Huit amendements à la Convention entrent en vigueur aujourd’hui
Championnats internationaux du travail maritime (MLC) qui ont le
améliorer les conditions de vie et de travail des gens de mer
à bord des navires. Une modification prévoit que, avant ou pendant la
procédures de recrutement, les gens de mer sont informés de la
droits en vertu d’un régime de protection contre toute
pertes pécuniaires subies par les gens de mer qui doit être établie
par des agences privées de recrutement et de placement. Un amendement
prévoit que les États membres de l’Union maritime internationale
Les organisations facilitent le rapatriement rapide des gens de mer qui sont
abandonnés à bord de leurs navires et de travailler ensemble pour s’assurer que le
gens de mer recrutés pour remplacer des gens de mer abandonnés dans leur
territoire national ou à bord d’un navire battant leur pavillon
reconnu les droits et prérogatives prévus par la Convention
MLC 2006.
En outre, les amendements à la convention prévoient que les gens de mer
une connectivité adéquate est assurée à bord de leurs navires
et que les armateurs doivent, dans la mesure du possible,
leur fournir un accès à Internet au coût, le cas échéant, de
quantité raisonnable. Les États doivent faire de même dans leurs
ports et mouillages.
En ce qui concerne les denrées alimentaires, les amendements introduits prévoient que
les gens de mer bénéficient gratuitement d’une eau potable de bonne qualité,
qualité et assurer la quantité, la qualité,
Valeur nutritive et variété des aliments et des boissons rendus
à la disposition des marins afin de leur offrir des repas équilibrés
En ce qui concerne l’assistance médicale, une assistance est fournie en temps opportun
le débarquement des gens de mer ayant besoin de soins médicaux immédiats et le
leur accès à des installations médicales à terre en cas, par exemple, de
avoir subi une blessure ou une maladie grave, et
blessures impliquant des fractures, des saignements graves, des bris ou
inflammation du système dentaire, ou avez subi de graves brûlures,
sont affectés par une douleur intense qui ne peut être gérée à
navire ou il y a un risque de suicide. En cas de
décès à bord d’un navire, les États doivent faciliter la
rapatriement du corps ou des cendres du marin décédé par
et tous les décès de marins doivent être signalés
et enregistré annuellement par l’Organisation internationale des
Travail.
Enfin, les gens de mer doivent être pourvus
de taille adéquate, et en particulier que
peut convenir au nombre croissant de femmes qui travaillent dans les
à bord des navires.