- Les États membres de l’OMI qui ont désigné le marins en tant que travailleurs essentiels, ainsi qu’à Hong Kong qui est membres associés sont : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahamas, Bangladesh, Barbade, Belgique, Brésil, Canada, Chili, Chypre, Danemark, Émirats arabes unis, Philippines, France, Gabon, Géorgie, Allemagne, Ghana, Jamaïque, Japon, Grèce, Indonésie, Iran, Marshall, Kenya, Kiribati, Libéria, Moldavie, Monténégro, Myanmar, Nigeria, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Panama, Royaume-Uni, République de Corée, Roumanie, Singapour, Espagne, États-Unis, Sud l’Afrique, la Suède, la Thaïlande et le Yémen.
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- Il est juste de dénoncer l’absence de la liste de l’Italie qui, résolutions appelant les gouvernements à désigner les marins en tant que travailleurs essentiels adoptés par l’OMI, l’Assemblée générale des Nations Unies et le Travail international n’a pas encore inclus les gens de mer parmi les catégories de travailleurs à accorder des dérogations aux règlements qui mobilité due à la crise sanitaire. Une absence qui s’explique par la faiblesse du stress les armateurs et leurs associations d’armateurs à la gouvernement et, en particulier, au ministre de l’Infrastructure et de la Transport, Paola De Micheli, et les pauvres, pour dire le plus, l’attention de ce dernier à l’égard de ce grave problème. Will (Will) cette occasion, peut-être, de renouveler de nombreux trimestres le demande de création d’un dicastère spécifiquement dédié à la mer, solution - ce journal l’a écrit à plusieurs reprises - plus utile de compliquer que de simplifier les choses à la l’expédition et utile au lieu de fournir des alibis à ceux qui, pour des raisons précises politique, devrait s’efforcer de résoudre ces problèmes et à qui, comme dans la mission assignée par la catégorie qui représente (pas celle des gens de mer, évidemment), devrait appuyer sur le premier pour mettre ces problèmes à l’avant-plan.
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