Federagenti, comme l’Australie l’a fait, pour les grands navires à Venise, dites non à des solutions improvisées et émotionnelles
Saints: les responsabilités devraient être recherchées, plus que dans les escales des grands navires, dans l’échec de l’entretien, pendant des décennies, des canaux laissés à enterrer sous le signe d’un environnementalisme non critique
6 Juli 2021
La fédération des agents maritimes, selon les termes de son président Alessandro Santi, a manifesté « pleine volonté de discuter avec n’importe qui en premier avec le gouvernement auquel nous avons officiellement demandé à être urgent et en priorité entendus avant toute prise en charge décision avec de nombreuses autres associations professionnelles; donc également à l’UNESCO à laquelle nous avons apporté notre contribution, un an et il y a une demi-chose, sans recevoir de considération évidemment. Mais qu’il soit clair - a précisé Santi - que nous ne sommes pas prêts à accepter des impositions qui remettent en cause le présent, représenté par plus de 4 000 emplois connexes directement avec les croisières et de plus de 20.000 emplois qui gravitent autour du port de Venise et son rôle essentiel pour l’économie de l’une des zones productives les plus importantes d’Europe; mais aussi avec le passé, celui qui lie inextricablement l’histoire et la raison d’exister de Venise aux activités maritimes et à son port ».
Le président de Federagenti a souligné qu’à cet égard, le « non » de l’Australie par rapport à la même l’évaluation de l’UNESCO sur le thème du récif « marque un précédent important indiquant une voie alternative à celle qui est, en revanche, le fruit de stratégies parfaites pour jumeler propagande et intérêts éloignés de la réalité locale, dans le cas celle vénitienne. Et aussi de Venise et du cluster maritime national - a souligné Santi - doit arriver aux institutions et indirectement à l’UNESCO un « non » par rapport aux solutions improvisées et basées sur l’émotion ».
« L’alternative sérieuse », a expliqué le président de Federagenti - est celle d’une analyse technique sur les quais disponibles à Marghera, accompagnée d’une étude scientifique sur les impacts de risque réels (pour dimensionner les limites) et sur les effets hydrodynamiques dont les responsabilités devraient être recherchées, plus que dans les escales des grands navires, dans le manque d’entretien, pour décennies, des canaux laissés enterrer sous le signe d’un environnementalisme non critique qui a, de manière irresponsable, voulu désavouer l’histoire de la ville et de la lagune. Et une étude qui tient compte avant tout des travailleurs et des familles auxquelles, personnes qui ne risquent rien et vivent ailleurs, voudraient imposer leur diktat ».
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