La Fédération de la Mer, qui représente le cluster maritime Italien, s’est joint à l’appréciation générale pour le Conclusion fructueuse des négociations en vue de la réalisation de la nouvelle Traité des Nations Unies sur la haute mer pour protéger l’océan, lutter contre la dégradation de l’environnement, lutter contre le changement climat et prévenir la perte de biodiversité. Samedi en effet, la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité les ports de plaisance des zones situées en dehors de la juridiction nationale (BBNJ), présidée par Rena Lee, Ambassadrice de Singapour pour les questions sur les océans et le droit de la mer et Envoyé spécial de la Ministre des affaires étrangères, négociations menées à bien sur un nouvel accord international au titre de la Convention de l’Union européenne Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS) sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine dans les zones au-delà en dehors de la juridiction nationale.
Singapour préside les négociations du BBNJ depuis septembre 2018 et samedi a été le point culminant des discussions lancées en 2004, sous les auspices de l’ONU, pour améliorer la Droit international sur le stockage et l’utilisation Diversité biologique durable dans les océans au-delà Zones économiques exclusives et plateaux continentaux États.
La Fédération de la mer a rappelé que, bien qu’elle soit extrêmement riche en biodiversité, seulement 1% de la haute mer est actuellement réglementé et souligné que l’accord BBNJ est Il s’agit donc d’une étape importante pour contribuer à la gouvernance des biens communs mondiaux. « Le succès de l' Conférence intergouvernementale de la BBNJ - a noté le président de la Fédération de la Mer, Mario Mattioli - réaffirme l’importance et la pertinence de la coopération multilatérale et nationale Unis dans l’établissement et le maintien d’un ordre international fondé sur Règlement. C’est un moment historique parce qu’après Plus d’une décennie de travaux préparatoires et de négociations internationales l’accord sur le Traité des Nations Unies sur la haute mer représente un pas en avant concret pour la protection des les océans et préserver la vie marine et la biodiversité, des ressources indispensables pour les générations présentes et futures ».
Un aspect novateur de l’accord BBNJ implique l’engagement du Les pays développés fourniront 50 % supplémentaires de leurs contributions Financier annuel en vertu de l’accord de financement Renforcement des capacités qui aidera les pays en développement développement pour conserver et utiliser de manière durable le la biodiversité marine, ainsi que la mise en œuvre de l’accord. L’accord BBNJ engage également les États à partager les bénéfices découlant de l’utilisation des ressources génétiques marines, notamment en facilitant l’accès à des échantillons et à des données provenant de la recherche scientifique sur Organismes marins provenant de zones situées à l’extérieur de la juridiction chercheurs nationaux de pays développés et en développement.
L’accord entrera en vigueur après sa ratification par 60 États. Entre-temps, l’UE a déjà exprimé son engagement à veiller à ce que cela se produise rapidement et aider les pays développer pour préparer sa mise en œuvre, allouera 40 millions d’euros au titre d’un programme global pour océans invitant les membres de la High Ambition Coalition à faire le Même chose dans les limites de leurs capacités. (Haute ambition La Coalition est un groupe informel de pays au sein de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques Engagé à faire avancer des propositions progressistes sur l’ambition climatique).