- Hier et aujourd'hui à Rome, dans le domaine des célébrations de le sien venticinquennale, la Fédération de la Mer a organisé, dans le siège de Palais Colonne où elle est reçue de Confitarma, la general meeting de l'European Network of Maritime Clusters (ENMC), l'organisation qui réunit le cluster maritimes européens. Hier soir la Fédération de la Mer a offert un dîner aux membres de ENMC auquel ils ont participé, outre le Hollandais Arjen Uytendaal, président de ENMC, et à la coordinatrice Marjolein van Noort, les sommets du cluster maritimes de Bulgarie, la France, la Finlande, Allemagne, Luxembourg, Malte, Portugal, Espagne, et naturellement Italie, représentée de Mario Mattioli, de président de la Fédération de la Mer, accompagné du vice président Vincenzo Petrone, président d'Assonave et vice-président ENMC, de Pierluigi Portalupi, délégué ANIA, ainsi que Carlo Lombardi et Laurence Martin, respectivement secrétaire général et vice-secrétaire de la Fédération de la Mer.
- Aujourd'hui, dans le cours des travaux de la general meeting, le président Arjen Uytendaal avec les collègues a affronté l'exigence pour ENMC de coopérer avec les organisations maritimes européennes de secteur pour mieux partager les exigences de l'industrie maritime dans son complexe et discuter des objectifs communs dont en vue adopter des initiatives, en soulignant la necessité de délinéer un langage maritime commun et coordonner les contacts avec les institutions européennes.
- Successivement, après une introduction de Fabio Faraone, chef service Technique navale sécurité et ambient de Confitarma, sur craint des decarbonizzazione de l'industrie maritime, les représentants du cluster maritimes européens ont discuté des négociations prochaines de l'EU pour un Green Deal qui certainement aura un impact sur le secteur maritime : il sera important en intention présenter des propositions qui tiennent compte de tous les intérêts des diverses composantes des Blue Economy. En outre il a été rappellé de que même les financements bancaires sont maintenant concédés sur la de base de la sostenibilità des projets et en ce sens elle s'est exprimée même le BEI (Banque Européenne des Investissements). Cela veut dire que si le secteur maritime veut maintenir l'accès aux financements il doit être en mesure de montrer qu'est-ce que fait pour réduire les émissions. Elles ont été présentées même quelques initiatives adoptées à niveau national pour réduire les émissions.
- Autre craint en discussion a été celui de l'importance de mettre à point un ensemble consolidé de données statistiques qui rende plus évident l'importance stratégique que le cluster maritime il revêt pour l'économie de l'EU, surtout dans cet instant historique caractérisé d'un coté de mesures pour faire face le changement climatique et, de l'autre, de la pression du protectionnisme et des guerres commerciales, ainsi que de l'exigence de digitalizzazione qui demandent des forts investissements. En particulier, dans le cours de la réunion elle est émergée l'exigence d'identifier en manière plus précise ce qui soient les secteurs qui devraient être étiquetés comme « maritimes », au fin de pouvoir insérer dans l'évaluation des Blue Economy même ceux plus innovateurs, avec leur potentiel en postes de travail, innovation et chiffre d'affaires. À tel fin, j'entre février 2020 ENMC ensemble aux autres stakeholder intéressés coopérer, présentera un projet pour réaliser une solide de base données.
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