Spediporto, plus que regarder seulement à la Chine nous préparons le système portuaire génois à se confronter avec l'économie globale
Pitto : « notre intention est cette d'appliquer le principe des Trade Connectivity »
29 März 2019
Le vent d'orient qui dans les derniers jours est expiré fort de ces parties porté de la visite en Italie du président des chinois Xi Jinping, avec le mémorandum of understanding paraphé des gouvernements des deux nations pour collaborer dans le domaine du projet chinois de la Nouvelle de la Soie qui a soulevé des attentes, appréhensions, discussions ainsi que préventives illusions et déceptions, n'a pas encore cessé d'agiter les rameaux du monde politique et de cela d'entrepreneur italien, les deux ancre incertains sur quoi Palazzo Chigi ait vraiment soussigné, ou bien qu'est-ce que on il s'est engagés à faire et si on il s'est vraiment engagés à faire quelque chose, et si les chinois sont venus à porter de l'argent sans rien demander en échange ou si par contre il y ait des sournoises mires à s'approprier d'infrastructures stratégiques pour leurs commerces plus que pour les nôtre.
Un vent qui ancre agite même le président de la Région Ligurie, Giovanni Toti, fort cependant de deux antithétiques sécurités. En intervenant aujourd'hui dans le chef-lieu ligurien à l'assemblée de l'association des expéditionnaires génois Spediporto, Toti il a affirmé que les accords avec la Chine « sont des bulbes que j'espère deviennent des fleurs ». De la brise printanière portée de Jinping le président de la Région il s'attend donc que vite il s'entrouvre des pétales et éclosent des gemmes. À orient il se lève les seules, mais il est d'orient qui monte même l'obscurité. Et peut-être Toti craint que l'effusion de pétales, comme dans l'histoire souvent est arrivée, puisse annoncer les pas d'une tyrranie : « ceci - il s'est hâté à préciser - ne veut pas dire une cession de souveraineté ».
Il a mis les mains en avant pures le maire de Gênes, apparemment moins enthousiaste de l'accord signé peu de jours il y à avec les chinois déjà alors en précisant que d'une partie italienne on ne vend rien : « nous ne voulons pas travailler à tout prix avec les chinois » - il a dit aujourd'hui Marco Bucci dans le domaine de l'assemblée de Spediporto, en spécifiant que la provenance des investisseurs n'intéresse pas. Même quelques entrepreneurs semblent la penser ainsi : s'il n'y a pas des idées univoques sur les scènarios géopolitiques ou stratégiques, sur lesquels n'importe qui a quelque chose à dire, sur les opportunités offertes des chinois Belt and Road Initiative (BRI) l'interrogatif est un seul, ou bien s'il portera de l'activité et de l'argent ou bien non.
Il est évident qu'une association comme cette des expéditionnaires génois il ne puisse pas ne pas se confronter avec une proposition comme le BRI, en évaluant les possibles opportunités et les éventuels désavantages. Si la Chine est vue évidemment comme un partenaire commercial avec lequel il est juste se comparer, toutefois Spediporto semble préférer une approche plus pragmatique : préparer au mieux le système maritime-portuaire génois et ligurien pour affronter les possibles futurs scènarios des échanges commerciaux mondiaux.
Dans sa relation à l'assemblée, le président de Spediporto, d'Alessandro Pitto, s'est rappellé de que les planches portantes de la liaison des économies nationales à celle globale sont le « Maritime Connectivity », le « Port Efficiency » et la « Métropole Connectivity », trois asset stratégiques - il a expliqué - qu'il est nécessaire de réunir dans le concept de « Trade Connectivity ». Notre intention - il a ajouté - est cette d'appliquer le principe des Trade Connectivity dans son triple expression en l'augmentant la puissance avec des ultérieurs éléments : « Automation Technology », « Digitalization » et « Internet of Things », tout certificabile à travers une « KPI Application ». « Nous voulons - il a éclairci Pitto - un concept divergé de portualità qui pose au centre la marchandise et la satisfaction des clients, en valorisant la filière globale des services. Intérieur à ces nouveaux modèles de « connectivity and performing » doit être cependant baissé un mécanisme de certification du port ».
Pitto a en outre demandé à des opérateurs et à des institutions de travailler ensemble à un « Bold Plane », un plan ambitieux - il a expliqué - qu'il valorise même la Valpolcevera, la vallée traversée du viaduc de l'autoroute Pont Morandi écroulé l'août passé, « en la convertissant à des activités logistiques 4,0 »
Si les institutions portuaires font à compétition pour que les escales qu'elles administrent soient incluses dans la gigantesque opération qui Pékin a annoncé cinq ans il y à avec le but déclaré de promouvoir la coopération régionale et renforcer la coopération bilatérale, Spediporto propose plutôt de préparer les ports italiens, à partir de celui de Gênes, à affronter les défis de l'économie globale, qui viennent de la Chine ou de l'ailleurs.
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