Sentence de TAR pour les Pouilles sur le recours présenté de Bari Porto Mediterraneo
Il a été en partie repoussé, en partie accueilli et en partie déclarée improcedibile. Satisfaction de l'Autorité Portuaire de Bari
17 Mai 2011
Avec sentence d'aujourd'hui, que nous publions de suite, le Tribunal Administratif Régional pour les Pouilles de Bari a en partie repoussé, en partie accueilli et en partie déclarée improcedibile le recours proposé de la société Bari Porto Mediterraneo Srl (BPM) contre l'Autorité Portuaire de Bari et vis-à-vis de la société consortile G.S.A. (Groupe Services Associés) pour l'annulation des mesures qui ont mené à la confiance de la gestion des stations maritimes du port de Bari à la G.S.A.
L'Autorité Portuaire de Bari a accueilli avec satisfaction la sentence en soulignant qu'il confirme la légitimité des actes de l'organisme. « L'unique profil accueilli, auquel d'autre part déjà l'Autorité Portuaire avait prêté ottemperanza jusqu'à de décembre 2009 - il a précisé l'port autorité - était relative à la restitution immédiate des aires destinées aux services sur demande individuel, qui pouvaient par contre continuer être détenus de BPM Srl jusqu'à accomplissement des compétitions. Tel profil est actuellement insignifiant puisque dans le mois passé d'avril la non-exécution de BPM à l'obligation de payer le loyer de concession pacifiquement dû a comporté la décadence de la même de la gestion transitoire ».
L'organisme portuaire de Bari a conclu en considérant que « elle la restitue des aires à l'Autorité Portuaire, qui pourvoit aux procédures à évidence publique pour la relative confiance, apparaît du reste en ligne, même avec l'intérêt de même Bari Porto Mediterraneo, qu'on trouve en liquidation et qu'il se grèverait des coûts relatifs à une gestion economiquement désavantageuse, à ils donnent des créanciers sociaux ».
N. 00744/2011 REG.PROV.COLL.
N. 01929/2009 REG.RIC.
RÉPUBLIQUE ITALIENNE
AU NOM DE JE PEUPLE ITALIEN
Le Tribunal Administratif Régional pour les Pouilles
(Section D'abord)
il a prononcé le présent
SENTENCE
sur le recours nombre de registre général 1929 de 2009, complété de raisons ajoutées, proposé de Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l., représenté et défendue de l'avv. Vincenzo Caputi Jambrenghi, avec je domicilie élu prés de son étude en Bari, Abbé Eustasio, 5 ;
contre
Autorité Portuaire de Bari, représentée et défendue de l'avv. Ignazio Fulvio Mezzina, avec je domicilie élu prés du siège social dans Bari, place Christophe Colomb, 1 ;
vis-à-vis de
G.S.A. Groupe Services Associés société consortile, représentée et défendue de l'avv. Domenico Colella, avec je domicilie élu prés de son étude en Bari, Quintino Sella, 120 ;
et avec l'intervention de
à adiuvandum :
Giorgia Giuseppina Barbara D'Amelio, Antonio Lopez, Nicola Gelao, Oronzo Matarrese, Luigia Sabatelli Melibeo, Caterina Angiulli, Francesca Minutillo, Brunella Aurisicchio, Pietro Munno, représentés et défendus de l'avv. Antonio De Feo, avec je domicilie élu prés de son étude dans Bari, cours Vittorio Emanuele, 143 ;
pour l'annulation
de la délibération du Comité Portuaire n. 9 du 30 octobre 2009 et de tous les actes à elle annexes (en partie non connus), parmi laquelle les lignes d'adresse pour la détermination des nouvelles modalités de gestion des stations maritimes et des services de support aux passagers, le schéma d'avis de compétition et capitulé de spécial, le schéma d'ordonnance sur la division des droits pour charges de sécurité et autres services d'intérêt général ;
de l'avis de compétition envoyé pour la publication dans les G.U.U.E dans donnée 4 novembre 2009, du capitulé spécial et de tous les actes constituants le lex specialis ;
de la note de l'Autorité Portuaire de Bari prot. 7117-U/09 du 3 novembre 2009 ;
de l'adjudication définitive, disposée avec délibération du Président de l'Autorité Portuaire de Bari n. 61 du 15 avril 2010, et de tous les procès-verbal de compétition, ainsi que du contrat stipulé avec G.S.A. Groupe Services Associés société consortile ;
Vus le recours, les raisons adjointes et les relatifs annexes ;
Vues les mémoires défensives ;
Visas tous les actes de la cause ;
Rapporteur dans l'audience publique du jour 9 Mars 2011 le doc. Savio Picone et les ouïes pour les parties les défenseuse avv.ti Vincenzo Caputi Jambrenghi, Ignazio Fulvio Mezzina, Domenico Colella, Antonio De Feo ;
Retenu et considéré en fait et droit ce qui suit.
FAIT
Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. empoigne les actes indiqués en épigraphe, avec lesquels l'Autorité Portuaire de Bari a d'abord approuvé l'avis de compétition et successivement disposé l'adjudication à la controinteressata G.S.A. Groupe Services Associés, pour la concession triennale des stations maritimes « San Vito » et « Terminal Croisières » du Port de Bari et des soi-disants services de support aux passagers « à j'emploie indifférencié et indivisible », en établissant aussi la destination transitoire d'autres structures portuaires et des soi-disants services « sur demande individuel » et des autres biens ayant de la potentialité remunerative (agences maritimes, exercises commerciaux, parkings, biens et installations amovibles de propriété de la récurrente, Station maritime ausiliaria).
Il déduit des raisons ainsi rubricati :
A) en relation à la décision d'accélérer les termes pour la partecipation : violation de la sentence dont à la sentence du Conseil d'État n. 4812 de 2009 ; violation des règles et des principes réglant la procédure serrée accélérée (art. 6 de la loi n. 84 de 1994 et artt. 70 et 227 du d. lgs. n. 163 de 2006 ; violation des règles du Traité CE dans craint pas de la discrimination, de la publicité et de la transparence ; violation de l'autovincolo et du principe de bonne marche ; sviamento et excès de pouvoir sous des multiples profils ;
B) en relation à la décision d'expulser immédiatement la société récurrente de la gestion des services « sur demande individuel » : violation de la sentence dont à la sentence du Conseil d'État n. 4812 de 2009 ; violation des règles et des principes réglant la confiance des adjudications et des concessions ; violation de l'autovincolo et du principe de bonne marche ; sviamento et excès de pouvoir sous des multiples profils ;
C) en relation à la décision de séparer la concession des soi-disants services de support aux passagers « à j'emploie indifférencié et indivisible » de ceux-là « sur demande individuel » : violation de la sentence dont à la sentence du Conseil d'État n. 4812 de 2009 ; violation des règles et des principes réglant la confiance des adjudications et des concessions ; violation de la loi n. 84 de 1994 et de règlement approuvée avec d.m. 14 novembre 1994 ; violation de l'art. 3 du r.d n. 2440 de 1923 et d'art. 37 du r.d n. 827 de 1924, violation de l'art. 36 cod. nav., violation du principe de bonne marche, sviamento et excès de pouvoir sous des multiples profils ;
D) en relation à la typologie d'inscription camerale demandée de l'avis de compétition : violation de l'artt. 41 et 42 du d. lgs. n. 163 de 2006, violation des règles et des principes dans craint de qualification pour la confiance des adjudications et des concessions ; violation du principe de bonne marche ; sviamento et excès de pouvoir sous des multiples profils.
Elles se sont constituées l'Autorité Portuaire de Bari et G.S.A. Groupe Services Associés société consortile, eccependo l'inammissibilità du recours et en demandant en tout cas le rejet.
Ils ont déposé acte d'intervention à adiuvandum les employés de Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. nommés en épigraphe.
L'instance de précaution a été partiellement accueillie avec ordonnance de cette Section n. 791 du 16 décembre 2009, qui a suspendu l'efficacité de la délibération n. 9 du 30 octobre 2009, dans la partie dans laquelle il dispose le relâchement du 1 janvier 2010 des agences maritimes, des exercises commerciaux, des parkings, des biens et des installations amovibles de propriété de la récurrente et de la Station maritime ausiliaria.
Enfin, les parties ont déroulé des défenses conclusives en vue de la publique audience du 9 Mars 2011, dans laquelle la cause est passée en décision.
DROIT
1. Brièvement, les faits.
Avec délibération n. 1 du 19 février 2009, l'Autorité Portuaire de Bari a annulé en auto-tutelle, parce qu'illégitimes, ses précédentes délibérations n. 5 du 16 juin 2004 et n. 6 du 28 Juillet 2004, ayant à objet la confiance directe qui dure vingt ans, à la d'aujourd'hui récurrente Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l., de la gestion de la station maritime, du terminal croisières et des services aux passagers.
En synthèse, le vice a été reconnu dans le fait que la confiance à Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. (société mixte, dont l'Autorité Portuaire toujours détient le 30% du capital) n'a pas été précédée d'une véritable compétition pour le choix des associés privés, mais seulement de j'avertis public pour les manifestations d'intérêt, prive pas seulement de ponctuels critères de choisie des associés, mais surtout de la nécessaire délimitation de l'activité à dérouler et de la durée de la confiance.
Dans la même donnée, le Président de l'Autorité Portuaire a adopté la mesure n. 1237, avec lequel il a sommé à la société la restitution des biens objet de la concession avant dix jours, au-delà de à de série de prescription dirigée à l'immédiate interruption des services déroulés.
Le recours proposé de Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. je contrecarre les susdits actes a été intégralement repoussé de Terza Sezione de ce Tribunal, avec sentence n. 440 de 2009, partiellement réformée en appel de la Sixième Section du Conseil d'État, avec décision n. 4812 de 2009.
Cette dernière, en particulier, a confirmé la légitimité de l'annulation en auto-tutelle décidée de l'Autorité, mais il a vice versa accueilli le doglianze de la société en ordre à l'acte présidentiel n. 1237 du 19 février 2009 (erronéement retenues absorbées dans la sentence de rejet de premier degré).
L'ordre de relâchement presque immédiat des biens et des activités contraste, en second lieu la décision d'appel, avec les principes de bon sens et de proportionnalité, considéré que l'annulation de bureau de la confiance a été disposée de l'Autorité au fin de procéder à travers ou plus de compétitions qu'elles ouvrent à la concurrence, et pour ne pas assumer en directe la gestion des structures portuaires et des services.
Né l'instantanéité du relâchement des biens est imposé de la mesure d'auto-tutelle, qui rien a remarqué à ce sujet, et au contraire, selon le juge d'appel, la possibilité d'attendre je surgis des nouveaux sujets est compatible avec les typiques effets de l'annulation de bureau, tenu même compte que dans quelque mode l'art. 21-nonies de la loi n. 241 de 1990 prévient d'adapter l'efficacité temporelle de l'acte d'auto-tutelle à la concrète situation de fait, qui en cas de surtout demande surgis d'autres entrepreneurs déterminés avec ou plus de compétitions à évidence publique, cela même pour défendre, en mode plus efficace, la confiance engendrée dans le bénéfiaciare de l'acte annulé et la certitude des rapports juridiques en être.
Avec citée il prononce, donc, le Conseil d'État a, d'un coté, définitivement confirmé la légitimité de l'annulation en auto-tutelle de la concession qui dure vingt ans au d'aujourd'hui récurrent et, de l'autre, il a annulé la mesure du Président de l'Autorité Portuaire, en faisant descendre « … l'obligation conformativo pour l'Autorité de programmer opportunement la détermination des nouvelles modalités de gestion, en procédant avec publique compétition et d'aménager je surgis à BPM du nouveau sujet ou des nouveaux sujets, en pouvant entretemps exercer chaque contrôle sur l'activité de BPM et même dicter prescription aptes à éviter s'instaurer de rapports incompatibles avec le caractère transitoire del'activité de BPM ».
2. Avec le recours à l'étude, Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. empoigne la délibération du Comité Portuaire n. de 9 du 30 octobre 2009 et tous les actes à elle annexes, parmi laquelle les lignes d'adresse pour la détermination des nouvelles modalités de gestion des stations maritimes et des services de support aux passagers, l'avis de compétition et le capitulé spécial, le schéma d'ordonnance sur la division des droits pour charges de sécurité et autres services d'intérêt général.
Esperita la compétition (à laquelle la société récurrente a participé en a.t.i avec la Lumineuse S.P.A. et Schiavone Salvatore & C. SNCs, en se classifiant quatrième), a été définitivement adjugée à la controinteressata G.S.A. Groupe Services Associés la concession triennale des stations maritimes « San Vito » et du « Terminal Croisières » et des services de support aux passagers « à j'emploie indifférencié et indivisible », avec délibération grevée au moyen de raisons adjointes et dans d'illégitimité dérivée.
3. Préliminairement, il doit être déclaré inadmissible l'acte d'intervention à adiuvandum déposé à l'occasion de la chambre de conseil du 16 décembre 2009 de quelques employés de Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. (d'Amelio et d'autres, énumérés en épigraphe), soit pour la circonstance de le sien omise notification à toutes les parties du jugement, place qui la jurisprudence a constamment retenu l'inammissibilità d'un acte d'intervention en cause contenue dans une simple mémoire non notifiée aux contreparties (cfr. Cons. Été, sez. V, 25 février 1997 n.199), soit parce que dans elles viennent des déduites raisons nouvelles et divergées de ceux contenus dans le recours principal, faces à agrandir irritualmente l'objet du jugement (cfr., parmi beaucoup, TAR Latium, sez. II, 19 février 2001 n. 1301 ; TAR Campanie, Naples, sez. V, 13 juin 2000 n. 2063).
4. En passant à je mérite, doit se procéder avec ordre à l'examen des censures avancées en tant que la récurrente, qui puisent des aspects distincts des mesures empoignées (d'une partie : l'avis de compétition et l'adjudication des services « à j'emploie indifférencié et indivisible » ; de l'autre, la régulation transitoire des services « sur demande individuel »).
4.1. En commençant en tant que le premier des profils en contestation, il est infondé et doit être repoussé motive plongeur), avec lequel il partent récurrent déplore l'illégitimité de l'abréviation des termes de la procédure serrée, à convoquée de l'Autorité Portuaire avec l'avis envoyé pour la publication dans les G.U.U.E dans donnée 4 novembre 2009.
En considérant la motivation de la délibération empoignée dans son complexe, elles sont dépourvues d'importance les considérations déroulées en tant que la récurrente sur affirmées des défaillances imputables à Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l.s, qui auraient concouru à justifier le choix de la procédure accélérée.
Pendant qu'elle est dépourvue de qualité la thèse de la récurrente selon laquelle le titre concessorio, annulé en auto-tutelle de l'Autorité Portuaire, conserverait efficacité en respect à combien à de statuito du Conseil d'État. Il doit en effet s'exclure que les délibérations de confiance de 2004 soient de quelque façon des survivants à l'exercise de l'auto-tutelle administrative ou bien gardent provisoire efficacité. La délibération n. 1 du 19 février 2009, qui même pour telle partie est sorti indemne des impugnative proposées devant ce Tribunal et au Conseil d'État, il disposait avec extrême clarté, entre autre, vraiment les caducazione des précédentes délibérations n. 5 du 16 juin 2004 et n. 6 du 28 Juillet 2004, ayant à objet la concession qui dure vingt ans à la d'aujourd'hui récurrente Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. de la gestion de la station maritime, du terminal croisières et des services aux passagers, ainsi que aux caducazione de l'acte formel de concession domaniale n. 3/2004.
Du reste, l'abréviation du terme par quinze jours était référée à la seule présentation des questions de partecipation, aux fins de la pre-qualification, de la phase qui Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. a réussi à dépasser sans obstacles. La compétition, en outre, a vu se confronter quatre concurrents, si bien que doit s'exclure que l'accélération ait concrètement prévenu la déroulement d'une comparaison compétitive.
Il est vrai que, selon un principe général applicable même aux procédures de concession de biens et services publics, l'Administration est tenue à donner à compte des raisons d'urgence qui justifient la réduction des termes, en se traitant aussi toujours de l'exercise d'une potestà discrétionnaire directement incident sur l'organisation de compétition et potentiellement nuisible pour la position des entreprises du secteur vous intéressez à la confiance (cfr. TAR Campanie, Naples, sez. I, 21 juin 2005 n. 8391).
Mais dans le fattispecie, à j'avertis du Collège, la justification du recours à la procédure accélérée (que loi à pag. 8 de l'avis de compétition) est congrue et exempte des vices dénoncés en tant que la récurrente.
L'Autorité Portuaire en effet a décidé de réduire les termes pour la présentation des questions, en considération de se prolonger des préjugés économiques liés à la phase transitoire, résultante de citée sentence du Conseil d'État n. 4812 de 2009, au déclaré fin d'atteindre en temps plus rapides les meilleures conditions contractuelles et des économiques offres du nouvel affidatario des services.
La persistance d'une gestion provisoire, suite à l'annulation en auto-tutelle de la précédente illégitime confiance directe des services, représente pour elle d'une fondation douée sûre et de manifeste importance, tel à justifier l'abréviation de la procédure de compétition.
Elle descend de combien de dicton l'infondatezza de la censure.
4.2. Également infondé il est motive plongeur C), avec lequel Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. conteste le choix gestionnaire assumé de l'Autorité Portuaire et vastement illustrée dans la délibération n. 9 du 30 octobre 2009, à savoir la séparation des soi-disants services de support aux passagers « à j'emploie indifférencié et indivisible » (adjugés à la G.S.A. Groupe Services Associés, avec les actes ici empoignés) de ceux « sur demande individuel » qui ont tu majores de la potentialité remunerative (agences maritimes, exercises commerciaux, parkings, restauration), destinés à être confié avec une ou plus de compétitions suivantes.
Dans la prémisse de la délibération (pag. 3), la décision est justifiée de considérations sur l'avantage économique et sur la qualité des services.
La récurrente, je réalise, semble ombrager suspecte que même dans futur les structures affectées à des services « sur demande individuel » seront concédées en service de l'Autorité Portuaire sans le respect des règles de l'évidence publique, mais beaucoup constitue une affirmation dépourvue de contrôle, puisque la délibération n. 9 de 2009 se limite, sous tel profil, à approuver l'avis de compétition pour les restant services indivisibles.
L'infondatezza de la censure est d'autre part confirmée des suivants événements, documentés en proximité de l'audience publique de la défense de l'Autorité Portuaire. Cette dernière en effet a donné couru, vraiment dans les premiers mois du 2011, aux procédures de compétition pour l'attribution des concessions relatives aux locaux destinés aux agences maritimes, aux exercises commerciaux, aux parkings.
Pour le reste, les contestations articulées de l'récurrent en ordre à la prétention irrationalité de la séparation entre les services indivisibles et les services plus rémunérés vous involgono tu profiles de pure opportunité de l'action administrative, confinés dans la sphère de je mérite et soustraits au syndicat du juge administratif.
Le recours, pour telle partie, doit par conséquent être repoussé.
4.3. Il a il y improcedibile motive plongeur D), avec lequel elle est censurée la prévision de l'avis de compétition (pag. 6), relative à l'inscription camerale prescrite pour la partecipation.
Bari Porto Mediterraneo s.à.r.l. a été en effet admise à la procédure serrée (en a.t.i avec autres entreprises) et, pour tel profil, il n'a pas intérêt à cultiver l'impugnativa.
4.4. Enfin, en confirmant j'avertis déjà sommairement exprimé dans la phase de précaution, doit être accueilli motive plongeur B), tourné contrecarre la délibération n. 9 du 30 octobre 2009, dans la partie dans laquelle il dispose que la société récurrente abandons dans le 1 janvier 2010 la gestion des agences maritimes, des exercises commerciaux, des parkings, des biens et des installations amovibles de sa propriété et de la Station maritime ausiliaria.
Les immédiate riappropriazione disposée de l'Autorité Portuaire ne résulte pas, en effet, justifiée de ces exigences de rétablissement de la légalité, qui ont été posées à base de l'annulation en auto-tutelle de la concession qui dure vingt ans en faveur de la récurrente et qu'ils a été jugé méritants de tutelle du Juge d'appel (on voie citée sentence n. 4812 de 2009 du Conseil d'État), dans vue de la nécessaire ouverture à la concurrence des services portuaires au moyen d'une ou plus de compétitions à évidence publique.
Et au contraire, en tombant en contraddittorietà et sviamento, avec la délibération empoignée l'Autorité Portuaire il en décide les contextuel riattribuzione dirigée aux plongeur-concessionaires qui actuellement en bénéficient, ainsi en posant dans le rien (au moins dans les immédiat) légitimes instances de rétablissement de la concurrence qui l'avaient poussée à annuler en auto-tutelle la précédente confiance directe qui dure vingt ans.
Vraiment la décision d'appel plusieurs fois rappelée avait éclairci que l'instantanéité du relâchement des biens n'est pas du tout impôt de la mesure d'auto-tutelle, qui rien a remarqué à ce sujet, et au contraire, la conservation de la gestion existante dans les mûres de surgis des nouveaux sujets est compatible avec les typiques effets de l'annulation de bureau, tenu compte que l'art. 21-nonies de la loi n. 241 de 1990 permet d'adapter l'efficacité temporelle de l'acte d'auto-tutelle à la concrète situation de fait.
En cas de surtout, ils devront surgir dans l'utilisation des biens et dans la gestion des services à l'usage autres entrepreneurs déterminés avec de ou plus compétitions à évidence publique, et jusqu'à cet instant il doit trouver adéquate défend la confiance engendrée dans le d'aujourd'hui récurrent, en n'y étant pas n n'y étant pas appéciables raisons pour permettre à l'Autorité Portuaire de riappropriarsi des structures seulement pour les réassigner à de hors des règles de la concurrence.
Pour combien de dicton, la position de la société récurrente doit être tenue arrête jusqu'à l'effective conclusion des procédures de compétition pour la confiance des biens et des services portuaires « sur demande individuel ».
La délibération n. 9 du 30 octobre 2009 est annulés en partie ici, là où dispose (pagg. 7 et 8, piqués donnent à) à f) du dispositif) que la société récurrente abandons dans le 1 janvier 2010 la gestion des agences maritimes, des exercises commerciaux, des parkings, des biens et des installations amovibles de sa propriété et de la Station maritime ausiliaria.
5. Les frais de procès peuvent être intégralement compensées, vue la réciproque soccombenza.
P.Q.M.
Le Tribunal Administratif Régional pour les Pouilles (Section D'abord) définitivement en prononçant sur le recours, comme en épigraphe proposé, en partie l'accueille, dans les sens dont en motivation, en partie il le repousse et en partie il le déclare improcedibile.
Il déclare inadmissible l'acte d'intervention d'Amelio et d'autres.
Des frais compensées.
Il commande que la présent sentence soit exécutée de l'autorité administrative.
Ainsi décidé en Bari dans la chambre de conseil du jour 9 Mars 2011 avec l'intervention des magistrats :
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