- La Fédération Maritimes (Federmar) sollicite le gouvernement à s'activer pour promouvoir l'embarquement des Élèves officier en maintenant ainsi foi à son engagement tourne à la croissance de l'occupation, en particulier de celle juvénile. Le secrétaire national de l'organisation syndicale, d'Alessandro Pico, a souligné que les Élèves officier « jeunes je suis désespérée recherche d'un embarquement au fin à effectuer aux premiers douze mois de navigation nécessaires pour l'aquisition du titre professionnel. En 2003, avec le décret législatif n. 344 du 12 décembre - il s'est rappellé de Pico - était institués la « tonnage-Tax », un régime fiscal très favorable au bénéfice des entreprises maritimes, qui, toutefois, devaient être soumis à une série de tâches, parmi celles-ci l'obligation (art. 157 alinéa 3) de formation des « cadets » (Élèves officier) en second lieu modalité à s'établir avec un suivant décret de par sa nature pas réglementaire de la part du ministère de l'Économie et des Finances. Le 23 juin 2005 elle voyait la lumière la mesure dans argue, là où, à l'art. 7 alinéa 3, était confirmée l'embarquement d'un Élève officier à bord de ciascuna des bateaux sujets à la tonnage-Tax. Malheureusement - il a remarqué Pico - au ministère ils ne devaient pas avoir les idées très claires sur ce qu'elles étaient les exigences des diplômés nautiques qui désiraient entreprendre la carrière de la mer (parmi celles-ci, la péremptoire qualité des douze mois de navigation avant de soutenir l'examen pour le titre professionnel) et, très probablement même derrière pression des associations des armateurs, il venait statuito que, en alternative à l'embarquement, les entreprises pouvaient verser au Fond National Maritimes importe annuel pour chaque Élève pas embarqué à destiner aux frais pour leur formation, importe ensuite fixé avec décret 17 décembre 2008 du ministère des Infrastructures et des Transports en 22.732 euro annuels à ajourner sur la de base des index Istat de variation des prix. Le résultat de telle option - il a dénoncé le représentant de Federmar - a été que, sauf peu d'exceptions, presque toutes les entreprises armatoriali qui se servent de la tonnage-Tax ont préféré, pour avantage administratif, monetizzare l'obligation de la formation des diplômés nautiques, en enlevant cependant de telle manière j'embrasse vital pour leur départ dans le monde du travail maritime ».
- Selon Federmar, « considéré que les entreprises de navigation déjà soutiennent une charge pour la formation de chaque Élève qu'elles n'embarquent pas, charge suffisante pour la couverture annuelle de la rétribution de tel qualifie initial, et en outre que la formation du futur navigant a toujours été accord celle effectuée dans la pratique de bord pendant la période d'embarquement », pour promouvoir l'embarquement des Élèves officier « serait suffisante que le ministère de l'Économie modifiait son décret du 23 juin 2005, simplement en rayant les six lignes de l'art. 7 alinéa 3 qui donnent la faculté aux entreprises d'opter parmi embarquement et monetizzazione. De telle manière, sans quelque coût additionnel pour les entreprises - il a expliqué Pico - les garçons sortis en tant que les Nautiques seraient facilités dans trouver emploi à bord des bateaux, accomplir demandé stage pour entrer en possession du titre professionnel et, enfin, avoir une sûre garantie d'occupation pour le futur de l'instant qui reste une elevée carence d'officiers dans toutes le marinerie du monde ».
- Pico a accusé le gouvernement « de rester coupablement absent » « sur cette matière, comme ailleurs pour les graves problèmes occupationnels qui affligent les maritimes italiens, aussi en présence de milliers et milliers de postes de travail couverts cependant avec travailleurs extracommunautaires ».
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