- Le Code - a déclaré Sisto - est « un jeune de quatre-vingts ans en forme splendide, un marathonien conçu par des maîtres extraordinaires de la loi de notre pays, à laquelle, cependant, nous ne pouvons pas demander à courir les 100 mètres de la compétition d’aujourd’hui dans les mers de l’Europe sans un souci attentif de simplification et la débureaucratisation, accompagnée d’une réforme de la gouvernance de navigation. Nous ne pouvons plus permettre à notre navires pour écarter un écart de compétitivité par rapport aux autres parce que nous avons un Code qui est affecté par son âge ». Le directeur général de Confitarma a souligné la nécessité d’une modernisation de la législation visant également à « contrer un signalement inévitable pour pouvoir rivaliser avec les autres des drapeaux plus flexibles et plus respectueux de l’expédition ».
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- « La modernisation du Code - a poursuivi Sisto - est fondamental et affecte notre armement mais aussi le nôtre administration depuis quelques semaines le flotte dédiée au trafic international, en considération l’adaptation imminente du système actuel de règles aux ce qui est fourni par la Commission européenne avec la décision du Juin 2020 sur l’extension des avantages du Registre international drapeaux communautaires (
sur 11 Juin 2020, éd.). Les avantages construits au fil des ans par Confitarma - a averti Sisto - favorisera les drapeaux tels que Malte, Madère, Chypre, qui ont un appareil très administratif plus maigre que le nôtre. La nécessité d’une réforme du Code équivaut à la nécessité de réclamer et renforcer la nature maritime de notre pays ».
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- « Il existe certainement - a convenu Alberto Rossi - le la nécessité de s’attaquer à la question de la compétitivité du pavillon italien, mais je dirais du groupe maritime de la notre pays dans son ensemble. Avec deux thèmes pour toujours bien se garder Présent. Le premier - a expliqué le secrétaire général de Assarmatori - est d’intégrer le Code du Navigation avec les principes de l’Union européenne, sanctionnée par le Règlement 352/17, et je fais donc référence à la protection nécessaire de la concurrence, également soulignée par plusieurs arrêts de la Cour de justice. La seconde concerne la transition énergétique, ce qui fait également partie des questions les plus d’actualité. Ce doit être un chemin intelligent, qui repose sur les piliers durabilité sociale, économique et environnementale. Un transition précisément, pas une révolution qui risque de récolter les victimes dans la classe maritime et aussi dans la classe portuaire. Je fais référence au paquet « Fit for 55 » qui, comme nous l’avons également souligné par le Comité des politiques de l’UE du Sénat dans un récent résolution, risques d’enfreindre le principe de proportionnalité, avoir un impact beaucoup plus important sur un pays, comme l’Italie, qui possède la plus grande population insulaire du continent et, par conséquent, la plus grande flotte dédiée à ces liens. Enfin - Rossi a noté - l’inclusion de l' le transport maritime dans le cadre du mécanisme des certificats d’émission (SEQE), entraînera une délocalisation des métiers de transbordement, sur lequel nous risquons donc de perdre le contrôle au profit de la Les ports d’Afrique du Nord, avec tout ce qui va avec en termes de également pour la protection de l’emploi et la sécurité de la circulation et fournitures ».
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