Une étude commandée de ILWU Canada met en évidence la perte de postes de travail déterminée de l'automation du terminal portuaires
Examinés deux scènarios, avec la coupe du 50% et 90% d'occupés
3 September 2019
L'automation du terminal portuaires supprimera milliers de postes de travail dans les ports de la Columbia Britannique en soustrayant tous les ans des centaines de millions de dollars à l'économie de la région. La dénonciation la division canadienne de l'International Longshore and Warehouse Union (ILWU) en commentant les conclusions d'une étude qui le syndicat, qui représente les travailleurs portuaires nord-américains, a commandé au Prism Economics and Analysis pour évaluer ce qui sera l'impact de l'introduction des digitalizzazione et de l'automation dans le terminal portuaire du British Columbia et, en particulier, en trois communautés de la région - Prince Ruper, Delta et Vancouver - qui plus dépendent du secteur portuaire, analyse qui est limée aux innovations technologiques introduites dans le terminal qui mouvementent des conteneurs puisque dans ce qui ils mouvementent vracs n'ont pas été encore appliqués de technologies d'automation efficaces.
L'étude met en évidence que l'adoption de technologies automatisées dans les ports du monde a déterminé baisse de la main-d'oeuvre portuaire et cite la prévision formulée cet an du World Maritime University selon lequel j'entre le 2040 jusqu'au 90% des postes de travail de grutiers ou autres travailleurs portuaires pourraient être remplacés de l'automation des activités. Pour évaluer l'impact économique dérivant de la perte de postes de travail déterminée de l'automation, le Prism a analysé deux scènarios : un scènario « Brownfield », basé sur la mise à jour technologique de l'actuel terminal portuaires à travers des « graines de l'automatisation », dans laquelle la coupe de postes de travail est du 50% et un scènario « Greenfield », qu'il prend en considération terminal portuaire de nouvelle construction et « complètement automatisés », qu'il prévoit une réduction du 90% d'occupés.
Dans le 20178 étaient les 6.428 les travailleurs portuaires employés de BC Maritime Employers Association (BCMEA). Les travailleurs à temps plein étaient 2.502, ceux occasionnels les 3.926 et chefs 629, pour des total de 7.057 postes de travail lesquels la plupart concentrés dans le secteur des conteneurs. (que l'an passé a totalisé les deux tiers des heures de travail déroulées en tant que les portuaires).
L'analyse prévoit que dans le scènario Brownfield ils seraient à risque 5.990 postes de travail dans les ports de la région (dont au-delà de 2.300 dans le Delta, plus que 2.200 à Vancouver et au-delà de 700 à Prince Rupert), inclus 4.736 places de travaux dirigés parmi ILWU et pas -pas-ILWU et 1.254 postes de travail poussés, à front de la création, pour à activité d'entretien et de réparation, de 794 postes de travail, avec solide négatif de 5.106 postes de travail.
Dans le scènario Greenfield on enregistrerait presque un doublement du risque qui concernerait 10.783 postes de travail (dont 4.100 dans le Delta, au-delà de 4.000 à Vancouver et au-delà de 1.200 à Prince Rupert), constitués de 8.524 postes de travail dirigés entre ILWU et pas -pas-ILWU et 2.259 dans poussé, à front de la création de 1.513 nouveaux postes de travail, avec un solide négatif de 9.270 places.
L'étude prévoit que dans le scènario Brownfield la réduction des revenus globaux des travailleurs, des contributions des patrons aux plans de retraite et aux previdenziali causée de l'automation se monterait de 349 millions de dollars, avec une diminution de 36.6 millions de dollars à la recette des impôts fédéraux, de 16.1 millions à la recette des impôts provinciaux et de 4.6 millions à la recette des impôts municipaux. Dans le scènario Greenfield, par contre, la coupe s'attesterait globalement à 628 millions de dollars, avec des diminutions de 66.6 millions de dollars à la recette des impôts fédéraux, de 28.9 millions à la recette des impôts provinciaux et de 8.3 millions à la recette des impôts municipaux.
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