- Dans la lettre, CLECAT souligne que les entreprises européennes continuent d’être confrontés à la hausse des coûts de le transport maritime par conteneurs, avec un niveau exceptionnellement bas de la fiabilité de ces services ainsi qu’avec le possibilité d’un choix limité de ces services. L’association souligne également que l’extraordinaire augmentation de le fret maritime au cours des 18 derniers mois a pour effet de une inflation néfaste et une augmentation du coût de la vie dans l’UE, comme l’a récemment rapporté l’OCDE. CLECAT se plaint que « le les profits des transporteurs maritimes provenant de leur les stratégies de gestion de la capacité leur ont permis de acquérir un pouvoir de marché et des dotations financières qui maintenant sont utilisés pour l’intégration verticale, en augmentation tarifs et, sur le marché en aval, évincer les expéditeurs Indépendant. Le nouveau comportement discriminatoire à l’égard de les transitaires, qui sont les principaux organisateurs de l’approvisionnement en services dans tous les modes de transport en exploitation le porte-à-porte - a noté CLECAT - bénéficiera en fin de compte expéditeurs et consommateurs finaux en raison du choix limité de services et tarifs plus élevés ».
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- Avec cette lettre, l’association exhorte la Commission européenne à enquêter d’urgence, en vertu des règles de concurrence de l’UE et dans le cadre de la révision du règlement d’exemption pour catégorie pour les consortiums de transport maritime de ligne (CFR), effets sur le marché déterminés - expliqué CLECAT - « par combinaison d’exemptions par catégorie, conduisant à des alliances et les consortiums qui déplacent la capacité d’une route à l’autre, intégration verticale, consolidation, contrôle de et la position dominante qui en résulte sur le marché ».
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- « En particulier, a déclaré CLECAT, la Commission doit étudier l’augmentation exponentielle des taux de fret qui a permis des alliances pour prédire des profits de plus de 200 milliards dollars pendant la crise du Covid face à l’absence d’un toute augmentation de leurs coûts ou toute motivation attribuable à la pandémie ».
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- CLECAT a également précisé que « la combinaison de ces facteurs ont permis aux compagnies maritimes, pour le leurs contrats à long terme, afin de sélectionner sélectivement le les expéditeurs qui traitent les volumes les plus élevés et reléguer les autres sur le marché au comptant où ils devront payer beaucoup de fret plus élevé que ceux offerts aux quelques favoris. En plus de cela stratégie discriminatoire - dénoncé à nouveau l’association - dans le cadre de ce processus, les transitaires sont « désintermédié ». Dans le même temps, l’accès à la capacité conteneurisé, à l’exécution des horaires des transporteurs et la fiabilité du service a encore diminué ».
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- Illustrant la demande d’intervention urgente adressée au Commission européenne, Directeur général du CLECAT, Nicolette van der Jagt, a mis en évidence certains éléments critiques spécifiques qui, de l’avis de l’association, faussent le marché pour expéditions à partir de l’intégration verticale en place par des transporteurs maritimes qui, a-t-il expliqué, " sont particulièrement injuste et discriminatoire comme le la navigation, qui bénéficie d’une dérogation aux règles normales en matière de concurrence, utiliser des profits inattendus pour concurrencer d’autres secteurs qui ne bénéficient pas d’une telle immunité. » « Aussi la consolidation - a-t-il ajouté - est problématique, car moins d’entreprises conduisent à moins d’options de service, limite l’offre d’espaces de chargement et détermine une position dominante sur le marché qui, à son tour, permet à quelques les entreprises établissent une discrimination entre les bénéficiaires effectifs de fret, les PME et les transitaires, ce qui entraîne donc des taux plus élevés pour tout le monde. Plus de 90% du commerce international - a rappelé van der Jagt - sont effectués par la mer. Actuellement trois des alliances composées de huit compagnies maritimes contrôlent 80% de ces échanges commerciaux. Ceci - a-t-il souligné - est un oligopole appliquant des droits oligopolistiques ».
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- Le Directeur général du CLECAT a souligné que le les données partagées par les transporteurs maritimes dans le cadre d’accords qui l’interpose entre eux donne à ces entreprises le contrôle encore plus grand sur le marché, renforçant leur pouvoir de limitation la concurrence et l’amélioration de leur capacité de contrôle des tarifs non seulement pour les services de transport maritime, mais aussi de ceux des services de bout en bout en amont et en aval de la fourniture Chaîne.
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