À Trieste il est à l'étude le recours au cold ironing pour faire face à la possible future augmentation des émissions engendrées des bateaux en port
Propeller Club a fait le point sur la situation, qui à l'instant n'éveille pas de raisons de préoccupation
23 Mai 2018
Pour minimiser le niveau des émissions des bateaux qui arrivent dans l'escale le port de Trieste il se confiera probablement le cold ironing, le système qui permet aux bateaux de se relier au réseau électrique terrestre pour s'approvisionner d'énergie électrique et d'éteindre les moteurs auxiliaires pour réduire les émissions en atmosphère, émissions qui toutefois n'éveillent actuellement pas de raisons de préoccupation à Trieste.
Il est ce qui est émergé hier soir du conviviale organisée de Propeller Club de Trieste avec la partecipation d'experts du secteur, dans le cours dont a été spécifié que les organismes préposés déjà étudient le cold ironing comme solution au cas où les augmentations de trafic devaient porter à une significative augmentation des émissions.
Le professor Giorgio Sulligoi, du Département d'Études d'ingénieurs de l'Université de Trieste, a confirmé qu'elle existe déjà une hypothèse d'intervention, à front d'un impact que les bateaux en quai peuvent avoir sur l'atmosphère environnante, en citant même le problème du bruit parmi les criticités qu'on pourrait être appelé à résoudre.
À ingegner Massimo Carrat ù, directeur Energia Électrique d'AcegasApsAmga (société du Groupe Hera qui gère la fourniture sur le territoire), est touchée par contre attirer l'attention sur la réalisation de projets définis faisables, mais pas simples à réaliser. En étudiant des hypothétique maisons history pour la fourniture d'électricité à un terminal croisières dans Porto Vieux de Trieste (où il existe, en effets, l'hypothèse que MSC puisse donner de la vie à un hub à service des routes en Adriatique), Carratù a fait une hypothèse de coût (autour des deux millions d'euro), en faisant signe aux difficultés de gérer des gros flux d'énergie.
Environ le niveau de pollution atmosphérique provoquée actuellement des bateaux qui mouillent dans le port de Trieste, soit de Carratù que Sulligoi ont cité dans leurs relations une étude de l'Harpe FVG (Agence régionale pour la protection de l'ambient) qu'il attribue aux bateaux une en pour-cent environ du 20% de la pollution globale de l'aire urbaine de Trieste. Pierluigi Barbieri, professeur de Chimie Ambiante à l'Université de Trieste et membre du Comité scientifique d'Harpe FVG, a précisé que dans la zone de Trieste les polluante relatifs aux émissions navales sont voisins à la limite inférieure de mesure pour les stations de relevé (dont à de sous la présence est trop basse pour être remarquée) et que, par conséquent, à l'instant ils ne subsistent pas de raisons de préoccupation. « Elle n'est pas une donnée mesurée, est une donnée estimée - il a expliqué des Coiffeurs - celui rapporté de l'Harpe. Une estime qui a porté à évaluer parmi le 20% et le 30% l'apport de pollution référée aux activités du port ». Des coiffeurs toutefois a remarqué que, puisqu'on souhaite un accroissement de l'activité, est raisonnable définir quelques scènarios, avec détail de l'attention à des nouvelles installations résidentielles en proximité d'activités industrielles intenses, en retenant de toute façon le cold ironing comme une option importante.
À fermer les interventions ingegner Silvio Casini de Fincantieri Sistemi complétés et Alessandro de Pol, président de l'Association Agent Maritime du Friuli Venise Julie. Le premier a fait le point sur les réglementations IMO pour la réduction des émissions navales et sur la necessité, pour les bateaux de croisière, des installations particulières pour pouvoir utiliser de l'énergie électrique de quai. Alessandro de Pol a par contre cité quelques flops des projets cold ironing de déjà disponibles mais non utilisés, en souhaitant comme solution - d'une situation qui à l'instant n'apparaît pas critique - un plan national tendu à éviter des individuels projets et les risques de « je gache d'argent ».
« Avec la solution du cold ironing - il a commenté en fermeture Fabrizio Zerbini, président de Propeller de Trieste - on traite de toute façon de produire autre énergie. Attention, donc, à ne pas déplacer seulement le problème. Il va certainement tenu compte de la vivibilità et de la salubrité des citoyens, mais ils vont favoris même les trafics portuaires qui créent importants retombées économiques et occupationnelles sur le territoire et retiens que le cold ironing soit à approfondir comme hypothèse et à évaluer conjointement à des hypothèses alternatives d'alimentation pour les bateaux ».
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