- Les références sont en ordre. Parmi les différentes missions, la première a effectué des mandats de gestion au ministère de l’Infrastructure transport, mais aussi avec celui de l’Économie et financière, et, avant de devenir président de l’AdSP, a été pour la région Ligurie responsable de la planification des dans les transports, les ports et la logistique. L’autre a déjà passé sa vie dans l’environnement port maritime : premier employé d’une compagnie maritime syndicaliste, Sommariva a ensuite occupé des postes de responsabilité dans d’innombrables entreprises et organisations du secteur et, par conséquent, est devenu Secrétaire général avant la port de Bari, puis de l’Autorité portuaire de Trieste, par la suite fusionné dans l’Autorité du système Port de la mer Adriatique orientale.
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- S’ils étaient interrogés, Signorini et Sommariva d’être honorés d’avoir été confirmés respectivement et Je voudrais dire que nous avons une tâche très difficile à accomplir. Ne Ne Ne ils auraient raison parce que leurs désignations sont destinées à valider le bon travail accompli précédemment.
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- Mais la libéra tion conditionnelle est un must. Parce que, sans rien à retirer de Signorini et Sommariva, la procédure actuelle pour identifier les personnes appelées à présider le Italian Port System est - en termes non équivoques - Scandaleux. Une procédure indigne, car elle n’est même pas digne d’un pays du tiers monde, et de manière à avilir et dégrader l’autorité de la des personnes méritantes qui s’acquitteront de cette tâche.
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- L’article 8 de la loi sur la réorganisation de la législation port n° 84 du 28 janvier 1994 à condition que le Président des autorités portuaires a été nommé, sous réserve de accord avec la région concernée, par décret du Ministre de la Transport et transport maritime, au sein d’un groupe d’experts et une qualification professionnelle éprouvée dans les domaines de la l’économie portuaire et de transport désignés respectivement par le par la province, les municipalités et les chambres de commerce, d’industrie, Artisanat et agriculture.
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- décret législatif n° 169 du 4 août 2016 de réorganisation, rationalisation et simplification de la règlement concernant les autorités portuaires a modifié L’article 8 de la loi 84/94 établissant que le Président l’autorité du système portuaire est nommée par le ministre de la l’infrastructure et les transports, en accord avec le Président ou présidents de la région concernée. Comprendre cela, en ce qui concerne Signorini et Sommariva, a déjà été signé par le Président de la région Ligurie, Giovanni Toti.
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- En août dernier, afin de procéder au renouvellement de la sommet ainsi que les deux AdSP ligures également de onze autres l’Administration du système portuaire, le ministre de la infrastructure et des transports, Paola De Micheli, ainsi que graziano Delrio et Danilo Toninelli, a acquis des manifestations d’intérêt pour le candidats à la présidence d’un AdSP. En émettant l’avis spécifique, ainsi qu’à l’occasion de la précédente renouvellement des présidences des autorités portuaires, il a été précisé que la procédure activée n’aurait pas été d’une procédure d’insolvabilité et qu’il n’y avait pas de procédure sélective, ni n’importe quelle liste de classement aurait été établie et publiée et même pas faite public la liste de ceux qui avaient soumis leur CV.
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- Une procédure qui a donc conduit à remplir un tiroir du bureau du ministre des demandes de recrutement à utiliser exclusif de De Micheli, et devant elle de Delrio et Toninelli. Du tiroir, ils pouvaient tirer n’importe quel curriculum vitae, sans doivent en rendre compte à n’importe qui. De la pelle rétrocaveuse déjà petite de la Loi 84/94, formulée par différents hauts responsables des collectivités locales, est arrivé en 2016 pour attribuer le pouvoir absolu de nomination à un une seule personne. En 2016, il a été décidé que les présidents de la Les régions avaient le seul pouvoir de ne pas exprimer leur compréhension sur la nomination, auquel cas la décision serait reportée à un conférence de service.
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- Une procédure, bref, vraiment indigne d’une nation qui voudrais être comptés parmi ceux du Premier Monde. Un processus de nomination, celle en vigueur pour la sélection des présidents des AdSP qui sont des organismes publics d’une importance absolue dans le système économique port italien, qui ramène le port italien à décennies qui semblent des siècles. Des siècles passés et sombres que nous nous re-invoquons pour décrire les pratiques d’aujourd’hui que nous croyons être « Tiers-Monde. »
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- Un scénario pour baisser les bras. Le pire, c’est que cette situation ne peut être imputée au gouvernement, ni à l’actuel ou le précédent. Nous étions tous là quand il a été question de renouveler et d’adapter la loi sur la réforme portuaire 1994. Nous étions tous là lorsque les différents projets de la nouvelle mesure indiquait clairement ce que le critères de nomination des présidents des autorités du système Port.
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- Pas une des associations, organisations, fédérations, les organismes, les entreprises et les syndicats du monde maritime-portuaire italien exprimé, sinon son rejet, au moins la perplexité qu’une norme autocratique et antidémocratique ce qui est celui pour la nomination des présidents des AdSP.
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- On se demande parfois si un gouvernement est l’expression de la communauté nationale et si elle est meilleure ou pire que Ce. En Italie, bien sûr, nous avons eu et avons eu les gouvernements que nous méritons ou même mieux.
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