- Le néo président de la Région Ligurie, Giovanni Toti, a envoyé aujourd'hui au Premier Ministre, Matteo Renzi, et au ministre des Infrastructures et des Transports, de Graziano Delrio, une lettre dans laquelle manifestes trouble pour la récente exclusion du Troisième Franchissement ferroviaire Gênes-Milan des financements prévus EU de CEF - de Connenting Europes Facilities ( du 29 juin 2015).
- En soulignant « d'avoir appris avec surprise manqué financement de l'oeuvre », Toti a mis en évidence que « la réalisation du Troisième Franchissement, eu en ce qui concerne des indiscutables données de trafic, constitue l'unique moyen d'alimentation de l'Europe méridionale de Sud à travers le système portuaire italien (en incluant même le rôle des ports de l'Italie du Sud) et le système infrastructural et des retroporti du Nord Ouest dans l'ésprit des règlements 1315 et 1316. Beaucoup que, vous êtes certes d'informés - il en poursuit la lettre - avec une décision de signe entièrement opposé, vraiment dans les jours passés, la Suisse, au nom d'exigences de croissance et de compétitivité, il a décidé le doublement (après des soleils sept ans de l'inauguration !) de quelques traites d'alimentation du Loetschberg outre l'achèvement du Gottardo, oeuvres avec lequel le Troisième Franchissement se pose en immédiate contiguità. Dans bref, sans une accélération du Troisième Franchissement il se produira, et malheureusement déjà il se produit, le risque qui le couloir Alpes Reno fonctionne seulement vers sud, et c'est-à-dire pour alimenter la plaine de la plaine du Pô des ports du Nord Europe, et dans sa traite méridionale pour ne pas relier, vice versa, le système portuaire ligurien et de l'Italie du Sud et le Nord Ouest du Pays à leurs marchés de la Plaine De la plaine du Pô et de la Bavière ».
- Toti a spécifié que « né peut se justifier la proposition de la Commission comme le Troisième Franchissement constituerait solution « pas transfrontaliera » contrairement aux interventions pour le noeud Torino Lione et Brennero. Je remarque, en effet - il a précisé - que dans le domaine de la priorité 1 « Déplacement de la bottlenecks et réalisation des liaisons manquantes » dans la liste des projets énumérés de la Commission Européenne pour l'eleggibilità aux États membres, une série de travaux sur des lignes ferroviaires proposées d'Allemagne, une France, Belgique et Espagne ont reçu le maximum du financement possible, en n'étant pas aussi n n'étant pas des sections transfrontaliere mais simples cous de bouteille exactement comme le Troisième Franchissement. Ils ne sont pas clairs, dans bref, le méthodologie et le critère employés de la Commission Européenne pour justifier, dans quelques pays le financement bottlenecks pas de transfrontalieri pendant que pour l'Italie on nous limiterait à financier seulement des infrastructures transfrontaliere comme Brennero et les Lione Torino ou même de la navigation du Po (qui, oltretutto, doit être dit avec clarté, n'a pas un sens trasportistico limpide comme le couloir Reno Alpi dans la perspectif de relance des trafics de couloir de sud) ».
- Toti donc a demandé à Renzi et à Delrio qui « à l'occasion de la réunion du Comité de programme organisée de la Commission Européenne avec les représentants des États membres le 10 Juillet prochain à Bruxelles, le délégué italien proposent formellement une correction des déterminations de la Commission ainsi qu'il prévale un choix inspiré aux principes de cohésion dont à l'art. 170, Tfue et à des cités des règlements 1315 et 1316, et à de la croissance dont à l'art. 5, Tien : et ainsi - il a expliqué le président de la Région - la réalisation du Troisième Franchissement, comme moyen d'intégration du système du nord ouest avec ses marchés au-delà des Alpes, puisse procéder en accord avec les temps qui, malheureusement, la Suisse sait garantir très mieux de nous pour réaliser Loetschberg et Gottardo. Combien sur, oltretutto - il a conclu Toti - pour éviter choisies de politique des transports européennes et nationales inconsistants, contraires au bon sens et désarticulés, justement, des principes européens de cohésion, de la croissance et de la compétitivité ».
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