- Pour développer les potentialités du port de Koper et de l'entier secteur de la logistique de la Slovénie il est nécessaire de réaliser une nouvelle liaison ferroviaire entre l'unique port slovène et la moderne ligne ferrée de Divaccia. Il le souligne une étude commandée de Luka Koper, la société qui gère l'escale portuaire, à l'institut L.I.F.E. (Ljubljanski Institut za Finance en Ekonomijo) dans le domaine du projet européen INWAPO, qui voit comme capofila l'Autorité Portuaire de Venise et qu'il a le but d'activer les potentialités inexprimées du transport fluvial dans l'Europe centrale sur la de base du système portuaire nord-adriatique, constitué des ports de Venise, de Trieste et de Koper, du système de ports fluviaux du Danube, formé des escales de Vienne, Budapest, Bratislava, Komarno et Sturovo, et du système des voies fluviales tchèques et polonaises constituées des systèmes de l'Elbe, de la Vistola et de l'Oder, avec de l'étendue à i ports baltes.
- L'étude, mené des Joze P. Damijan, professeur d'Économie à l'Université de Lubiana, présente trois scènarios : un pessimiste, un optimiste et scènario de je développe réaliste. Ce dernier prévoit que le trafic des marchandises mouvementé du port de Koper croîtra en moyenne du 4% tous les ans pour rejoindre les 30 millions de tonnes annuelles dans le 2030, pendant qu'il est attendu entretemps le doublement du volume de marchandises transportées pour ferroviaire qui montera à 20 millions de tonnes. Particulièrement consistant il sera l'augmentation du transport containerizzato, qui dans le 2030 représentera le 53% de l'entier trafic des marchandises.
- L'enquête explique que prévu je développe du trafic des marchandises déterminera l'engorgement de l'actuelle ligne ferroviaire à rail unique koper-Divaccia dans le 2018 et que, si la ligne ne sera pas doublée, le trafic marchandises en excès sera dérouté vers les routes slovènes ou les chemins de fer italiens.
- L'étude menée de Damijan analyse trois possibles versions de développe des infrastructures de transport qui relient le port de Koper avec sa métropole continentale. Le premier scènario comprend une nouvelle ligne ferroviaire directe qui relie Koper avec Trieste ; la seconde ne prévoit pas quelque investissement en infrastructures ferroviaires, pendant que le troisième scènario prévoit la construction d'une seconde binaire parmi Koper et la ligne principale à Divaccia. L'étude souligne que, sur la de base de simulations, le second scènario résulte moins avantageux : sans la construction d'une nouvelle il trace ferroviaire, en effet, tous les flux commerciaux supplémentaires seraient nécessairement des reindirizzati sur le réseau routier, avec un impact négatif sur l'ambient (émissions en atmosphère, bruit, incidents, bouches, dégradation des routes, etc) qu'il est cinq fois supérieur par rapport à celui déterminé des marchandises transportées sur rail et avec des coûts additionnels jusqu'à 1.3 milliardes d'euro. Avec le premier scènario, l'éventuelle construction d'une nouvelle ligne koper- Koper-Trieste comporterait une réduction des coûts extérieurs sociaux, mais du reindirizzamento des flux commerciaux à travers un réseau ferroviaire étranger (italien) constituerait une mauvaise solution pour la Slovénie selon une perspectif stratégique à long terme : il causerait en effet la perte d'entrées potentielles pour les opérateurs slovènes du transport ferroviaire des marchandises comprises parmi 166 et 538 millions d'euro, une perte de revenu potentiel de 23-77 millions d'euro pour la société nationale qui fournit à l'infrastructure ferroviaire ainsi que la perte des opportunités offertes d'une nouvelle infrastructure ferroviaire (pour importe estimé de 398 millions d'euro). L'étude remarque le détail attention qui devrait être poste vraiment sur la perte de potentielles activités économiques développées de l'augmentation des volumes de marchandises qui passent à travers la Slovénie et sur la conséquente perte de potentiels postes de travail.
- L'étude observe que, au cas où la seconde trace ferroviaire koper-Divaccia ne devait pas être réalisée, vous est le risque concrétise que les flux de marchandises viennent reindirizzati du port de Koper au port de Trieste, qui pourra se servir de la nouvelle ligne ferroviaire à haute vitesse Pontebbana.
- Même d'une partie de Triestre, cependant, il y a la crainte de ne pas cueillir les opportunités de développe offertes de prévu augmentation du volume de marchandises qui aboutira aux ports du Nord Adriatique. En intervenant hier à la Chambre de commerce d'Udine à une rencontre sur il craint de la « Logistique et développe local : opportunité et défis pour le Friuli Venise Julie », l'assesseur régional aux Infrastructures Riccardo Riccardi a souligné que « pour une logistique moderne et complétée dans une vision plus vaste que celle étroitement régionale ils doivent être faites des choix courageux et pas plus de rinviabili ».
- L'interrogatif qui faut je tendre - en second lieu l'assesseur de la Région Friuli Venise dont Julie - est « à quelles conditions une aire, le Friuli Venise Julie est une partie, est en mesure d'attirer des investissements ». « Certes - il a remarqué Riccardi - nous avons des conditions naturelles qui nous aident (position géographique barycentrique, fonds de la mer, le chemin de fer Pontebbana technologiquement avancée), mais - il a ajouté - ils ne sont pas suffisants : pour permettre aux entreprises il sont sur le marché sert même une logistique à la hauteur et ceci est force que nous devons faire ».
- L'assesseur régional a en outre posé les accents sur développe de l'aire méditerranéenne dans son complexe, sur la necessité qui il y ait parité de conditions parmi l'Italie et les Pays limitrophes (chose qui concerne directement le Friuli Venise Julie) pour éviter la fuite des entreprises, sur la spécialité de la région qui doit être vue comme moyen dans une optique plus vaste et qu'il concerne tout le Nord Italie.
- Riccardi a remarqué qu'il faut « éviter les divisions qui nous caractérisent et qu'ils risquent de poser en seconde doucement la planche Adriatique par rapport à celui du Thyrrénien où ils sont tous unis ; éviter pour le Friuli Venise Julie l'effet tunnel, ou bien éviter que les trafics nous petit pas sur ; il faut poser dans être tous ces investissements pour le réseau de l'autoroute et pour le réseau ferroviaire (mais pour les chemins de fer le problème est politique : il faut décider qu'est-ce que faire pour rendre plus efficace et moins pénible le trafic ferroviaire) en mesure de relier de nous en mode efficace avec le reste d'Italie et avec l'Europe. En somme - il a conclu - nous devons poser dans être toutes ces mesures utiles à nous rendre compétitives ».
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