Il y en a beaucoup, pour l’économie mais aussi pour le secteur des transports maritime, les questions à traiter énumérées par le président de Assarmatori, à partir de la mise en œuvre du Plan national de Reprise et résilience et reprise économique qui nécessitent décisions et non ouvertures de crise à venir, par rapport à la l’expédition, jusqu’aux impacts négatifs et potentiellement dévastateurs possibles - spécifié Messine - que le transport maritime italien accuserait des dispositions combinées des règles dictées par l’Organisation maritime internationale et le paquet « Fit » pour 55 » de l’Union européenne. Messine a également mentionné le nécessité de simplifier le cadre réglementaire du secteur maritime, en la libérant des règles dictées il y a 80 ans et, en effet, obtenir le soutien de l’État dans les meilleurs délais les activités des compagnies maritimes italiennes, le la nécessité de protéger l’industrie italienne des croisières, et tout ce qu’il induit aussi en termes d’emploi, avec en ce qui concerne tout particulièrement « l’affaire Venise » et, encore une fois, prendre en compte le savoir-faire des armateurs en vue l’augmentation des importations de gaz naturel liquéfié.-
- « Nos entreprises - a déclaré le président de Assarmatori - veulent continuer à créer des lieux de développement et de travaillent et s’inquiètent de l’inopportunité des règles L’OMI et l’UE pour la durabilité environnementale. Nous demandons à l' le gouvernement se battra dans les négociations finales entre le Parlement, le Conseil et Commission chargée de protéger toutes les liaisons insulaires (dans ce cas) également pour les grandes îles) et les autoroutes de la mer, qui vont promu sans discrimination entre les opérateurs, en évitant effets boomerang, c’est-à-dire le transfert modal inverse de la mer à la rue ».
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- « Une préoccupation similaire - a continué Messine - est ont également été exprimés en ce qui concerne la simplification de la réglementation. Nous doivent être libérés des règles dictées il y a 80 ans. Vouloir concurrencer sur un pied d’égalité avec les armateurs, y compris ceux des pays membres de l' UE, battant pavillon des États qui ont fait le système de transport maritime sans diminution des normes la sécurité ou le travail. Nos entreprises attendent le l’achèvement du processus législatif nécessaire pour s’adapter à ce qui a été demandé par la Commission européenne il y a deux ans et demi, c’est-à-dire étendre les avantages du registre international, instrument qui a garanti la croissance et l’emploi, même dans le cas de auxquels les compagnies italiennes opèrent avec des navires immatriculés dans les pays de l’Union européenne ».
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- Messina a souligné que « le secteur aussi croisière, bien qu’en nette récupération après la mise à zéro de la trafic dû à la pandémie, vit un moment compliqué. Le fermeture du canal de la Giudecca, à Venise - a-t-il expliqué - il a infligé un coup très dur à ce secteur dans toute l’Adriatique. Nous espérons que le gouvernement indiquera une solution afin de pouvoir utiliser le canal Vittorio Emanuele, pour enfin voir approuvé le Protocole sur les boues et accélérer la mise en œuvre de la de nouvelles approches de Marghera garantissant des ressources supplémentaires à l' Commissaire: ce secteur est également un moteur fondamental pour l’économie nationale ».
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- Enfin, en se référant à la nécessité pour l’Italie de changer et diversifier ses fonds d’approvisionnement énergétique dicté par les effets de la guerre russo-ukrainienne, et les conséquences qui en découlent les investissements demandés par le gouvernement aux entreprises sous contrôle public, qui ont commencé à se déplacer en acquérant des usines de regazéification flottant, le président d’Assarmatori a précisé que, « dans vu d’une croissance des importations de gaz naturel liquéfié, nous armateurs privés, nous avons les compétences nécessaires pour la gestion de l’offre chaîne et logistique et nous fournissons notre savoir-faire ».

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