Dans le premier semestre les ports d'Olbia, de Golfo Aranci et de Porto Torres ont perdu un trafic davantage 300mil de passagers
Piro : la politique générale des prix est encore anachronique par rapport à l'actuelle consistance des poches de l'italien
27 Juli 2012
La crise économique a un effet dévastateur sur l'activité des ports du Nord Sardaigne. Dans les premiers six mois du 2012 il est ultérieurement diminué la navigation dans les ports d'Olbia, Golfo Aranci et Porto Torres : si dans les premiers six mois du 2011 étaient vous aboutissez aux trois escales 4.067 bateaux (avec une flexion du 18,2% sur la première moitié du 2010), dans la première moitié de cet an ils ont été enregistrés les escales de 3.713 bateaux, avec baisse du 8,7% sur le premier semestre du 2011.
Elle a résulté encore plus accentuée la contraction du trafic des passagers : dans la période janvier-juin de cet an les trois ports ont mouvementé un trafic 1.038.025 de passagers, avec une réduction du 23,4% par rapport 1.354.903 à des passagers dans la première moitié du 2011 (période où le trafic de l'passagers ère baissé du 21,4% sur le premier semestre du 2010).
« Su le versant du trafic passagers - il a commenté le président de l'Autorité Portuaire du Nord Sardaigne, Paolo Piro - le budget des premiers six mois du 2012 confirme nos craintes. Les nombres parlent clair : la crise et l'incertitude économique continuent à dicter les règles des transports maritimes et à couler l'économie, déjà de pour elle pénalisée, de l'île. Olbia est sûrement le port qui a subi le majeur donnent : en rapport avec juin 2010 nous avons perdu presque 425mil des passagers, par rapport au 165mil de Golfo Aranci et au 97mil de Porto Torres. Pertes qui, malheureusement, iront augmenter avec les données de Juillet et août ».
Piro s'est rappellé des initiatives infrastructurales et commerciales de l'organisme pour chercher à stimuler relance des trafics : « à l'état actuel - il a expliqué - sans un Plan Régulateur approuvé, le port d'Olbia n'admet pas d'interventions infrastructurales tournées à augmenter la puissance la réceptivité. Le même vaut pour celui de Porto Torres, dont je relance a été programmé dans les lignes guide de PRP adopté à début mois. Divergée elle est la situation de Golfo Aranci, pour lequel, parmi un mois, nous aurons à disposition un nouvel accostage qui pourra recevoir un second bateau. Du point de vue des accords commerciaux, par contre, déjà j'ai entamé les négociations pour l'activation d'une nouvelle ligne qui relie Golfo Aranci avec Gênes et rende vitalité à l'escale ».
Selon Piro, toutefois, il est nécessaire d'appuyer des telles actions avec une réflexion à vaste rayon qui implique tous les organismes compétents en matière de tourisme et des transports : « une des causes principales - il a souligné le président de l'Autorité Portuaire - est sûrement la politique générale des prix, encore anachronique par rapport à l'actuelle consistance des poches de l'italien. Nous ne pouvons pas seulement viser le doigt sur le coût des billets, mais nous devons faire tous ensemble une analyse de conscience sur la direction que nous entendons prendre pour faire du tourisme et redonner appeal à la Sardaigne. À telle intention, mercredi passé j'ai envoyé un rapport sur la marche des trafics au président de la Région, en le priant de maintenir vivante l'attention sur cet instant particulièrement difficile ».
Si le trafic des passagers a accusé l'impact de la crise même celui des marchandises, évidemment, il est en souffrance : dans les premiers six mois du 2012 je baisse global de biens en arrivée et départ des trois ports sardes a été du 15%, avec presque 680mil des tonnes dans moins par rapport au premier semestre de l'an passé.
« L'écroulement du transport des marchandises sur les trois ports - il a observé Piro - est signe évident de l'appauvrissement de la Sardaigne. S'il est fort la contraction de la question de biens sur tous les mois de l'an, encore davantage les ciseaux semblent augmenter dans les périodes de haute saison : de Mars, pour la Pâques, au juin, pour les congés estivaux. Périodes, ceux-ci, dans lesquelles on relève la sensible diminution des présences dans l'île, manquée ouverture ou, pire, la fermeture que beaucoup d'activités commerciales et, donc, je baisse de l'importation de produits ».
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