- Malgré soit passé presque un an de l'entrée en vigueur de la réforme portuaire, à aujourd'hui elles restent ouvertes ancre beaucoup de thématiques parmi laquelle celles en matière de prévoyance et sécurité en domaine portuaire. Il le met en évidence Nctm Étudie Légal en faisant le point sur les règles italiennes en matière de prévention et la sécurité portuaire après l'entrée en vigueur du décret législatif n. 169 du 4 août 2016 qui a réformé le système de governance de la portualità italienne en instituant 15 Autorités de Système Portuaire qui sont surgis aux Autorités Portuaires dans la gestion des principaux ports nationaux.
- L'étude légale remarque avant tout un possible disallinemento entre la directive européenne et la réglementation italienne. « Il craint, en effet - il spécifie Nctm - il est lié à l'apparente dissonance parmi la réglementation ambiante de Bruxelles et cette portualistica. Il semblerait en effet que, à la lumière des dernières mises à jour, la première ne prescrive plus le devoir pour les administrations portuaires de prévoir le rapport sur la sécurité relatif aux aires portuaires, pendant que la deuxième dispose exactement le contraire ».
- Relativement à la législation italienne, l'étude légale se rappelle que « du décret législatif n. 105/2015, en réalisation de la Directive Seveso III, a abrogé le décret ministériel 16 mai de 2001, n. 293, qui imposait aux Autorités Portuaires (aujourd'hui Autorité de Système Portuaire) l'obligation de rédiger et, successivement, ajourner Rapporto Complétée de Sécurité Portuaire inhérent au risque d'incident industriel en se référant à toutes les activités retenues risquées à l'intérieur des ports italiens. Par conséquent, avec l'introduction de la nouvelle discipline dont au décret législatif susmentionné, en étant manqué pour les Autorités de Système Portuaire l'obligation de prévoir le rapport sur la sécurité - il souligne Nctm - à dite de beaucoup d'experts se serait configurée un vide normatif, avec des conséquents reflets négatifs dans la gestion d'éventuels incidents qui pourraient falloir à l'intérieur des aires portuaires, au cas où ils soient impliqués d'ou plus établissements dites « Seveso », ou de toute façon concernantes substances dangereuses présentes à l'intérieur du port ».
- « La raison de tel possible « je vide normatif » - il observe Nctm - dérive du fait que combien disposé de la nouvelle discipline en matière d'identification du risque, surtout en matière portuaire, parrebbe ne pas avoir trouvé correspondance à l'intérieur de la loi portuaire italienne, même pas suite à la réforme du 2016. En effet, aux sens de l'article 5, alinéa 5, de la loi 84/94, à de l'aujourd'hui, il est encore prévu que « au plan régulateur portuaire des ports dont aux alinéas 1 et 1-bis il est annexe un rapport sur la sécurité du domaine portuaire sur les risques d'incidents considérables connexes avec des déterminées activités industrielles » ».
- « En somme - il remarque encore l'étude légale - parrebbe rester pour les ports soi-disants « d'intérêt international » l'obligation à prévoir Rapporto de Sécurité en Domaine Portuaire qui, autrefois approuvé du Comité de gestion de l'AdSP, devra être annexe au relatif Doucement Régulateur Portuale, sans plus la necessité d'adopter, comme par contre prévu auparavant, né le Plan d'Émergence Portuaire, né tantomeno le Plan d'Émergence Extérieur à l'aire portuaire ».
- Nctm précise qui « à la lumière des nombreuses critiquex bougées des experts et des opérateurs portuaires environ une générale aggravation de la réglementation à l'étude en matière de gestion du risque en cas de incident considérable, ont été élaborés quelques études de secteur tu tournes à tenter de remédier se vérifier de la potentielle lacune normative sur citée. Le principal de ceux-ci - il spécifie l'étude légale - parrebbe être cela élaboré de l'HARPE (Agence Régionale pour la Protection de l'Ambient) de je concerte avec le Corps National des Pompiers, qui propose une série de guidelines tournée à l'approbation d'un Plan d'Émergence Portuaire que, en tenant compte même des autres moyens de planification il présente en domaine portuaire, puisse être retenu valable et efficace à compter de la présence ou moins à l'intérieur des diverses réalités portuaires italiennes de soi-disants « Établissements Seveso » et d'être, donc, de ricompreso à l'intérieur de Rapporto de Sécurité à annexer successivement au Plan Régulateur Portuale (dénommé suite à la réforme « Plan Régulateur de Système Portuaire ») ».
- Nctm souligne donc que « malgré soit maintenant passé presque un an de l'entrée en vigueur de la réforme portuaire, à aujourd'hui restent ouvert ancre beaucoup de thématiques, parmi laquelle celles sur citées en matière de prévoyance et sécurité. L'actuel décret législatif n. 105/2015 parrebbe avoir modifié en pejus une précédente réglementation, en limitant, de fait, soit les moyens pour prévenir les incidents soit ceux tournés à la programmation des situations d'émergence. Par conséquent, à la lumière des considérations sur citées et des propositions techniques tournées dépasser telle situation de stagnation normative - il conclut l'étude légale - ne reste rien d'autre qu'attendre une concrète réponse de la part des Autorités de Système Portuaire compétentes qui, pour l'instant, semble tarder à arriver ».
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