- Le président de la Région Friuli Venise Julie, Debora Serracchiani, avec une lettre au quotidien « le Petit » de Trieste, a relancé la campagne électorale pour la nomination du nouveau président de l'Autorité Portuaire de la ville giuliana qui assumera la tâche actuellement recouverte de Marina Monassi. « Trop temps - il a dénoncé Debora Serracchiani - est passé sans qu'au port de Trieste il était imprimé l'impulsion nécessaire de rendre concrètes et actuelles ses potentialités, de tous reconnues. Nous sommes maintenant face à l'opportunité de remettre notre port dans les conditions de regagner ce temps perdu. Le rechange de la gestion de l'Autorité portuaire est un des éléments qui peuvent contribuer en manière décisive à changer pas. Tel passage doit se produire en conscience qui ne s'agit pas d'un fait local et îlot, mais d'un tasseau qui implique même la nomination de toutes les autres Autorités Portuaires en échéance ».
- Selon le président de la Région, « le raisonnement donc doit être avant tout stratégique et global, et doit tendres compte des indications de la réforme qui dans son noyau a déjà identifié l'idée guide de région-région. Un sujet c'est-à-dire fortement connexe avec son territoire, ou bien infrastructures de liaison déjà présentes, t'interposer et surtout la relation serrée avec l'tissée industriel de la métropole qui, pour moi, signifie couvrir une aire etendue qui inclut les zones industrielles d'Udine, de Pordenone et de Gorizia et qu'évidemment il fait synergie avec Monfalcone et Porto Nogaro ».
- Serracchiani a rejeté in toto le mandat de Marina Monassi à la guide de l'organisme portuaire : « en tout cas - il a remarqué le président de la Région - le point sur laquelle il ne vous est pas doute, est la certitude, à l'écheance, de la discontinuité par rapport au présent. En effet, à expirer de l'actuelle présidence de l'Autorité Portuaire de Trieste qui prendra cette place, soit il commissaire ou déjà président à tous les effets, aura le mandat clair d'affronter et dénouer tous ces noeuds qui sont encore sous les yeux de tous : serré de la coordination avec la Région et les collectivités locales dans une optique de loyale collaboration institutionnelle, projection internationale qui accompagne à Trieste nouveaux des trafics, attitude qui propose pour attirer des investissements conclus à résoudre les historiques problèmes qui affligent l'aire portuaire ».
- « Personne - il a poursuivi Debora Serracchiani - ne peut compter de trois éléments pour relancer les trafics de Trieste, même dans une optique de compétition avec la voisine Capodistria. Avant tout il est maintenant devenu vital l'exercise d'une manoeuvre unique à trieste-Champ Marzio et dans le sedime portuaire, et les retards de messe à compétition d'Adriafer ne sont pas plus tolérables. En outre elle est qui ne peut pas être prorogé la réduction des coûts de la manoeuvre ferroviaire, inacceptables et dehors marché je respecte pas seulement à Capodistria mais même à autres escales italiennes. Enfin, mais pas moins d'essentiel, faut favoriser finalement les investissements, même ceux de Réseau Ferroviaire Italienne (RFI), sur les sedime ferroviaire au bénéfice de tous terminalisti et les opérateurs. Elle est une occasion historique pour Trieste, qui va cultivée immédiatement. Nous considérons qu'à février de l'an prochain il expire l'avis communautaire sur le TEN-T, qui pourrait couvrir le 30% des coûts de l'intervention ferroviaire sur Trieste. La Région Friuli Venise Julie, dans la dernière tribune TEN-T qui s'est tenue la semaine passée à Bruxelles avec la Commission - il s'est rappellé - a été nommée rapporteur pour toutes les Régions européennes. Cela a favori l'inclusion des projets infrastructuraux vraiment sur Trieste, qui pourront donc être financiés dans les deux prochains ans de la Commission. À signaler que sans cette inclusion les interventions ferroviaires pouvaient ne pas trouver couverture de la part de la Commission. Lorsque ils sont en jeu l'asset du territoire, la Région ne s'est pas soustraite à la collaboration. Toujours dans l'optique d'un projet de région-région, qui renforce les liaisons sur terre même au bénéfice du port de Trieste, la Région a obtenu les financements sur le noeud d'Udine qui permettront instradare plus efficacement des marchandises de Trieste à la Bavière, aire qui, ensemble à l'Autriche, doit tourner à être nos partenaires de référence vraie, pas seulement abstraite ou heureuse. La même vision stratégique nous l'avons adoptée dans les liaisons vers le Nord Italie, et même dans ce cas nous sommes réussis à porter en région des investissements pour 30 millions d'euro sur la traite Venise- Venezia-Trieste, dans laquelle même ils seront installés des installations technologiques qui permettront à une majeure capacité de la ligne, surtout à support du transport marchandises. De certes, si nous avions trouvé coïncidence d'adresses, nous aurions déjà entamé même les interventions sur le noeud de Trieste, inclus Champ Marzio, sur lequel elles existent des robustes hypothèses progettuali. Nous resterons donc disponibles à supporter chaque projet qui finalement soit en mesure de porter des investissements immédiats sur l'escale. Les temps sont maintenant mûrs pour exploiter même l'avis communautaire en échéance à février, et pour canaliser sur Trieste des investissements productifs, et pas, comme en cas de autres escales, des à l'appui megaprogetti du retour économique très hypothétique », a souligné Debora Serracchiani en se référant évidemment au projet de construction du nouveau port offshore de Venise.
- « Même le trafic crocieristico - il a remarqué le président de la collectivité régionale - représente un papier ancre à jouer, dans lequel la Région croit et pour laquelle il a jeté les fondations de je relance. En effet, si Trieste tournera à être « home port », ou bien tendu d'embarquement et de je débarque pour les crocieristi, est des merci au protocole que nous avons paraphé avec Costa Crociere ».
- « Celle-ci - il a mis en évidence Debora Serracchiani - est vraiment une occasion extraordinaire pour la ville et pour le Friuli Venise Julie, qui l'administration régionale entend soutenir à travers la promotion de retrouvé rôle de Trieste dans quelques marchés retenus stratégiques, Benelux, autriche-Vienne et Allemagne-Bavière. En ce sens nous promouvrons quelques événements visés et établis dirigés aux opérateurs du secteur touristique, sur offerte que le territoire de la région propose les nombreux possibles touristes qui feront escale à Trieste. Pour ce qui concerne Tendu Vieux, même ici la Région a été très claire de vite, en indiquant qu'il doit être restitué in toto à la ville et à ses citoyens et que, donc, la récupération de l'aire doit être globale et scoordinato comme n'apparaît pas aujourd'hui. Ceci ne fait pas qu'aggraver une agonie devenue maintenant inacceptable ».
- « En regardant à la réforme de la loi 84/1992 (la loi il est de 1994, ndr), a été nommé peu de jours il y à un Comité technique scientifique qui devra prévoir le Plan stratégique national de la portualità et de la logistique. Je crois que, vraiment en cohérence avec combien il est déjà implicite dans la mission du Comité, la synergie ne devra pas impliquer seulement tous les escales de la région mais poser même sur une interaction avec t'interposer et les exigences de transport des entreprises. Seulement ainsi, avec un plesso raisonné d'interventions à vaste rayon - il a conclu Debora Serracchiani - le port de Trieste pourra retrouver son rôle dans la Méditerranée, en constituant en même temps un moteur puissant pour relance du entier Friuli Venise Julie ».
|