- Hier le Conseil Été, avec une sentence que nous publions de suite et que - comme on dit - semble destiné « à faire jurisprudence », a réformé la sentence n. 520/2012 du Tribunal Administratif Régional pour la Sardaigne sur la nomination de Piergiorgio Massidda à président de l'Autorité Portuaire de Cagliari en accueillant le recours n. 1054/2011 présenté de ordinaire de droit de la navigation Massimo Deiana pour l'annulation du décret du 23 septembre 2011 émis du ministère des Infrastructures et du Transport avec lequel Massidda a été nommée président de l'autorité portuaire sarde.
- Dans la sentence le Conseil d'État, en se rappelant à l'article 8 de la loi 84/1994 qui établit les critères de nomination des présidents des Autorités Portuaires, conclut que, « pour son histoire personnelle, dr. on. Massida ne pouvait pas certes avoir atteint la « … plus grande et prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports et portuaires » et était pauvre en racine de la qualité prescrite de la loi, pour laquelle il devait probablement sa nomination à ses capacités politicien-relationnelles (de député, de sénateur et de conseiller provincial, d'etc). En somme le sujet sélectionné, pas seulement possédait des diplômes entièrement étrangers à la matière, mais dans le sien aussi pluriannuelle expérience parlementaire s'était toujours intéressée des matières directement ou indirectement avec le sien il rendit capable professionnels et avec ses particulières compétences médicales ».
- Dans la sentence les magistrats du Conseil d'État se rappellent que Massidda « est une médical fisiatria, spécialiste en médicine esthétique de chirurgie esthétique reconstructrice et titrer d'un centre de réhabilitation ; il a été parlementer de 1994-2006 à la Chambre et de 2006 du 2010 au Sénat ; du mai 2010 et été élue même dans le Conseil provincial de Cagliari ; il a été composante soit à la Chambre qu'au Sénat respectivement de la Commission Affaires Sociales et Santée ; de la Commission d'enquête sur la Sécurité sociale Nationale, et de la Commission parlementaire pour l'enfance » en remarquant que « elle est évidente l'extraneité de sa parcours politicien-parlementaire aux compétences que le troisième alinéa de l'art. 8 de la loi 28 janvier 1994 n. 84 confie, parmi les autres, au président en matière d'impulsion, d'adresse, d'administration, de coordination, de contrôle et de gestion ; de plan opérationnel triennal, de plan régulateur portuaire, de budgets préventifs et de compte-rendu, de personnel, de concessions domaniales, de services portuaires ; d'aires et de biens du domaine maritime, de loyers domaniaux de navigabilité et de fonds, d'et cetera et cetera. »
- « Puisque dans l'espèce il ne s'agissait pas de la présidence d'une agence sanitaire ou associé -associé-assistanziale - ils expliquent les magistrats du Conseil d'État - on doit conclure pour l'illégitimité de la désignation du dr. on. Massidda : pour le manque d'un n'importe quel diplôme de toute façon impliquant la possession de compétences même génériquement raccordabili avec la matière ; pour l'extraneité au secteur des aussi vastes activités professionnelles, politiques et des parlementaires et qui ne concernaient pas du tout les secteurs de l'économie des transports ; pour la brièveté des expériences quel président de la VIII Commission Tu transportes (pour moins qu'un an) ou de cette de l'analogue structure prés de la Province de Cagliari, qui donc ne pouvaient pas certes faire présupposer l'obtention des compétences théoriques et pratiques demandes ».
| - N. 04768/2013REG.PROV.COLL.
- N. 08214/2012 REG.RIC.
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- RÉPUBLIQUE ITALIENNE
- AU NOM DE JE PEUPLE ITALIEN
- Le Conseil d'État
- en siège juridictionnel (Section Quatrième)
- il a prononcé le présent
- SENTENCE
- sur le recours nombre de registre général 8214 du 2012, proposé de :
- Massimo Deiana, représenté et défendu de l'avv. Silvio Pinna, avec je domicilie élu prés de Giorgio Carta en Rome, Bruno Buozzi, 87 ;
- contre
- -- Ministère des Infrastructures et des Transports, de l'Autorité Portuaire de Cagliari, représentés et défendus pour loi de la Profession d'avocat, domiciliée en Rome, des Portugais, de 12 ;
- -- Région Sardaigne, représenté et défendu de l'avv. Alessandra Camba, Sandra Trincas, avec je domicilie élu prés de Bureau de Représentation Région Sardaigne en Rome, Lucullo, 24 ;
- -- Chambre de commerce Se débrouille de l'Artisanat et de l'Agriculture de Cagliari, représenté et défendu de l'avv. Stefano Porcu, avec je domicilie élu prés de Cons. d'État, de Secrétariat en Rome, de p.za Chef de Fer 13 ;
- Commune de Capoterra, Administration Provinciale de Cagliari, Commune de Cagliari, Commune de Sarroch ;
- vis-à-vis de
- Piergiorgio Massidda, représenté et défendu de l'avv. Giovanni Contu, Matilde Mura, avec je domicilie élu prés de Giovanni Contu en Rome, Plus grand 154 ;
- pour la réforme
- de la sentence du T.A.R. SARDAIGNE - CAGLIARI : SECTION le n. 00520/2012, rendue parmi les parties, concernant nomination président de l'Autorité Portuaire de Cagliari
- Vus pourvu en appel et les relatifs annexes ;
- Vus les actes de constitution en jugement de Ministère Delle Infrastrutture Et des Transports et d'Autorité Portuaire de Cagliari et de Région Sardaigne et de Chambre de commerce Se débrouille de l'Artisanat et de l'Agriculture de Cagliari et de Piergiorgio Massidda ;
- Vues les mémoires défensives ;
- Visas tous les actes de la cause ;
- Rapporteur dans l'audience publique du jour 25 juin 2013 Cons. Umberto Realfonzo et ouïes pour les parties les avocats Silvio Pinna, l'Avocat de l'État Ranucci, Sandra Trincas, Maria Stefania Masini sur délégation de l'avocat Stefano Porcu et Matilde Mura ;
- Retenu et considéré en fait et droit ce qui suit.
- FAIT
- Avec la présente charge, l'appelant demande l'annulation de la sentence avec laquelle TAR de Cagliari, dans principal, a repoussé le recours direct contrecarre la procédure de nomination du Président de l'Autorité portuaire de Cagliari et, par conséquent, il a déclaré l'improcedibilità du recours incident du controinteressato.
- L'appel est confiée à la dénonciation d'une unique rubrique de charge, articulée en trois profils relatifs à la violation de l'art. 8 de L. 28 janvier 1994 n. 84, de l'art. 97 du Cost., et à l'erroneità et à la carence de la motivation de la sentence.
- La Profession d'avocat Générale de l'État s'est constituée en jugement pour le Ministère des Infrastructures et pour l'Autorité Portuaire de Cagliari, et a analytiquement réfuté les thèses d'une partie récurrente sur le relief fondamental pour lequel le choix du Ministre, de second degré (comme rappellé du Conseil d'État, Section Sixième n. 2551/2007) aurait été absolument discrétionnaire.
- On a constitué en jugement la Chambre de commerce de Cagliari, qui a eccepito l'inammissibilità des impugnazione de la triade pour défaut d'intérêt de l'appelant principal et, dans je mérite, a contesté ses affirmations en insistant que le rejet de l'appel.
- La Région Sardaigne ritualmente s'est constituée en jugement et a souligné comme l'appelant même serait dépourvue des qualités qui assument manquant en chef au controinteressato nommé. L'appelant principal, qui aurait en effet une compétence théorique serrée à la seule matière du « droit de la navigation », n'aurait pas eu quelque expérience pratique des details problématiques relatifs à l'« économie des transports et des ports » : à cas la Région n'avait pas nommé même un professeur ordinaire de droit commercial et social.
- Le controinteressato dr. on. Piergiorgio Massidda s'est constitué en jugement avec mémoire et a annexé recouru incidente avec laquelle il a reproposé le recours incident introduit en premier degré.
- L'appelant avec mémoire pour la discussion a contesté les défenses adversaires les a soulignées sa particulière capacité en matière.
- Avec la mémoire pour la discussion, appelé il a insistito dans ses argumentations.
- Appel à l'audience publique de discussion du 25 juin 2013, ouïes défenseurs des parties, la cause a été retenue en décision.
- DROIT
- 1. Il doit en premier lieu se pas accepter l'exception préliminaire introduite de l'appelant principal prof. Deiana pour lequel l'appel incidente serait inadmissible puisque, en n'étant pas n n'étant pas son nominatif état objet de choix ministériel, le dr. on. Massida n'aurait pas eu quelque intérêt à en demander l'annulation de la désignation du prof. Deiana.
- Au contraire, il est évident l'intérêt de procès de l'appelant incident, qui de l'éventuelle acceptation de sa charge aurait tiré l'utilité immédiate de priver de legittimazione l'appelant principal.
- 2. La Chambre de commerce eccepisce le défaut d'intérêt originaire de l'appelant principal à empoigner la désignation relative à la Massida puisqu'il serait un acte purement instrumental à la mesure finale de nomination et comme telle dépourvu d'une autonome capacité lesiva. En tout cas il assume ensuite la carence de legittimazione absolue de l'appelant puisque sujet de toute façon inséré dans la triade.
- Les exceptions vont toutes les deux repoussés.
- En premier lieu il s'observe que, au cas, il est de toute façon dirimente le fait qui ici a été empoigné même la définitive mesure de choix.
- Mais en tout cas, dans le domaine des plongeur-procédures de nomination caractérisées de la formation de triades de ayant titre, qui est ricompreso dans les mêmes a de toute façon un direct intérêt de procès à l'impugnativa immédiate des actes de désignation relativement à un autre sujet dont il assume la totale carence des qualités pour l'inclusion dans la triade pour l'autonomie subjective et objective de la plongeur-procédure en mot.
- En tels cas, l'intérêt de procès et substantiel en effet est relié au but d'éviter qu'un sujet totalement inidoneo finisse de toute façon pour lucrare illégitimement une position à laquelle ne pourrait pas aspirer pour carence des titres.
- 3. Pour des raisons d'économie de procès connexes à la coïncidence substantielle des profils, ils peuvent ensuite être examiné unitairement :
- -- l'exception, soulevée de la Région Sardaigne, de défaut de legittimazione et d'intérêt du prof. Deiana pour affirmée carence, en chef à prédit appelant, des qualités prévues de l'article 1 de L. n. 84/1994 : dans son C.V. elles ne résulteraient pas des expériences professionnelles qualifiées dans les secteurs « de l'économie des transports et portuaire » ;
- -- l'appel incidente de l'on. Dr. Massida avec lequel prédit controinteressato il a demandé, à son tour, l'annulation des désignations - relativement au nominatif du prof. Deiana -- de la Province de Cagliari, de la commune de Sarroch et de la Chambre de commerce il se débrouille et de l'artisanat de Cagliari.
- __3. 1. Appelé, avec un premier profil de la première doglianza, il assume qu'erronéement le Tar aurait déclaré improcedibile, pour survenue carence d'intérêt, son recours incident. Au contraire la contestation des legittimazione de l'intérêt à recourir du prof. Deiana, en étant prioritaire par rapport au recours principal, aurait rendu superflue la cognition de ce dernier.
- La Région Sardaigne avec son exception et appelant incident, avec selon profil de caractère substantiel, assument que le prof. Deiana, en ayant eu expérience seulement d'enseignement de « droit de la navigation », n'aurait pas eu expérience de caractère « pratique » en matière. Ses activités de consultation n'auraient pas complété une expérience « professionnelle » et ils n'auraient eu rien à que faire avec la gestion des activités portuaires, en concernant des secteurs pas pertinents à l'économie de transports maritimes et de la portualità.
- Les consultations indiquées dans le C.V. auraient par contre concerné thématiques et problématiques relatives à la « continuité territoriale », aux services aériens, aux refus et aux secteurs étrangers à l'article 8 L. 84, pour lequel on ne pouvait pas retenir complété la qualité prévue de la loi.
- Prof. Deiana serait inidoneo à la nomination parce qu'il n'aurait pas les titres qui le Président d'une Autorité portuaire devraient posséder, et ne posséderait en particulier pas :
- --particulières compétences sur toutes les problématiques économiques relatives aux systèmes et aux coûts réalisation et entretien des infrastructures, à l'utilisation des services je transporte, à l'analyse coûtes/bénéfiques des investissements ;
- -- approfondie expérience des aspects pratiques respectivement de caractère économique, concernant les adjudications publiques, les rapports avec les régions et les autres organismes territoriaux, la prédisposition des plans régulateurs portuaires etc tous thèmes qui seraient des étrangers au droit à la navigation.
- 3. 2. Avec une seconde analogue je motive de doglianza l'appelant incident déplore que l'art. 8 de L. n. 94 aurait dû être interprétés en se référant aux « expériences pratiques » et aux problématiques inhérentes la gestion de l'Autorité Portuaire et en ne pouvant pas se retenir utile l'exégèse et la systématique du droit de la navigation ou bien d'autres matières juridiques.
- 3.3. Tous les dictons tu profiles sont infondés.
- 3.3.1. Contrairement à quel ils voudraient la Région Sardaigne et l'appelant incident, de l'examen du C.V. du prof. Deiana se retrouvent pas seulement des titres didactiques, scientifiques et génériquement culturels mais particulières et considérables activités consulenziali en matière de concession de services portuaires, de personnel, de gestion des refus en vêtement portuaire, des thématiques sur les marchandises dangereuses, d'impôts sur l'escale des bateaux de plaisance, de concessions domaniales, d'et cetera et cetera.
- Il est donc évident que pour la prestation de particulières consultations à objectif prédéterminé dans le fin dans les secteurs de l'économie des transports et portuaire de cet art. 8 de la loi. 84/1994 est indispensable la possession des nécessaires compétences et les connaissances ses en matière.
- Sous autre profil on doit ensuite remarquer que prédites des consultations ils présupposent, en fait, une prestation professionnelle lequel -- si pas dans la forme -- il est entièrement analogue, dans la substance, à l'activité de gestion, comme exige pas seulement une complète maîtrise des organisations normatives, mais surtout il nécessite de la connaissance des problèmes, des dynamiques socioéconomiques, des concrètes réalités opérationnelles et des profils « pratiques » du secteur.
- Dans telle optique vainement les parties appelées assument que les connaissances du « droit de la navigation et des transports », constituerait l'exercise d'une pure compétence de caractère didactique fin à lui même. Elle a donc raison la Défense de l'appelant principal lorsque il se rappelle de que :
- -- le droit de la navigation embrasse de toute façon tous les aspects qui se rapporte au journalisme, les privatistici, commerciaux, communautaires, pénaux, qui intéressent la gestion portuaire de la réalisation des infrastructures, à la police portuaire, à la gestion des services, à l'usage, au personnel portuaire, à la sécurité, à et cetera et cetera.
- -- la même loi n.84/1994 qui concerne la gestion des infrastructures pour la navigation rentre dans la notion de droit de la navigation.
- Il s'agit d'une discipline qui jumelle soit des aspects qui se rapporte au journalisme qui attendent étroitement des privatistici de la navigation maritime, dans un domaine dont la discipline nationale, s'évanouit son importance en faveur des règles de caractère communautaire et international.
- Les activités des entreprises à l'oeuvre dans le secteur en effet je suis réglée en tant qu'un complexe de sources hétérogènes concernant les contrats d'utilisation des bateaux et des services portuaires, les activités accessoires, les ausiliarie et propédeutique aux entreprises de navigation, la remorque, le pilotage, les rapports intersoggettivi, la promotion du transport dans ses différentes formes, le contrat de transport, les ventes maritimes, les transports multimodali, la sécurité de la navigation et des transports, la prévention et les responsabilités en matière de pollution ambiante ; les récupérations, la responsabilité civile, et cetera et cetera.
- Tout thématiques concrètes rentrant dans la sphère d'action de l'Autorité Portuaire.
- Ce précisé, il est donc évident qui l'indubitable préparation scientifique du prof. Deiana avait été la raison même pour laquelle l'étaient vous avez été confiées les différentes consultations et que les mêmes consultations professionnelles constituaient des expériences professionnelles spécifiquement relatives aux problématiques d'une Autorité portuaire.
- Quant à affirmée carence de compétences sous le profil économique il suffirait à ce sujet rappeler à la consultation en matière de privatisation des compagnies de navigation publiques Tirrenia et Saremar ou de loyers et de tarifs pour l'utilisation des structures portuaires.
- Enfin, sous autre profil, les capacités en matière de l'appelant principal émergent indicativement même du fait que les diverses expériences pas seulement ont été confiées plusieurs fois dans un arc de temps décennal, mais surtout qu'elles aient été remplies sur tâche d'organismes différents (la quelle la même Région Autonome Sardaigne et l'Autorité portuaire de Cagliari, l'Autorité portuaire d'Olbia et de Golfo Aranci, Intermare Sarde - Saipen etc).
- 3.3.2. Sur la sillage des considérations qui précèdent il doit être repoussé même selon motive.
- Rappellées des expériences professionnelles montrent que la tentative de l'appelant incident d'insinuer une incapacité « pratique » du prof. Deiana, d'un coté, ne correspond pas à la réalité des choses et, de l'autre, il ne tient pas du tout compte qui, en matière portuaire, le droit de la navigation est le moyen de l'économie des transports.
- Profil gestionnaire est en effet directement conséquence de réglementation juridique de secteur, pour lequel elle ne vous est pas quelque antithèse parmi deux profils qui sont naturellement indissolubles, comme du reste montrent l'« international commercial terms », c'est-à-dire la série de termes juridiques utilisés dans le champ des importations et des exportations, valide dans le monde entier, qu'ils définissent en manière univoque et sans possibilité d'erreur, chaque droit et devoir qui revient aux divers sujets impliqués dans une opération de transfert international de biens (c.d incoterms).
- Avec cela on ne veut pas absolument affirmer que seulement un professeur de droit de la navigation peut être inséré dans les triades dont à L. n. 84/1994, mais qu'il ne peut certes pas en être automatiquement exclu si, outre l'expérience didactique, a mûri sur le champ une vaste expérience professionnelle en matière
- 3.4. En conclusion il doit se conclure que, sur la base des résultats curriculari - du reste incontestés -- le prof. Deiana était en possession de la qualité de la « … plus grande et prouvée qualification dans les secteurs de l'économie des transports il est portuaire… » demandé de l'article 8 de la loi 84/1994.
- L'exception de la Région va donc repoussée.
- L'appel incidente est parimenti infondée et doit être rejetée.
- 4. L'appel principale est confiée à deux raisons que, si toutefois logiquement joints, il apparaît opportun examiner partiement, en conformant l'un à des profils de caractère général, et l'autre au détail cas à l'étude.
- 4.1. Avec le premier profil l'appelant prof. Deiana déplore l'erroneità de la décision de TAR lequel :
- -- elle a qualifié comme « acte de haute administration » la nomination du Président l'Autorité Portuaire, en retenant que, dans l'espèce, ils auraient été respectés de l'administration les limites à l'exercise du pouvoir, posés de l'art. 8 de L. 84/1994 et a singulièrement affirmé que le dr on. Massida aurait été douée de la qualité de la maxime et prouvée qualification dans le secteur ;
- -- il a retenu la mesure exempte du doglianze que « … elles auraient été suggestivement déroulées en tant que le récurrent…. » et que sa question aurait par contre impliqué l'évaluation de « je mérite » du choix de l'administration ;
- -- il se serait rappellé d'un (pas mieux précisée) affirmation de ce Conseil d'État pour lequel il ne serait pas demandé né un particulière diplôme et né une parcours professionnelle puisque « … les compétences confiées à l'autorité portuaire et à son Président sont multiples et ne demandent pas seul connaissant de caractère technique… ».
- Au contraire, pour l'appelant la loi limiterait, dans primaire, l'interprète dans le sens de demander toujours de toute façon en le chef aux aspirants à la Présidence de l'autorité portuaire -- quel qui soient les particulière titres d'études possédées -- la possession de la maxime et prouvée qualification professionnelle des particulière secteurs de l'économie des transports et portuaire.
- En défaut de telle qualité il serait entièrement prévenu la possibilité d'accéder à la sélection de quo. En conséquence ils seraient illégitimes soit les actes de la désignation provenants des collectivités locales, de sujets pas en possession de prédite pregressa qualification sectorielle de degré elevé et soit de la nomination ministérielle. La règle poserait des limites de caractère substantiel à la faculté du Ministre de choisie du Président consistant dans la necessité qui désigné président soit de toute façon effectivement possession de la qualité technique de prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports.
- Sauf ne pas vouloir vider le porté substantiel de la loi, la nomination à Président d'autorité portuaire ne peut pas compter d'une partie nommé dans la possession d'une superlative qualification, pour laquelle la présence du thermes d'un sujet dépourvu de quelconque qualité doit se retenir irrémédiablement viciée.
- La thèse mérite d'être intégralement partagée.
- Doit se rappeller de que, en premier lieu, l'art. 8 de L. 28 janvier 1994 n. 84 prévoit testualmente que :
- « Le président est nommé, préalable accord avec la région intéressée, avec le décret du Ministre des transports et de la navigation, dans le domaine d'une triade d'experts de maxime et prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports et portuaire désignés respectivement de la province, des communes et des chambres de commerce, il se débrouille, artisanat et agriculture, la compétence de laquelle territoriale coïncide, dans tout ou en partie, avec la circonscription dont à l'article 6, alinéa 7. … « (ainsi le premier alinéa, et en termes absolument identiques même le suivant alinéa 1 bis).
- L'art. 8 alinéas 1 et 1 bis, l. n. 84 de 1994, dans son contenu littéral et lexical, avec pesé « triade d'experts » - il veut limiter le pouvoir de nomination du Ministère le choix duquel sélectif doit se produire parmi une pluralité de noms tous en possession de prescrits des qualités pour l'exercise des tâches au sommet de l'autorité portuaire.
- La règle configure le pouvoir ministériel de nomination du Président de l'Autorité Portuaire à la stregua des plus hauts niveaux de responsabilité des appareils technicien-bureaucratiques publics, qu'il permet de reconduire le fattispecie au lit vraiment du c.d. « haute administration », puisqu'elle est une mesure :
- -- qu'il ne nécessite pas d'une évaluation comparative parmi les autres aspirants, en se rendant nécessaire que soit prouvée seulement la possession de prescrits des qualités ;
- -- qu'il est informé à des critères eminentement fiduciaires en étant de toute façon à de l'expression complexe de la potestà d'adresse et de gouvernement des différentes autorités préposées aux administrations mêmes ;
- -- qu'il présuppose seulement la préalable définition de sujets déterminés en raison de la possession des titres spécifiquement indiqués de la règle ;
- -- que toutefois aussi il est toujours assisté des garanties générales et des limites ses des actes administratifs, en étant aussi toujours tourné au soin et au perseguimento des intérêts publics.
- Comme mesure de « haute administration » n'est pas donc acte entièrement soustrait au contrôle juridictionnel en ordre à la subsistance des relatives fondations prévues de la loi ou dans les cas de manifeste carence et caractère exorbitant du choix en concret actionné (cfr. Conseil Été sez. VOUS 18 avril 2007 n. 1783).
- L'indubitable « fiduciarietà » de la nomination ne peut pas donc être ancrée à des critères personnels, amicali ou d'activité partitica (dans une levée de « confiance cum ami » entièrement étranger à l'originaire schéma romanistico).
- Son choix ne peut pas de toute façon concerner un sujet, qui si toutefois désigné des collectivités locales, ne soit pas réellement un expert « en possession de la maxime et prouvée qualification » en étant évidente « … le but de la règle d'assurer une apte aire de choix sélectif de prédite Autorité » (cfr. Conseil d'État sez. VOUS 21 mai 2007 n. 2551).
- À ce sujet entièrement erronée elle est l'emphatique assertion de Primo Giudice pour lequel le Président de l'Autorité Portuaire n'est pas un dirigeant technicien-administratif comme la multiplicité des compétences confiez-lui « ne demandent pas de seules connaissances de caractère technique ».
- La connaissance de caractère technique est en effet une condition absolument nécessaire, ancorché n'épuisent pas les compétences ici demandée vraiment des perches « le Président, en synthèse, est posé au sommet d'une complexe organisation qui voit impliqués, et des sujets à sa coordination, même organes franchement d'état (préside, entre autre, le comité portuaire dont font partie le commandant du port et, en représentation des Ministères des finances et des travaux publics, un dirigeant des services douaniers et un du bureau spécial du génie civil), et il lui est assigné un rôle fondamental, même de caractère propulsif, pour que le port absolve à sa fonction (d'importance internationale ou nationale, seconde la classe d'appartenance), de toute façon intéressante l'économie nationale (ainsi la Cour Constitutionnelle dans prononce en séance de conflit d'attribution du 7 octobre 2005 n. 378, improprement rappelée même de TAR).
- À ce sujet si aussi l'expression « expert » résulte connotée d'une indubitable ambiguïté semiologica, cela n'enlève pas que l'interprétation correcte de la règle impose que, en matière, les sujets désignés doivent nécessairement être en possession d'une particulière qualification culturelle, théorique et prativa dans les matières indiquées de la loi.
- Dans telle perspectif, même si l'art. 8, l. n. 84 du 28 janvier 1994 il ne demande pas né un particulière diplôme et né une particulière parcours professionnelle de caractère juridique ou technique, économique et cetera et cetera est de règle nécessaire la possession d'une licence jointe, semblable, reliée ou la collegabile avec la matière portuaire pour pouvoir se définir expert du secteur.
- Telle indispensable qualité culturelle apparaît un élément absolument nécessaire pour la démonstration d'avoir une parcours professionnelle tel de pouvoir être qualifiée comme « expert » de maxime et prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports portuaires. La possession d'un certain bagage culturel je spécifie du secteur constitue un élément indispensable pour la démonstration de la « expertise » demandé.
- En tels cas la désignation dans le thermes et la suivante nomination d'un sujet dépourvu des qualités culturelles et de l'expérience professionnelle prescrits en mesure la plus grande doit donc se retenir irrémédiablement illégitime.
- D'ici l'erroneità de la sentence dans la partie dans laquelle il a retenu que le formel respect de la séquence procedimentale était suffisant à compléter le fattispecie substantiel prévue de la loi, et qu'il va conséquemment réformée sur le point.
- 4.2. Avec selon je motive se plaint que, erronéement, le Tar aurait affirmé, en conséquence, qui la question judiciaire du prof. Deiana aurait impliqué une évaluation de mérite des choix de l'administration, comme d'aujourd'hui appelant on était limé à affirmer l'absolue absence en chef au dr. on. Massida du détail qualité de plus grande compétence sectorielle prévus de la loi.
- Le Tar a expéditivement retenu suffisant l'expérience parlementaire mûrie de 1994 pour un total de cinq législatures, d'appartenance à la Commission Affaires Sociales et de Santée et, soit aussi pour un bref temps la Présidence de la Huitième Commission Travailles Publics, de Transports et de Communications ; et sa présence quel conseiller de la province de Cagliari et de composante de la relative commission tu transportes.
- Même à vouloir admettre dans théorique la subsistance d'expériences professionnelles du dr. on. Massidda dans les secteurs de l'économie des transports, on ne peut pas affirmer que telle expérience auraient rejoint cette de degré plus grand, demandé l'art. 8, l'alinéa premier de L. 84/1994.
- À ce sujet, les différents dessins de loi ou les amendements dont il a été signataire n'avaient pas eu quelque suivi et de toute façon la relation ou la rédaction des dessins de loi présupposeraient une minimum connaissance du premier objet de l'intervention. Insignifiant il serait ensuite annexe B du C.V. avec lequel ils ont été enregistrés génériquement les aptes parlementaires auxquels, dans les 17 ans, appelé a participé (même comme simple voter) vu que elle serait une thèse aberrante soutenir que, participer aux votes de mesures, à. es. sur la justice, ferait d'un parlementaire un juriste expert.
- Même la Présidence de la commission Tu transportes - seulement de Mars au juin 2011 -- elle n'a pas été certain proportione de sa pregressa qualification ou expérience professionnelle dans le secteur, mais au contraire elle s'est produite pour des évaluations exclusivement politiques, et aurait été vraiment conclue à faire acquérir un semblant de compétence pour pouvoir ensuite justifier empoignée de la désignation à l'autorité portuaire.
- Analoguement, l'activité de Président de la Commission Tu transportes de la Province aurait duré quelque mois (du 24 septembre 2000 au juin 2011) et de toute façon les compétences de la Province en matière seraient pas mal modestes.
- Il se serait agi d'une artificielle tentative d'acquérir quelque modeste titre formel d'une inexistante compétence.
- Des telles circonstances n'auraient pas été absolument considérables puisqu'ils montreraient l'implication politique des organismes territoriaux dans les « governance » du port, et ne serait pas certain indice de compétence du candidat.
- Déraisonnablement le Tar donc aurait affirmé que l'expérience médical de fisiatra, parlementer ou de conseiller provincial fosses pour lui apte de faire mûrir en chef au même la qualité de plus grande capacité, en étant évidente le manque de la qualité professionnelle demandée de l'art. 8, premier alinéa de L. n. 84/1994 pour l'accès à la sélection pour l'attribution de la charge en question.
- D'ici l'illégitimité des actes de désignation empoignés pour carence des qualités minimums professionnelles et de la conséquent choisie du Ministère.
- La thèse mérite d'être intégralement partagée.
- En premier lieu, comme il sera mieux évident en suite, il doit s'exclure que la négation en racine de la nécessaire et indispensable compétence d'un sujet conforme à une évaluation de mérite du choix administratif et donc il se résolve dans un dépassement de la limite même de la jurisdition.
- En effet ici il est en contestation, en premier lieu, la fondation demandée de la loi pour la formation de la triade.
- Si, comme visa, le choix du Président de l'Autorité doit être des actes dans le domaine de la catégorie de sujets en possession des titres particulière, il vérifie de telle fondation conforme spécifiquement au profil de la légitimité de la procédure et de toute façon il constitue profil symptomatique de l'excès de pouvoir dans le domaine du syndicat sur le bon sens, ou moins, du choix actionné,
- Dans je mérite, on doit ensuite différer de l'opinion du premier Juge pour lequel la fonction de parlementer ou de conseiller provincial ex le pouvait faire compléter la qualité - plusieurs fois rappellé - de la maxime et prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports et portuaire « ex art. 8 de L. n.84 cit.
- La fonction parlementaire, en général, de pour elle elle n'implique pas quelque activité et responsabilité, de contenu professionnel ou gestionnaire. Par conséquent il doit s'exclure son automatique utilité aux fins pour lesquelles elle est cause, comme affirme apoditticamente TAR.
- Ce fait toujours sauf le cas dans lequel, outre la possession de diplômes de toute façon spécifiquement des professionalizzanti, recoure même la déroulement d'une considérable, prolongée et spécifie de l'activité du parlementaire dans les secteurs de l'économie des transports et portuaire.
- Mais il n'est pas celui-ci le cas à l'étude puisque le sujet sélectionné du Ministre :
- -- elle est une médical fisiatria, spécialiste en médicine esthétique Chirurgie esthétique Reconstructrice et titrer d'un centre de réhabilitation ;
- -- il a été parlementer de 1994-2006 à la Chambre et de 2006 du 2010 au Sénat ;
- -- de Maggio 2010 et été élue même dans le Conseil Provincial de Cagliari.
- -- il a été composante soit à la Chambre qu'au Sénat respectivement de la Commission Affaires Sociales et Santée ; de la Commission d'enquête sur la Sécurité sociale Nationale, et de la Commission parlementaire pour l'enfance ;
- -- il a présenté divergés DDL. en matière de Sécurité sociale dans les pénitentiaires ; de protection sociale des âgés pas indépendants ; de lutte à la pédophilie ; de séquestrations de personne ; de je développe des îles mineures ; de soutien des malades d'Alzheimer ; malades chroniques et d'invalides ; de trombofiliaci ; d'âgés incontinents et stomizzati ; des talassemici ; de soins palliative domiciliari pour les patients terminaux de cancer ; de médicine pas conventionnelle et de fitoterapia ; et cetera et cetera. (comme annoncé de son même site du web (immédiatement et généralement accessible sur le réseau).
- Elle est évidente l'extraneité de sa parcours politicien-parlementaire aux compétences que le troisième alinéa de l'art. 8 de L. 28 janvier 1994 n. 84 confie, parmi les autres, au Président en matière d'impulsion, d'adresse, d'administration, de coordination, de contrôle et de gestion ; de plan opérationnel triennal, de plan régulateur portuaire, de budgets préventifs et de compte-rendu, de personnel, de concessions domaniales, de services portuaires ; d'aires et de biens du domaine maritime, de loyers domaniaux de navigabilité et de fonds, d'et cetera et cetera.
- Pour son histoire personnelle, dr. on. Massida ne pouvait pas certes avoir atteint la « … plus grande et prouvée qualification professionnelle dans les secteurs de l'économie des transports et portuaires » et était pauvre en racine de la qualité prescrite de la loi, pour laquelle il devait probablement sa nomination à ses capacités politicien-relationnelles (de député, de sénateur et de conseiller provincial, d'etc).
- En somme le sujet sélectionné, pas seulement possédait des diplômes entièrement étrangers à la matière, mais dans le sien aussi pluriannuelle expérience parlementaire s'était toujours intéressée des matières directement ou indirectement avec le sien il rendit capable professionnels et avec ses particulières compétences médicales.
- Puisque dans l'espèce il ne s'agissait pas de la présidence d'une agence sanitaire ou associé -associé-assistanziale on doit conclure pour l'illégitimité de la désignation du dr. on. Massidda :
- -- pour le manque d'un n'importe quel diplôme de toute façon impliquant la possession de compétences même génériquement raccordabili avec la matière ;
- -- pour l'extraneité au secteur des aussi vastes activités professionnelles, politiques et des parlementaires et qui ne concernaient pas du tout les secteurs de l'économie des transports ;
- -- pour la brièveté des expériences quel président de la VIII Commission Tu transportes (pour moins qu'un an) ou de cette de l'analogue structure prés de la Province de Cagliari, qui donc ne pouvaient pas certes faire présupposer l'obtention des compétences théoriques et pratiques demandes.
- Pour les mêmes raisons il est illégitime le choix du Ministère qui, dans l'exercise de son pouvoir latamente discrétionnaire, aurait dû à évaluer les désignations et de front à un profil curriculare qu'ictu oculi devait faire exclure qu'on était en présence des compétences dans les secteurs de l'économie des transports et dans celle spécifiquement portuaire, des demandes au « degré plus grand » aurait dû demander une ultérieure triade de candidats.
- En conclusion elle est donc évidente l'erroneità de la décision empoignée qui, même relativement à des prédits des profils, doit être réformée.
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