 et avec le respect des modalités prévues de l'art. 116 c.p.a alinéa second. Né retient le collège de devoir actionner ses pouvoirs instructeurs officiosi, en se traitant de documentation insignifiante aux fins de décider. 5. En force de toutes les considérations qui précèdent, le recours ne peut pas trouver acceptation. 5.1. Les frais de dispute suivent la soccombenza et sont liquidées comme dans dispositif. P.Q.M. Le Tribunal Administratif Régional pour la Toscane (Section D'abord), définitivement en prononçant, repousse le recours et la condamnation la Toscane de Navigation S.à.r.l. à la refonte des frais de procès, qui liquide en globaux euro 4.000, 00, outre les accessoires de loi, en faveur de la ciascuna des contreparties résistantes. Il commande que la présent sentence soit exécutée de l'autorité administrative. Ainsi décidé en Florence dans la chambre de conseil du jour 23 septembre 2015 avec l'intervention des magistrats : Armando Pozzi, Président Alessandro Cacciari, Conseiller Pierpaolo Grauso, Conseiller, Extenseur
- DÉPOSÉE EN SECRÉTARIAT
- Le 26/10/2015
- LE SECRÉTAIRE
- (Art. 89, Co. 3, cod. proc. amm.)
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