- Le Ministère des Infrastructures et des Transports a publié l'analyse coût-bénéficie et l'analyse juridique relative à Gronda de Gênes, projet qui prévoit l'allègement du trafic sur la traite de l'autoroute A10 que collègue au chef-lieu ligurien en se réalisant des nouvelles infrastructures de l'autoroute pour un total d'au-delà de 60 kilomètres. Si les conclusions préalables de telles analyses apparaissent interlocutorie, plus résolutives elles semblent les conséquences de telles enquêtes tirées du Ministère qui dans une note d'accompagnement au document souligne que « le résultat des évaluations conduite suggère de cueillir l'opportunité de poursuivre des options infrastructurales plus efficaces en termes trasportistici, ambiants et financiers, qui le Ministère des Infrastructures et des Transports souhaitent puissent, à partir de l'étude effectuée, être approfondi et déterminées à travers une comparaison avec les niveaux institutionnels territoriaux ».
- Conclusions, ces traites du ministère, qui ne sont pas du tout plaire au président de la Région Ligurie, Giovanni Toti, qui retient soient « le coup de queue de Toninelli ». « Même si le gouvernement n'existe plus - il a commenté le gouverneur ligurien - le Ministère des Infrastructures à guide grillina rejette Gronda de Gênes, un projet déjà fait et que les italiens déjà payent. Au contraire, beaucoup de personnes et beaucoup d'entreprises ont été déjà expropriées parce que le chantier serait déjà dû partir des mois il y à. L'arrogance n'a pas de limites : pour satisfaire les grillini liguriens, qui en campagne électorale se sont rangés contre l'oeuvre, le gouvernement rejette une infrastructure stratégique pour tous les ports et le nord-ouest du Pays. Et ceci malgré toutes les associations d'entreprise, les syndicats, les catégories, les professionnels, n'importe qui tu vis et travaux en Ligurie il soit favorable à sa réalisation. La comparaison institutionnelle - il s'est rappellé de Toti - il y a déjà eu ! Ainsi comme le débat je publie, voulu du Pd, parmi les citoyens impliqués dans le projet. Et voilà qu'après avoir attendu des ans pour faute de la gauche, maintenant nous sommes encore bloqués pour faute des 5 Étoiles. Et maintenant qu'ils se mettent aussi ensemble à Rome - a-t-il conclu Toti - qui désastre seront ? J'attends le Pd qui vienne à dire, aussi d'aller au gouvernement, qui a raison Toninelli ! »
- Relativement aux coûts déjà payés auxquels il a fait référence le président de la Région Ligurie, dans l'analyse des problématiques giuridico-amministrative jointes aux obligations contractuelles jointe à l'analyse coût-bénéficie on se rappelle que « des coûts déjà soutenus de la part d'ASPI (des Autoroutes pour l'Italie, ndr) pour cette oeuvre et fonctionnels à sa réalisation, ils somment environ à 1.030 millions d'Euro ». Le coût global pour la réalisation du projet est estimé en 4.75 milliardes d'euro.
- Dans les conclusions des préalables de l'analyse coût-bénéficient loi que « les conditions d'elevée et généralisée engorgement du noeud génois permettent à toutes les alternatives examinées (l'analyse a pris en effet en considération diverses alternatives progettuali en variant à l'étude produit de SPEA Engineering du groupe Atlantia, ndr) de rejoindre des bons nivellent de faisabilité, mais au même temps ils sont récompensés ces projets qui augmentent en général la capacité routière, même si pas correctement conçus, et devient donc essentiel dans ces cas pouvoir confronter des différentes alternatives de projet ». En outre l'analyse remarque que « de la comparaison effectuée du Groupe d'Évaluation il émerge comme les alternatives examinées ne sont pas egalement avantageux ; un choix différent de celle optimale comporterait en effet pas des négligeables réductions des bénéfices potentiellement acquisibili, c'est-à-dire un mauvais emploie des ressources ». L'analyse met en évidence même comme « le fonctionnement des deux lottos qui composent le projet de Gronda de Gênes, et c'est-à-dire d'une partie le doublement l'A7 et, de l'autre, de celui de l'A10, se soit montrée être fonctionnellement séparable et ait caractérisé de différents niveaux de faisabilité, avec l'premier (A7) significativement plus elevé de la seconde (A10) ». L'analyse observe enfin que « l'organisation fonctionnelle avec le seul premier lotto toutefois devrait prévoir même la prolongation de la troisième salle commune des nouveau Morandi jusqu'à bretelle de Cornigliano ». « Combien sur - il conclut l'analyse - il suggère l'opportunité d'effectuer un approfondissement, avec l'implication des sujets intéressés, pour une évaluation plus ponctuelle des alternatives de projet ».
|