Federtrasporti, le cammionage doit être équipé pour les émergences, mais les concessionaires de l'autoroute doivent faire passer et les préfectures contrôler
Pietrelli : « notre économie se tient sur le transport »
9 Februar 2012
Le groupe Federtrasporti se rappelle de la necessité qui dans les instants d'émergence, comme l'actuel causé de climat rigide et de l'neigées sur une grande partie du territoire italien, chacun fait sa partie : d'une partie « le cammionage engage à se douer de toutes combien esclaves pour voyager même avec le mauvais temps, mais les autoroutes doivent s'équiper avec de toutes combien esclaves pour garantir en tout cas la circulation. Il peine un appauvrissement général du Pays ».
Il l'écrit dans une lettre ouverte le président du groupe Federtrasporti, Emilio Pietrelli, dans lequel il met en évidence comme des « préfectures et des sociétés Autoroutes semblent des affette d'une syndrome anorexique. Elles sont convaincues - il explique - que la neige, comme la nourriture pour quelques adolescents en croissance, puisse faire mal en tout cas et donc dès que on en prévoit la descente bloquent la circulation des véhicules de transport. Sans se rendre compte qui, comme il arrive justement aux anorexiques, à la longue cette abstinence ou cette défence de circulation provoque des dommages incalculables aux individuels, aux entreprises, à l'entier Pays. Parce que, si jamais il était encore nécessaire de se rappeller lui - il met en évidence Pietrelli - de notre économie se tient sur le transport, comme aussi la subsistance de tant d'entreprises de cammionage et de tant de familles que de celles-ci - pardonnées le langage technique - j'en suis poussé ».
« Alors - il poursuit le président du groupe Federtrasporti - il faut arrêter. Le cammionage on assume la responsabilité de déplacer les marchandises, de quelconque type et dans quelconque condition météorologique, d'une part à l'autre du territoire. Ainsi, les personnes trouvent des aliments sur les bancs, les automobilistes ne voient pas l'essence monter jour après jour, les usines ne sont pas forcées à interrompre les chaînes de montage pour manque de composantes. Parce que celle-ci est la tâche qui l'économie assigne au secteur, pour autre en manière exclusive, vu que, sans vouloir entrer dans le fond, le transport ferroviaire des marchandises reste un espoir qui dans le temps assume toujours plus les contours d'une chimère. Et s'il pleut et neige le cammionage s'équipera par conséquent, en dépensant et en faisant « chausser » aux véhicules pneumatiques antineige ou chaînes. Parce qu'ainsi il va le monde. Ainsi il se fait dans le reste du monde ».
« D'autre part, cependant - il précise Pietrelli - tous doivent faire leur partie. Et alors les concessionaires des autoroutes italiennes doivent en tout cas garantir la circulation. Parce que les routes sont une richesse ou, mieux, une infrastructure qui bouge richesse. S'ils s'arrêtent, nous devenons les tous plus pauvres. Ragion pour lequel lorsque il y a un exode il faut s'équiper, de la même manière de lorsque elle est prévue de la neige ; on nous doue des moyens adéquats pour faire de sorte que la circulation continue. Et si les moyens coûtent, patience : côte même arrêter la circulation. Alors il signifie que dépenser en saupoudreuse, dans chasse-neige et combien d'autre il équivaut à investir, parce qu'il évite des pertes économiques pour le Pays. De cela même Pays qui est propriétaire des routes qui gèrent en concession. Même parce que pour garantir la circulation - nous ne l'oublions pas - les autoroutes encaissent quotidiennement fior de péages ».
À telle intention Federtrasporti lance une proposition : « permettre les augmentations des péages pas seulement en relation aux investissements sur le réseau, mais même à il vérifie d'investissements en outillages aptes à gérer les émergences mauvais temps. On ne peut pas par contre penser - il observe Pietrelli - qui puisque sont prévus de la neige s'nous arrêtent. On ne peut pas faire tendence à s'alarmer en disant que, puisque demain ou après-demain il neige, est mieux sont tous à maison, en évitant d'entrer en autoroute. Ce discours va bien pour les vacanciers, pas pour qui sur les routes il nous travaille. Et le même je force, le même engagement de rôle, doit être faite des préfectures, qui doivent distinguer la circulation privée de celle professionnelle. À la première on peut imposer des blocs, on peut chercher à la décourager de emploie des autos en augmentant la puissance les moyens publics, mais celle professionnelle doit continuer à travailler pour elle et pour les autres. Évidemment, en utilisant toutes les précautions et les équipements qui la loi imposent. Voilà donc la tâche des préfectures : faire vérifier aux organes de contrôle qui toute l'usage professionnel des autoroutes ait des pneus-neige ou des chaînes et éventuellement punir - même durement - qui en était sfornito ».
« Mais si nous continuons à raisonner en tant que des anorexiques, à nous forcer au jeûne de circulation forcé - il conclut le président du groupe Federtrasporti - nous finirons lentement pour aller rencontre à la totale détérioration. Et vues les conditions de notre économie, est un risque trop grand ».
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