- Aujourd'hui le ministre des Étrangers, de Giulio Terzi, a communiqué l'inattendue décision du gouvernement italien de ne pas faire rentrer en Inde les deux fusiliers du Régiment San Marco de Marina Militare Italiana empêché de le février passé dans la nation asiatique avec l'accusation d'avoir tué, pendant qu'étaient à bord du pétrolier Enrica Lexie, deux pêcheurs en les échangeant pour pirates.
- Une note de la Farnesina communique que, « sur des instructions du ministre des Étrangers Giulio Terzi, l'ambassadeur d'Italie à New Delhi Daniele Mancini a délivré aujourd'hui aux autorités indiennes une note verbale avec lequel le gouvernement italien, en relation au cas des fusiliers de Marina Massimiliano Latorre et de Salvatore Girone, a annoncé au gouvernement indien ce qui suit : « L'Italie a toujours retenu que la conduite des autorités indiennes violait les obligations de droit international grevant sur l'Inde en vertu du droit consuetudinario et du pattizio, en particulier le principe de l'immunité de la jurisdition des organes de l'État étranger et les règles de la Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer (UNCLOS) de 1982. Au lendemain de la sentence du 18 janvier 2013 de la Cour Suprême Indiana, l'Italie a proposé formellement au gouvernement de New Delhi le départ de dialogue bilatéral pour la recherche d'une solution diplomatique du cas, comme suggéré de la même Cour, là où il rappelait l'hypothèse d'une coopération parmi des États dans la lutte à la piraterie, selon combien il prévoit citée Convention UNCLOS. À la lumière manquée répondue de l'Inde à la demande italienne d'activer des telles formes de coopération - il explique la note - le gouvernement italien retient qu'il subsiste une controverse avec l'Inde ayant à objet les règles contenues dans prédite Convention et les principes généraux de droit international applicables à l'événement. Pour ces raisons, l'Italie a réaffirmé formellement au gouvernement indien, avec la note verbale délivrée aujourd'hui de l'ambassadeur Mancini, sa disponibilité d'arriver à un accord pour une solution de la controverse, même à travers un arbitrage international ou une résolution judiciaire, en demandant à l'Inde d'activer les consultations prévues de la Convention UNCLOS. Avec l'occasion, l'Italie a informé le gouvernement indien que, étant la formelle instauration d'une controverse internationale parmi les deux États, les fusiliers de Marina Massimiliano Latorre et Salvatore Girone ne les feront pas à rentrée en Inde à l'écheance de la permission concédé. La décision, qui a été notifiée même à l'ambassade Indiana à Rome et sur laquelle ils sont prévus des contacts parmi les deux ministres des Étrangers, elle a été assumée d'accord avec les ministères de la Défense et de la Justice et en de la coordination avec la Présidence du Conseil des Ministres » ».
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