Le conseil d'administration de Naviris, coentreprise entre Fincantieri et le groupe naval français, a été le premier à prendre la décision jeudi. (
De la
14 juin 2019 et
14 janvier 2020), délibération des nouvelles nominations de l'entreprise. Pierroberto Folgiero a été nommé président, le PDG Damien Raby et Enrico Bonetti ont été confirmés comme chef de l'exploitation.
Créé en 2020 par la conviction que la collaboration au sein de l'industrie européenne de la construction navale est essentielle pour permettre au continent européen d'être un chef de file dans le domaine stratégique de la défense navale, tant pour ses propres besoins que pour ceux Des alliés, Naviris a son siège à Gênes et une filiale à Ollioules et se concentre sur des projets binationaux et d'exportation. Depuis sa création, Naviris a travaillé sur plusieurs projets clés. En juillet 2020, Naviris a signé un contrat avec l'OCCAR, l'Organisation européenne pour la coopération en armement, pour l'étude de faisabilité sur la modernisation de la demi-vie des quatre destroyers de classe Horizon. Français et Italien. Les études ont été achevées et livrées à l'OCCAR. En ce qui concerne le même projet, Naviris est actuellement confronté, en partenariat avec Eurosam, à la phase de négociation avec l'OCCAR pour obtenir le contrat principal couvrant la MLU pour les quatre unités.
En outre, en juin 2020 Naviris a signé avec l'OCCAR un contrat de quatre ans sur la recherche et le développement pour des activités de recherche conjointes, ainsi que pour la mise à jour du processus de conception et de production de navires destinés à France, Italie et exportation. En tant que premier entrepreneur, Naviris coordonne les activités techniques gérées par Fincantieri et le groupe naval et détient la propriété intellectuelle de tous les résultats de recherche.
Le travail de Naviris comprend également le développement de la Corvette européenne de patrouille (EPC). En juillet 2022, la Commission européenne a sélectionné la proposition présentée par le consortium Naviris avec Fincantieri, le groupe naval et l'espagnol Navantia pour l'interdiction "Modular and Multirole Patrol Corvette" (MMPC). L'objectif de la proposition de consortium est de maximiser les synergies et la collaboration entre les chantiers navals européens. En développant conjointement un nouveau navire, l'EPC, les entreprises ont pour objectif d'assurer une souveraineté européenne dans le domaine des navires de deuxième ligne.