- CNA-Fita écrit à toutes les associations du cammionage en les exhortant à faire face commun par rapport à l'émergence du cher gasol. « Donnez au-delà d'un an la CNA-Fita, comme sapete - elle se rappelle dans la lettre du président de l'association Cinzia Franchini - il insiste en mode décidée sur le problème que, déjà de l'été du 2011, il a représenté et encore il représente une des priorités principales : endiguer et contraster le cher gasol. L'augmentation du gasol - dénonciation - étouffe nos entreprises comme le vôtre, sans distinctions entre des monos veicolari et des opérateurs plus structurés que, inévitablement, chaque jour, en Italie sont forcées, obtorto cou, à payer un prix imposé et entièrement dehors marché par rapport à l'Union Européenne. Un prix, celui du gasol italien, qui n'a pas egaux dans les Pays à nous limitrophes comme dans ceux de récent entrés dans le marché unique européen que quotidiennement, en exploitant le marge elles garanti sur le gasol, nous mettent dehors marché sans devoir pour ceci commettre des abus ».
- « Avec le gasol aux étoiles, mais surtout avec un prix masqué des normales règles d'un marché libre - il poursuit Cinzia Franchini - nous avons transformé tant de « abusifs » dans parfaits des concurrents qui déchirent nos tarifs. Tous les opérateurs à nous associés, plus ou moins structurés, crient avec rage celle-ci brûlant de la vérité qui seulement partiellement trouve du soulagement dans les coûts minimums de sécurité qui en théorie les auraient dus mettre à l'abri du cher gasol. Ainsi il n'a pas été et, malgré dans cette derniere année quelque réponse comme le remboursement anticipé des accises et leurs trimestralizzazione soit arrivée, l'escalade des prix à la pompe comme sur l'extra-réseau il nous impose une réflexion mais à majeure raison une unique et forte demande qui ajoute à la voix de la CNA-Fita le vôtre vibrant coralità ».
- « Comme sapete lorsque nous protestâmes le 25 Juillet 2011 pour contraster les cher accises - il se rappelle encore du président de CNA-Fita - nous invitâmes tous vous, en vous demandant d'adhérer. Aujourd'hui cette parcours pourrait convaincre l'exécutif de suivre l'exemple français, qui a réduit de 6 centimes le prix du carburant, et d'intervenir pour promouvoir le départ de la nécessaire réforme qu'il décourage le compte vraiment en faveur du compte troisièmes, en garantissant seulement à ce dernier le remboursement des accises. Une réforme, celle-ci, toujours annoncée mais jamais entamée.
- « Dans les crises - il souligne Franchini - tous les maux ne viennent pas pour nuire et dans ces circonstances souvent est possible faire ce qu'il n'a pas été possible faire auparavant, en garantissant résultés concrets et surtout durables dans le temps. La cna-Fita a demandé peu mais clairs signaux dans la direction d'une réponse au cher gasol pas impromptu mais plus possible de perspectif et durable. Nous avons demandé de réintroduire le mécanisme de l'accise mobile pour éviter qu'aujourd'hui, comme dans futur, le gouvernement puisse être cointeressato de l'augmentation des prix que lui garantit inévitablement majore des recettes. L'accise mobile donc - il confirme le président de l'association - est l'unique digue possible, aujourd'hui, pour décourager l'État d'augmenter de la taxation sur les carburants qui comme résultat plus immédiat et dans l'absolu plus dangereux pour tous nous, comporte sur le marché l'augmentation du prix industriel et donc du prix final ».
- « Si ensuite nous approfondissons les foules croissance de la taxation et de ses effets - il explique Franchini - nous pouvons affirmer que notre catégorie est doublement pénalisée, en considérant que le remboursement des accises laisse hors tous qui actionnent à de sous des 7.5 tonnes et que, pour qui actionne par-dessus, tel remboursement se révèle seulement partiel. Inutile ensuite ajouter des ultérieures considérations sur comme ceci procéder tu attaques lourdement les liquidités déjà exiguës de nos entreprises qu'elles payent des prix établissent, les accises exorbitantes et anticipent sur tout le 21% de Vat ».
- « D'indiscrétions de presse - il précise le président de CNA-Fita - on parle d'une possible intervention du gouvernement en ligne avec nos demandes sur les reintroduzione de l'accise mobile. Les mêmes indiscrétions réfèrent d'une probable réduction des accises conséquent dans l'ordre de 1 maximum 3 centimes. Un résultat pas satisfaisant qui sonnerait comme un mauvais tour pour le cammionage comme pour tous. Pour ceci, conscients de pouvoir obtenir un bénéfice je concrétise pour nos entreprises, vous demandons de vous unir à nous dans la demande d'une coupe au moins 10 centimes. Un résultat qui le gouvernement peut garantir en coupant les taxes à travers l'accise mobile, en récupérant les ressources aujourd'hui remboursées au compte vraiment, en demandant egal comportement aux pétroliers qui, comme en France, devraient réduire leurs prix au moins 5 centimes. Enfin, si tout cela ne suffisait pas, le gouvernement intervienne sur les jeux et sur les loteries en montrant que même pour la priorité aujourd'hui il est cette de désamorcer la « bombe » du cher carburant ».
- « Su le cher gasol - il conclut Cinzia Franchini - il ne se peut pas indugiare ou faire je distingue. Sur le cher gasol on peut être uni, au contraire on doit, pour poursuivre chaque résultat concrétise possible. Si de résultat on pourra parler peut-être il sera parce que tous vous vous unirez à nous dans demander une intervention décidée du gouvernement sur le cher-gasol ».
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