- Dans la loi, signée par le Président de l’AdSP, Patroni Griffi, et par le président de Sogesid, Enrico Biscay, Sogesid devrait tout d’abord effectuer une analyse des aspects qui composent le le large éventail de disciplines techniques impliquées dans le processus de rédaction du PRP : à partir d’une enquête sur l’état actuel et projets en cours, aspects économiques, environnementaux et sociaux, mais aussi l’ingénierie et la géologie, urbaine et logistique, protection du paysage et la sécurité portuaire.
-
- L’administration portuaire a expliqué que cette activité sera suivie par l’élaboration du véritable plan de réglementation qui sera de différentes œuvres et graphiques pour décrire la structure globale zones destinées aux fonctions portuaires et portuaires, activités commerciales, magasins de croisières, production industrielle, construction navale et construction navale logistique, ainsi que les axes de raccordement routier et routier transport ferroviaire. En outre, Sogesid accompagnera l’AdSP dans le processus d’approbation, qui implique le processus d’évaluation environnementale stratégique (VAS) et l’activité de surveillance ultérieure.
-
- Soulignant la nécessité d’accélérer mettre à jour le PRP dès que possible, Patrons Griffi a expliqué qu’avec le soutien de Sogesid sera a créé un groupe de travail composé des plus reconnus experts dans le domaine afin - dit-il - de « éduire ce qu’on appelle les « temps de passage », c’est-à-dire l’intervalle entre la fin de la phase réelle (le conception) et le début de la phase suivante. Pratiquement - il spécifié - la bureaucratie pure et les procédures sans fin procédures administratives qui contribuent au report de l’approbation des une œuvre. Adopter le PRP en un temps record, d’ailleurs - at-il ajouté Patroni Griffi - signifie éliminer une fois pour toutes toute type d’opacité dans les relations entre institutions, chacun de poursuivre, sans ingérence, les intérêts publics dont il est placé comme une garnison.
|